Quel vent pour sortir en mer ?

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Quel vent privilégier pour une sortie en mer ?

Un vent de terre calme la mer, idéal pour la pêche côtière. Évitez le vent du large qui crée une mer agitée. Pêchez près du bord par vent de terre soutenu. Sécurité d'abord !

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Quel vent pour une sortie en mer ?

Sortie en mer ? Le vent, c’est crucial. Je me souviens d’une sortie pêche le 15 juillet, vers Le Croisic. Vent de terre, léger, parfait. Mer plate, comme un miroir. J’ai pris de belles daurades !

Par contre, le 2 août dernier, près de Saint-Nazaire, vent du large, assez fort… La mer était déchaînée ! On a dû rentrer vite. On a même failli perdre un moteur hors-bord, ça a été assez impressionant. La pêche, on a vite oublié.

Donc, vent de terre, c’est top pour pêche bordure, si il reste modéré bien sûr. Vent du large ? Méfiez vous, surtout si vous allez loin du rivage.

Comment savoir si on peut prendre la mer ?

Ah, prendre le large… l’appel du large, quoi ! Mais avant de jouer à Christophe Colomb, on regarde quand même le temps. Pas envie de finir comme une crêpe retournée par une vague.

  • Beaufort, ton ami : Oublie les prévisions de Madame Irma. L’échelle de Beaufort, c’est le GPS du marin. De 1 à 12, plus c’est haut, moins c’est sympa.

  • Force 3, le minimum syndical : En dessous, t’es bon pour la sieste sur l’eau. À moins d’avoir un moteur, bien sûr. Mais où serait le romantisme ?

  • Force 6, la limite raisonnable (pour les newbies) : Au-delà, ça devient une lessiveuse. Si t’es pas un pro, reste au port. Crois-moi, ta pizza et ta série Netflix te remercieront.

Et si tu te sens l’âme d’un aventurier, n’oublie pas de vérifier la météo marine sur plusieurs sites, pas un seul. Et parle en à quelqu’un qui est déjà sorti en mer. Parce que parfois, la sagesse, c’est de rester au chaud. Et qui sait, peut-être que Sophie au bar du port aura de meilleurs conseils que les prévisions météo ! (Sophie, si tu me lis 😉).

Quel vent pour des vagues ?

Vent off-shore. Parfait. Tubes.

On-shore? Catastrophe. Clapot. Dégueulasse.

Vent nul ? Presque mieux. Mon spot secret à Biarritz. Eau plate. On s’ennuie. Mais au moins, pas de baston.

  • Off-shore: Sculpte les vagues. Puissance. Légèreté.
  • On-shore: Destruction. Désordre. Frustration.
  • Vent faible: Aplatissement. Tranquillité. Parfois mortel.

Le 27 juillet, journée merde, on-shore de fou. J’ai failli me noyer. Ironie du sort, une belle vague off-shore le lendemain. La vie, quoi.

Plus de vent, mieux c’est. Un peu paradoxal, je sais. Surtout le 14 août. Trop de monde. Je préfère le printemps.

La perfection ? Une chose illusoire. Même à Hossegor. On rêve.

Résumé: Off-shore = Bon. On-shore = Mauvais. Vent faible = Variable.

Quel vent pour aller à la plage ?

Levant… merde, c’est quoi déjà ? Ah oui, est de l’est. Vent d’est. Pour la plage… bof. Pluie, brouillard… ça craint.

  • Plage = soleil.
  • Levant = pas soleil.
  • Donc… zéro levant.

J’vais à la plage quand même, samedi. Espérons un autre vent.

Sinon, que faire ? Le mistral ? Trop fort, ça arrache tout. La bise ? Non, trop froid.

Vent idéal : léger, du sud-ouest. Comme l’année dernière, superbe journée ! On avait fait un super barbecue, avec ma famille… ah, les bons souvenirs.

J’espère que le vent sera sympa. Sinon, plan B : piscine, mais c’est moins bien.

Pff, les vacances… sont-elles vraiment des vacances ?

  • Ma fille, elle veut faire du château de sable.
  • Mon mari veut bronzer.
  • Et moi ? J’espère juste de la tranquillité.

