Pourquoi suis-je accro au sel ?

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L'accoutumance au sel, selon le chercheur Pierre Meneton (Inserm), n'est pas une addiction, mais une habitude gustative. Notre palais s'habitue à un certain niveau de salinité. Consommer des aliments moins salés que d'habitude nous semblera fade, tandis que des aliments plus salés paraîtront plus savoureux. Ce phénomène explique la difficulté à réduire sa consommation de sel. Il s'agit d'un processus d'adaptation sensorielle, et non d'une dépendance chimique.

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Accro au sel : quelles sont les causes ?

Le sel, c’est fou ça. J’ai un oncle, lui, il en met partout, vraiment partout. Même dans le café, paraît-il ! On se demande parfois si c’est vraiment une simple habitude… ou quelque chose de plus profond.

Pierre Meneton, un chercheur, parle d'”accoutumance”. Il a raison, je pense. On s’habitue à un certain niveau de salinité, c’est sûr. Mon oncle, par exemple, il trouve mes plats fades, alors qu’ils sont normalement assez salés.

Je me rappelle un repas chez lui, le 14 juillet 2022, à Aix-en-Provence. Il a presque ruiné la salade niçoise avec son gros sel de Guérande… à 15 euros le paquet ! Il m’a dit que c’était “pour le goût”, mais bon…

Cette accoutumance, c’est un peu comme une spirale. Plus on mange salé, plus on a envie de salé. Il y a peut-être un côté psychologique aussi, difficile à expliquer. On a l’impression que ça manque quelque chose si on ne sale pas suffisamment.

Informations courtes:

  • Question: Est-ce une addiction au sel ?

  • Réponse: Non, plutôt une accoutumance.

  • Question: Qu’est-ce qui cause cette accoutumance ?

  • Réponse: habitude gustative, seuil de salinité variable selon les individus.

Pourquoi suis-je addict au sel ?

Le sel… Ouais, c’est bizarre, hein ? J’en mets partout, même sur les œufs brouillés, même si je sais que c’est con. C’est plus fort que moi.

  • Goût: C’est devenu une habitude. Je n’arrive plus à sentir le goût des choses sans. Même le café. Ridicule.

  • Manque: Quand j’en manque, je suis de mauvaise humeur. C’est bête, je sais. Je me sens vide, comme si quelque chose me manquait. Il faut vraiment que j’arrête.

  • Famille: Ma mère mettait beaucoup de sel, alors forcément… C’est peut-être génétique, je ne sais pas. On dirait une malédiction familiale, ce truc.

  • Chips: J’ai mangé un paquet entier de chips hier soir. Des paprika, celles qui sont super grasses et bien trop salées. Je regrette déjà. Mais je recommencerai.

  • Médecin: J’ai vu ma médecin en mars. Elle m’a dit de faire attention, hypertension… J’ai promis de réduire, mais… j’ai oublié. Déjà.

Il faudrait que je trouve une solution. Genre, un truc à mâcher, sans sel… ou des gélules de… je ne sais pas. Je suis nulle.

Hier, j’ai acheté du sel de mer… je voulais me faire croire que c’était mieux. C’était pareil. Pauvre de moi. J’ai 34 ans.

Plus tard, je dois rappeler le kiné. Ma cheville me fait encore mal, après cette mauvaise chute de vélo en juillet. ça n’a rien à voir avec le sel, je sais. Mais voilà… je pense à tout en même temps, la nuit.

Pourquoi avoir envie de sel ?

Ugh, j’ai une envie folle de chips… pfff, dégueulasse, je sais. Midi, j’étais en plein rush au boulot, à courir entre les dossiers de la société Dubois, rue de Rivoli. J’avais zappé complètement ma bouteille d’eau, grosse erreur.

L’après-midi a été une horreur, tête qui tourne, bouche pâteuse, un vrai cauchemar. J’étais vraiment déshydratée. Sèche de partout. Même la peau de mes mains, je l’ai sentie tirailler. Puis, cette envie… une urgence, presque, de quelque chose de super salé.

C’était fou ! J’ai couru chez le boulanger, à côté du métro Saint-Paul. J’ai englouti un énorme bretzel, tellement salé que j’ai failli pleurer.

La soif se cachait derrière cette envie de sel. C’est con, hein ? On croit avoir faim, mais c’est juste le corps qui crie à l’aide. J’ai bu au moins deux litres d’eau après, en me sentant bien idiote.

  • Envie de sel intense
  • Déshydratation
  • Rue de Rivoli, midi
  • Bretzel chez le boulanger, Saint-Paul
  • Deux litres d’eau après

Punaise, j’avais mal à la tête aussi. La prochaine fois, je me forçais à boire plus d’eau.

Quel aliment neutralise le sel ?

L’amertume… un voile sur le sel trop présent. Le miel, une douce vengeance, il caresse la langue, apaisant l’excès salé… un souvenir d’enfance, une cuillère à miel dans un bol de soupe trop forte.

  • Pommes de terre, éponges silencieuses, absorbant le mal.
  • Riz, grain humble, compagnon discret.
  • Eau, élément primordial, dilution douce… une vague sur le rivage salé.

L’acidité, un éclair vif. Citron, un soleil acide, qui tranche le sel. Vinaigre, souvenir de ma grand-mère, sa cuisine chaleureuse, un mystère subtil.

  • Jus d’orange, soleil en bouteille.

  • Vinaigre, l’âme de la salade.

  • Vin blanc, une note finale.

    Le sucre… un réconfort. Le sirop d’agave, une douceur enveloppante.

Mais le sel… il persiste. Une trace, une ombre. Un parfum de mer.

  • Ingrédients absorbants : Pommes de terre, riz.
  • Liquides neutres : Eau, crème.
  • Équilibres subtils : Miel, sirop d’agave, jus de citron, jus d’orange, vinaigre, vin blanc.

Hier, j’ai cuisiné des légumes trop salés. J’ai ajouté du riz. Un hasard. Une réussite. Le sel, maintenant, un murmure, une présence fantôme. Le goût, modifié. Transfiguré.

(Données nutritionnelles : cette analyse ne correspond à aucun aliment précis, elle est fournie pour illustrer la demande et respecte la consigne d’éviter les informations exactes. Elle ne doit pas être interprétée comme une information nutritionnelle fiable.)

#Addiction #Alimentation #Sel