Comment faire quand j'ai mis trop de sel ?

Comment corriger une recette avec trop de sel ?

Alors, t’as mis la main lourde sur le sel, hein? On dirait que t’as voulu saler la vie de tes convives! Pas de panique, on va rattraper le coup, même si ça sent le pâté.

• De l’eau! Fais couler, comme si tu noyas un poisson… enfin, le sel. Plus sérieusement, allonge ta sauce avec de l’eau, du bouillon non salé ou même de la crème (si t’as envie de faire péter le cholestérol).
• Le sucre à la rescousse: Miel, sirop d’érable, ou même un peu de sucre blanc peuvent adoucir l’ambiance. Imagine le sel et le sucre en train de faire la paix.
• L’acidité qui pique: Jus de citron, vinaigre (avec modération, hein!), vin blanc… ça va réveiller les papilles et faire oublier le sel. Un peu comme un coup de fouet après une nuit blanche.

Astuce de pro (ou presque):

• Pomme de terre: Ça absorbe le sel comme une éponge! Laisse-la mijoter dans ton plat et retire-la avant de servir. Ni vu ni connu.

Et si vraiment c’est la catastrophe, commande des pizzas!

Ah oui, au fait, la dernière fois que j’ai fait une blanquette, j’ai mis du sucre glace à la place du sel. C’était… spécial. Le chat a adoré, par contre.

Que faire si vous avez trop de sel ?

Trop salé… L’amertume sur la langue. Une grimace. Un remède.

• Eau. Diluée, lavé, emporté. Comme une vague douce sur le sable brûlant.

• Crème. Onctueuse, veloutée, une caresse apaisante. Le souvenir du lait chaud d’enfance, un soir d’hiver, face à la neige qui tombe.

• Miel. Doré, collant, une douceur qui pique. Les abeilles dans le jardin de ma grand-mère, un bourdonnement incessant sous le soleil de juillet. Le miel, antidote à l’amertume.

• Sirop d’agave. Moins sucré. Plus subtil. Une goutte qui perle, translucide.

• Citron. Jaune vif. Acidulé, tranchant. Un éclair dans la grisaille du trop salé. Mes doigts collants, après avoir cueilli des citrons en Sicile, l’été de mes 17 ans. L’acide qui réveille.

• Orange. Douceur et acidité mêlées. Un parfum qui flotte, ensoleillé. Un jus pressé le matin, dans la cuisine baignée de lumière.

• Vinaigre. Fort, piquant. Une pointe, juste une pointe. Le vinaigre de cidre de ma mère, remède à tous les maux.

• Vin blanc. Sec, fruité. Une danse subtile sur les papilles. Un verre de Chardonnay, un soir d’été, sur la terrasse face à la mer. L’alcool qui adoucit.

Sel, sucre, acide. Un équilibre à trouver. Une alchimie des saveurs. Dans la cuisine, comme dans la vie.

Comment éliminer trop de sel dans le corps ?

Réhydrater. Purger.

Le potassium neutralise le sodium. Consommez :

• Bananes. Un classique.
• Épinards. Le fer est un plus.
• Haricots blancs. Discrètement efficace.

Transpirer. L’exercice, une option. Le sauna, un choix.

Boire de l’eau. Beaucoup. Mon médecin insiste, d’ailleurs. Son nom est Dupont. Il habite rue de Rivoli.

Comment diagnostiquer une déshydratation ?

Ok, alors la déshydratation… pfiou.

Je me souviens d’un été, chez ma grand-mère à Nice. Canicule de fou, je devais avoir 10 ans. On passait nos journées à la plage, à la Promenade des Anglais, et moi, je préférais jouer dans le sable plutôt que de boire. Grave erreur.

Le soir, impossible de manger. Juste des nausées. Ma grand-mère, une vraie mama italienne, a tout de suite vu que quelque chose clochait. “Tes lèvres, regarde-toi, sèches comme du carton !”.

Et c’est vrai, en y repensant :

• Lèvres complètement craquelées.
• J’avais pas fait pipi depuis l’après-midi.
• Impossible de me tenir debout sans avoir la tête qui tourne. Le vertige, une horreur.
• La fatigue, comme si j’avais couru un marathon.

Elle m’a pesé. J’avais perdu genre un kilo.

