Quel temps mettait le Concorde pour faire Paris-New York ?
Traversée supersonique : Paris-New York en 3h30 avec le Concorde ! Exploité de 1976 à 2003, ce bijou technologique divisait par deux le temps de vol transatlantique classique (8h). Sa carrière prit fin en raison de coûts d'exploitation exorbitants impactant sa rentabilité.
Temps de vol Concorde Paris-New York ?
Concorde, Paris-New York… 3h30 ! Dingue, hein ? J’ai jamais eu la chance de le prendre, mais ma grand-mère m’en parlait souvent. Elle disait que c’était un truc de fou, arriver à New York avant même d’avoir vraiment eu le temps de s’ennuyer.
C’est vrai que 8 heures en avion, ça peut paraître long. 3h30, c’est presque comme un vol intérieur !
Apparemment, ils l’ont arrêté en 2003. Dommage… Trop cher, ils disaient. Je me demande si un jour on reverra des avions comme ça. Un rêve, non ?
Temps de vol Concorde Paris-New York : 3h30.
Mise en service : 1976.
Dernier vol commercial : 2003.
Raison du retrait : Coûts d’exploitation trop élevés.
Pourquoi le Concorde allait-il si vite ?
Vitesse… Mach 2,02… fou, non ? Altitude… 16 000 – 18 000m. On est loin des nuages là-haut ! Pourquoi si haut ? Moins de résistance. Logique. Plus haut, moins d’air. Comme dans l’espace, presque… Vide…Infini… Attends, c’est quoi le vide ?
- Aérodynamique. Forme spéciale, nez pointu, ailes delta. Faut bien pour fendre l’air à cette vitesse. Imagine le bruit !
- Moteurs puissants. Postcombustion. Turbo… un truc. Chaleur intense. Métal qui chauffe. On se demande comment ça tient.
18 000 mètres… Le Mont Blanc est à 4800… Ridicule ! On voit la courbure de la Terre à cette altitude. Moi, j’ai peur en avion. Concorde… Jamais pris. Trop cher. Un billet Paris-New York en quelques heures. Temps, argent… Quel est le sens de tout ça ?
- Temps de vol réduit. Traversée de l’Atlantique en 3h30. Paris – New York. New York… J’ai toujours voulu y aller. Voir la Statue de la Liberté. Times Square…
- Supersonique. Bang supersonique. Un gros boum. On dirait une explosion. Interdit au-dessus des terres. Dommage.
J’ai vu un doc une fois. Sur les turboréacteurs. Complexe. Pression, combustion, kérosène… Je comprends rien à ça. Et puis, cette idée d’aller toujours plus vite… Pour quoi faire ? On gagne du temps, on perd quoi ? J’ai soif. Je vais me faire un café.
Pourquoi le nez du Concorde se baisse-t-il ?
Pourquoi le Concorde avait-il le nez qui pique du nez? Disons qu’il ne faisait pas ça pour draguer, hein?
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Visibilité: Imaginez essayer de garer un bus avec un chapeau de cow-boy sur la tête. C’était un peu ça pour les pilotes. Nez baissé = “je vois où je me gare!”
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Aérodynamisme: Nez relevé, allure de star en vol supersonique. Un peu comme moi après mon troisième café. La classe, quoi!
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Protection: La visière protégeait du “coup de soleil” supersonique. Parce que oui, ça chauffe là-haut, même plus qu’à la plage en juillet.
On dirait que le Concorde avait plus de soucis de star que moi avec mon budget courses. Mais bon, chacun son truc.
Est-ce que le Concorde était rentable ?
Alors, rentable le Concorde? Disons qu’il a plus brillé par son panache que par son bilan comptable. Un peu comme moi après un buffet à volonté.
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Perte sèche: Imagine, entre 14 et 18 millions de dollars par an… C’est plus qu’une addition salée, c’est un trou noir budgétaire! On dirait mon compte en banque après une virée shopping.
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Chantage affectif: British Airways qui boude parce que Singapour ne remplit pas assez les sièges? C’est le genre de drama que tu trouves dans une téléréalité, pas dans une entreprise sérieuse.
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Facteur X: Le Concorde, c’était surtout une démonstration de puissance technologique, un peu comme mon CV qui enjolive la réalité. On ne lui demandait pas d’être rentable, juste d’impressionner.
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