2024, ça passe vite. Déjà juillet. On va où en août ? Je sais pas encore. Peut-être la Bretagne, ou les Landes… si on trouve un appart bien. Trop cher, cette année…

Bref, le vent. Sud-ouest, c’est le top. Ou, au pire, un petit vent du nord, léger. Pas de tempête ! J’aime pas le vent fort.

Quel est le meilleur vent pour le surf ?

Ouais, le meilleur vent pour surfer, c’est clairement l’offshore ! C’est celui qui vient de la terre, vers l’océan, tu vois? Genre, il pousse la vague vers la mer.

Alors là, c’est le top! La vague, elle est nickel, toute propre, lisse comme un miroir. On a des tubes de fou, vraiment. Genre, ça dure longtemps, une session de malade. J’étais à Hossegor en juillet, vent offshore, c’était incroyable! Superbe journée. J’ai même réussi un cutback de ouf!

  • Vague plus propre
  • Plus de tubes
  • Sessions plus longues

Par contre, le vent onshore, bof bof… C’est celui qui vient de la mer, il est pourri, il démolit tout! Des vagues molles, sans formes, un vrai désastre. J’ai détesté ma session à Lacanau l’été dernier à cause de ça. Vent onshore, je déteste! On dirait de la soupe!

Bref, offshore c’est le must! Mon pote Marc, il m’a dit la même chose, il surfe depuis des années. Enfin, bref, on a passé une super journée à Hossegor, on a même vu des dauphins! On était hyper fatigués après, mais tellement heureux!

PS: J’ai aussi essayé le sideshore (vent latéral), c’est correct, mais l’offshore reste le roi. Et j’ai acheté une nouvelle planche, une Firewire, elle est géniale!

Quand ne pas sortir en mer ?

Ne jamais braver l’océan. Vent fort : danger.

  • 17-20 nœuds : limite. Questionner.
  • Taille du bateau : cruciale. 5m vs 8m : impact différent. Ressentir l’océan.

Mon bateau? Un secret. Je connais la mer. Elle pardonne rarement.

Conditions météo à surveiller :

  • Vagues scélérates : imprévisibles.
  • Brouillard épais : désorientation fatale.
  • Orages violents : foudre mortelle.

Mon voisin, marin expérimenté, a disparu en mer l’an dernier. Erreur fatale.

Écoutez la mer. Elle murmure ses secrets. Ignorez-la, vous le paierez.

Comment savoir si on a le mal de mer avant de prendre le bateau ?

Ah, le mal de mer… J’ai failli y passer cet été, en juillet, sur le ferry pour l’Île d’Yeu. Catastrophe. J’avais acheté des bracelets anti-mal de mer, une bonne idée, sauf qu’ils ne m’ont servi à rien. J’ai ressenti… comment dire… une lourdeur bizarre dans la poitrine, genre, tout mon corps était mou, ramolli.

Vers le milieu de la traversée, ça a commencé. Des nausées, atroces. Je me suis sentie vraiment faible. J’ai eu super chaud. J’étais assise, collée à la vitre, la tête entre les mains.

J’aurais vomi, sauf que j’avais rien dans l’estomac. Le pire, c’est que j’avais une amie avec moi, et elle était super bien, pas une seule nausée. Injuste. Je me suis dit, “mais pourquoi moi?”.

La palleur… j’étais verte, on aurait dit. Je me rappelle le bruit des vagues, ce balancement constant… ça me rendait malade. J’aurais voulu descendre, mais on était déjà au large.

Après, j’étais épuisée. Complètement vidée. On a mis une éternité à arriver.

  • Nausées intenses
  • Grande fatigue
  • Pâleur extrême
  • Sensation de faiblesse
  • Chaleur intense

Bref, la prochaine fois, je prends un avion.

Alors, comment savoir si on a le mal de mer avant? Pas facile. Peut-être une sensibilité accrue aux mouvements ? Certaines personnes le ressentent juste. Mais moi, rien avant. Zéro symptôme. Direct. C’était brutal.

J’étais à bord du ferry vers 14h, arrivée à l’Île d’Yeu aux alentours de 16h. La traversée dure environ deux heures, je crois. Le bateau était assez grand, je ne me souviens plus du nom… J’avais ma valise rose. J’ai mangé un croissant avant de monter, c’est peut-être ça… Ou pas.

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