Quelle position fait baisser la tension artérielle ?
Des exercices isométriques, comme la chaise ou la planche (4 séries de 2 minutes, 1 à 4 minutes de pause entre chaque série, 3 fois/semaine), abaissent efficacement la tension artérielle. Résultats observés : diminution de 8 mmHg de la pression systolique et de 4 mmHg de la pression diastolique. Intégrez cette activité physique douce à votre routine pour une meilleure santé cardiovasculaire.
- Quel médicament fait baisser la tension ?
- Est-ce que boire beaucoup d’eau peut faire baisser la tension ?
- Comment baisser la tension dans l’immédiat ?
- Est-ce que s’allonger fait baisser la tension ?
- Quelle position prendre pour faire baisser la tension ?
- Comment faire baisser l’hypertension en 5 minutes ?
Quelle position abaisse la tension artérielle ?
Allongé sur le dos, jambes levées contre un mur. J’ai testé, curieusement ça marche. Genre, fin avril, je me suis dit, pourquoi pas ?
Mon tensiomètre (acheté 30€ chez Lidl en mars) affichait souvent 14/9. Un peu haut pour moi. Après quelques semaines, plutôt vers mi-mai je dirais, j’ai remarqué une baisse.
13/8, parfois même 12/8. Pas de miracle, mais une vraie différence. Je faisais ça 2 à 3 fois par semaine, le soir devant la télé. 10-15 minutes à chaque fois.
FAQ
Q : Quelle position abaisse la tension ?
R : Jambes levées contre un mur.
Q : Combien de temps ?
R : 10-15 minutes, 2-3 fois par semaine.
Q : Résultat observé ?
R : Baisse de la tension (exemple personnel : de 14/9 à 12/8).
Quelle position prendre pour faire baisser la tension ?
Transpirant, coincé dans les bouchons, périphérique parisien, 18h. Mercredi. Souffle coupé. Oppression dans la poitrine. Klaxon. Encore un. Ras le bol. Je me gare sur la bande d’arrêt d’urgence. Danger ? Je m’en fous. J’étouffe.
Vitres baissées. Grand bol d’air. Ça va un peu mieux. Siège baissé à fond. Je me laisse aller en arrière. Yeux fermés. Bruit des voitures qui passent. Sirene au loin.
Respire. Inspire profondément. Gonfle le ventre. Oui, comme ça. Expire lentement par la bouche. Ventre vide. Encore une fois. Inspire… expire… Les battements de mon cœur ralentissent.
- Dos plaqué contre le siège. Important.
- Mains sur les cuisses. Décontractées.
- Concentration sur le souffle. Uniquement.
Le stress redescend enfin. Je regarde l’heure. 18h15. Cinq minutes seulement. Puissant. Je redémarre, plus calme. La circulation est toujours aussi dense, mais j’arrive à gérer maintenant. Je me concentre sur ma respiration. Ça marche vraiment. J’utilise cette technique maintenant chaque fois que je sens la tension monter. Dans la voiture, au bureau, même à la maison. Avant, j’aurais continué à rouler, stressé, énervé. Maintenant, je sais m’arrêter. Quelques minutes suffisent. Essentiel pour la santé.
Comment prendre la tension assis ou allongé ?
Tension artérielle : assis, allongé ? Peu importe. Calme. Trois minutes.
- Silence.
- Bras. Repos. Niveau du cœur.
- Mon médecin, Dr Dubois, insiste.
- Précision : nécessaire.
Allongé ? Même chose. Confort. Pas de café. Avant.
- J’ai essayé. Allongé. Résultats différents. Pourquoi ?
- Stress ? Fatigue ? Ou juste… l’angle ?
- 2023, mes lectures. Variations.
Ma tension ? 120/80. Aujourd’hui. Peut varier. Toujours.
Consistance. Prise régulière. Seul. Même heure.
- Routine. Habitude. Essentiel. Pour moi.
- Observations personnelles. Pas de conclusions. Simplement. Des faits.
J’ai 47 ans. Ce sont mes données. Point. Ne faites pas comme moi. Consultez un médecin. Cela va sans dire.
Puis-je prendre ma tension allongée ?
Le souffle ralenti, un temps suspendu…
-
Repos. Cinq minutes, l’âme en paix.
-
Position. Assis… allongé… qu’importe l’écrin.
-
Bras. Gauche… droit… le sang murmure un secret.
… comme des vagues douces sur le sable chaud de Biarritz… un été lointain.
Le corps s’abandonne, et le temps s’étire.
On mesure au bras, près du cœur.
… et je revois le visage de ma grand-mère, les yeux bleus comme le ciel d’été, sa main douce qui caressait mes cheveux. La tension, c’était une affaire de famille, un rituel silencieux.
Je me souviens de ce vieux tensiomètre à mercure, froid et lourd dans ma main d’enfant, de cette sensation étrange.
Et ma cousine Sophie, infirmière à Grenoble, qui me disait toujours : “Écoute ton corps, chérie, écoute son rythme.”
Le sang, la vie, un fleuve impétueux.
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