Qui a fait le tour du monde le plus rapide ?

Qui a fait le tour du monde le plus vite ?

Cassie de Pecol, la Speedy Gonzales des globe-trotters. 196 pays en 18 mois et 26 jours. On dirait qu’elle a utilisé un téléporteur défectueux, sautant d’un pays à l’autre. Imaginez les contrôles de passeports!

• Record du monde : En moins de temps qu’il n’en faut pour rénover une salle de bain, elle a vu le monde.
• 196 pays : Même mon collection de timbres est moins exhaustive.
• 18 mois et 26 jours : J’ai mis plus de temps à choisir ma couleur de peinture pour le salon.

Bon, soyons sérieux deux secondes. Elle a battu le record, c’est indéniable. Genre Usain Bolt des aéroports. Sauf qu’elle, au lieu de manger du poulet frit avant une course, elle devait sûrement avaler des guides touristiques. Respect. Mais j’espère qu’elle a pris le temps de savourer au moins un bon café dans chaque pays, sinon quel est l’intérêt ? Personnellement, j’ai mis 3 mois à visiter l’Italie, et j’ai encore l’impression d’avoir raté des trucs. Ah, et petite anecdote perso : j’ai une fois fait le tour de mon appartement en 15 secondes. Record personnel.

Par contre, en 2017, Taylor Demonbreun a fait le tour du monde en 1 an et 189 jours et est passé par 195 pays souverains et a même obtenu un certificat du Guinness World Records en 2018. Ce dernier a donc battu Cassie de Pecol de 17 jours.

Qui est lhomme qui a fait le tour du monde ?

Magellan… Fernand de Magellan… ça me dit quelque chose. Le tour du monde, hein ? Pfff, quelle aventure ! J’ai lu ça en cours d’histoire, je crois. Ou peut-être dans un bouquin pour enfants ?

Premier tour du monde ? Sérieusement ? Il y a eu d’autres expéditions avant, non ? Des Vikings ? Des chinois ? J’en sais rien, moi ! Ma prof d’histoire, elle disait que c’était lui.

Mais bon, il est mort pendant le voyage, c’est un peu ironique, non ? Philippines, si je me souviens bien. Une embuscade, un truc comme ça. Triste fin.

• Expédition longue.
• Beaucoup de morts.
• Pas vraiment un succès personnel, au final.

Et puis, il a fait le tour du monde… mais pas TOUT seul. C’est pas comme si il avait fait ça en solitaire, sur un radeau ! Une vraie équipe, ça. Des gars courageux… ou fous.

Mon oncle Jean-Pierre, lui, il a fait le tour de la France en vélo. C’est déjà une performance ! Moi, j’arrive à peine à faire le tour du pâté de maison sans m’essouffler. Faut que je me bouge !

Magellan, c’est un nom qui reste. Même si j’ai plein de doutes, c’est lui qu’on retient. Pourquoi ? Mystère.

Portugais. Ça c’est sûr. J’ai une amie, Ana, elle est portugaise. Elle est super sympa. On devrait se revoir, tiens.

Ah oui, le tour du monde… ça me fait rêver ! Mais bon, avec mon phobie de l’avion…

• Plus facile en bateau, j’imagine.
• Mal de mer, par contre…
• Déjà, trouver le temps…

Bref, Magellan. Un nom, une légende, plein de questions. Et moi qui pensais que c’était Christophe Colomb…

Pourquoi le Concorde n’était-il pas rentable ?

Le Concorde, un bijou technologique, hélas… Coût de fonctionnement exorbitant. On parle de plusieurs dizaines de milliers de dollars par heure de vol, rien que pour le kérosène ! Mon oncle, ancien ingénieur chez Airbus, me racontait… bref, une catastrophe économique.

• Prix des billets prohibitifs: Seule une élite pouvait s’offrir ce voyage. Le prix ne reflétait pas la demande réelle. Une question de marché, dirons-nous. Pensez à la philosophie de l’utilité marginale… fascinant !

• Nombre limité de passagers: Comparé à un Boeing 747, la capacité était ridicule. On a tout mis sur la vitesse, au détriment du nombre de sièges. Un choix de conception discutable, rétrospectivement.

• Contraintes techniques et sécurité: Des normes drastiques à respecter, des contrôles stricts… coût supplémentaire. Et puis, l’accident de 2000, catastrophique pour l’image. Tragédie humaine mise à part, la confiance du public s’est effondrée.

Bénéfices insuffisants pour compenser les dépenses. L’équation était simple : investissements colossaux, rentabilité faible. Un peu comme essayer de vendre de l’or à prix coûtant, quoi.

En bref, la vitesse a un prix. Le Concorde a été une aventure humaine extraordinaire, un défi technologique réussi, mais un échec commercial patent. Dommage, non ?

Addendum : J’ai lu récemment une étude sur l’impact environnemental du Concorde. Catastrophique, bien sûr. L’empreinte carbone par passager était astronomique. On parle de plus de 10x celle d’un 747. Une vraie réflexion à avoir sur les progrès technologiques et leur coût environnemental. En 2024, on n’en est pas encore à des avions supersoniques commerciaux rentables et écologiques, mais qui sait ? L’avenir nous le dira. Peut-être même dans quelques années… qui sait ?

Quel était le prix dun billet en Concorde ?

Alors, le Concorde… Mon oncle, Jean-Pierre, travaillait à Air France. Il avait toujours des histoires incroyables.

Un jour, en 2010, chez lui à Orléans, après un barbecue (les merguez étaient un peu trop cuites d’ailleurs), il m’a raconté le truc du prix du billet.

Genre, un aller-retour Paris-New York, c’était la folie.

Il m’a dit, à l’époque, vers 2001, un billet pouvait coûter dans les 9000 euros.

C’est comme si, aujourd’hui, tu claquais 13 000 balles, easy. Dingue, non?

• Imagine le salaire!
• Juste pour voler plus vite…
• Faut être blindé.

Je me souviens avoir pensé : “Jamais je ne pourrai me payer ça”. Mais bon, voler dans le Concorde, c’était un truc de fou. Jean-Pierre disait que c’était comme être une rockstar.

Pourquoi le Concorde a-t-il été retiré ?

Coût. Bruit. Accident. Voilà. Trop cher à exploiter, le Concorde. Gourmand en kérosène. Sonic boom, pas populaire auprès des riverains, hein ? Imaginez le boucan. Puis, le crash du 25 juillet 2000. Air France vol 4590. Triste histoire. A refroidi tout le monde. Concorde, symbole de luxe et de vitesse… devenu symbole de danger.

• Carburant : prix fluctuant, impact direct sur la rentabilité. Mon voisin, pilote à la retraite, me racontait… Difficile à gérer pour les compagnies.
• Bruit : supersonique, ça claque. On m’a dit que ça vibrait dans les maisons près des aéroports. Restrictions de vol, donc moins de destinations possibles.
• Sécurité : l’accident a mis en lumière des faiblesses. Confiance ébranlée. Réparations coûteuses.

Les 9000 euros le billet, c’est dire. Accessible à une élite. Peu de passagers. Équation économique complexe. Rénover la flotte aurait coûté une fortune. Trop risqué pour les compagnies. Un ami ingénieur aéronautique m’expliquait la complexité des moteurs… Fascinant mais terriblement cher. Dommage, le Concorde, une belle machine. Un peu comme un dinosaure, finalement. Adapté à son époque, mais plus vraiment au monde moderne.