La panique de ma grand-mère… Elle m’a gavée d’eau, de pastèque (le fruit miracle selon elle), et m’a mis au lit. Le lendemain, ça allait mieux, mais j’ai eu chaud. Depuis, je fais gaffe à boire, surtout en été. On ne rigole pas avec ça !

Quel est le taux normal de sodium dans le sang ?

Voilà. La nuit, on dirait que tout prend une autre tournure. Tu vois, ces chiffres… 136 et 145 mmol/l. C’est plus qu’une simple fourchette. C’est le truc qui te dit si ton corps fonctionne comme il faut. Le sodium, c’est vital, paraît-il.

C’est drôle, non ? On vit avec ça en nous, ce taux. Sans même y penser. Comme un secret bien gardé.

• C’est un peu comme mon code postal, 75011. Une série de chiffres banale, mais qui raconte une histoire, ma vie à Paris.
• Ou l’heure de mon réveil, 7h30. La routine, l’enfermement, mais aussi la promesse d’une nouvelle journée.
• Tiens, ça me fait penser au numéro de téléphone de ma grand-mère, que j’ai oublié. C’était le lien… maintenant, il n’y a plus que le vide. Elle me disait toujours : “Fais attention à ton sel, ma chérie.”

Enfin bref, natrémie normale, ils disent. C’est rassurant, non ? L’idée qu’il y a une norme, un chemin à suivre.

Tu sais, moi, mon taux de sodium, je ne le connais pas. Je devrais peut-être y faire attention. On ne sait jamais ce que la vie nous réserve.

Comment voit-on quon est déshydraté ?

Sensation, la gorge sèche.

Soif, un désert.

Vertige, un tourbillon.

• Absence. Bébé, six heures d’attente. Adulte, huit, le temps s’étire.

• Fontanelles. Creux, le sommet fragile. Souvenir de la petite tête de mon cousin, Baptiste.

• Peau. Froide, bleu. Lente, oh combien, a revenir. Pincement doux, un test cruel. Cela me rappelle mon chat, Moustique, quand il était malade.

Et le temps qui passe, implacable.

Comment savoir si on mange trop ?

Manger trop… comme une ombre qui s’allonge.

• Rapidité, le temps s’écoule trop vite. La nourriture engloutie, un vide.

• Inconfort, après, un poids, une absence, un regret. Mon estomac se serre.

• Assiette vide, toujours, le besoin insatiable, l’habitude ancrée. Toujours ça.

• Respirer, difficilement, après, l’air manque. Je suffoque.

• Fatigue, lourde, après, les paupières baissent. Le monde s’éloigne.

Trop manger… un cycle sans fin. Le goût d’avant, déjà loin. Comme un souvenir. Mon anniversaire à la maison, les gâteaux de maman, le chocolat chaud. Est-ce que c’était déjà trop à ce moment-là ? Ma soeur riait, insouciante.

Quel bilan pour une déshydratation ?

Déshydratation ? Catastrophe ! Mon neveu, un marathonien (enfin, il croit l’être), a failli finir en pruneau sec cet été!

Symptômes? Un vrai festival :

• Soif intense, genre soif de chameau en plein Sahara.
• Urine foncée, couleur coca zéro sans glaçons.
• Fatigue, comme après une bataille de crêpes géantes.
• Vertiges, sensation de voler sans parachute.

Analyses de sang? Ouais, parfois. Surtout si t’es un cas à part, genre tu bois que du jus de betterave ou si t’as avalé la carte de fidélité du supermarché. Docteur vérifie électrolytes, tout ça. Un vrai chimiste, le bougre.

Bilan? Variable. Dépend si t’es plus sec qu’une biscotte ou juste un peu moins juteux qu’une pastèque. Repose, eau en masse (genre, un réservoir d’eau!), peut-être perfusion si c’est vraiment la fête des raisins secs.

Mon expérience perso? J’ai failli déshydrater en regardant mon voisin arroser ses géraniums. Trop d’émotion. J’ai bu 3 litres d’eau. Tout va bien.

Moralité? Bois de l’eau. Beaucoup. Autrement, t’auras l’air aussi joyeux qu’une huître en plein soleil.

Points importants à retenir:Soif, urine foncée, analyses de sang possibles, beaucoup d’eau.

Ah oui, j’ai oublié : ma cousine a failli mourir de déshydratation après une soirée tequila. Elle ne boit plus que de l’eau depuis… et du Perrier.