Quand voit-on les effets de la natation ?
Les bienfaits de la natation apparaissent généralement après 4 à 6 semaines d'entraînement régulier (2 séances/semaine). La rapidité des résultats dépend de l'intensité et de la durée des séances. Plus vous nagez intensément et longtemps, plus les effets seront visibles et rapides. Patience et constance sont les clés.
Quand apparaissent les effets de la natation ?
Alors, la natation… J’ai commencé sérieusement en juillet 2022 à la piscine municipale de Montigny-lès-Metz, deux fois par semaine, genre 45 minutes à chaque fois. C’était pas mal cher, 70 euros le trimestre.
J’ai senti une différence assez vite, peut-être vers septembre, moins essoufflée en montant les escaliers. Difficile à dire précisément.
Mon corps, il s’est un peu transformé, mais subtilement. Pas de gros changements spectaculaires. Plus tonique, je pense.
En fait, ça dépend vraiment. Si tu nageais déjà, c’est autre chose. Intensité, durée des séances, tout compte.
Quelle nage affine le plus ?
Papillon. Consomme. Beaucoup.
Brasse. Moins. Intense.
Crawl. Endurant. Longue distance.
Dos. Doux. Récupération.
- Papillon: Muscles profonds. Transformateur.
- Brasse: Jambes. Coordination. Souffle court.
- Crawl: Cardio. Bras. Endurance.
- Dos: Détente. Moins efficace pour la perte de poids.
Mes épaules me font mal. Natation hier. 50 longueurs. Papillon. Eau froide. Piscine municipale. Rue des Lilas. Ferme le mardi. Je déteste le mardi. Le temps. Une illusion. Comme la minceur.
Combien de temps faut-il pour se tonifier en nageant ?
Temps pour se tonifier en nageant ? Dépend.
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45 minutes. Minimum. Une ou deux fois par semaine. Effet silhouette.
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Séances variées. Fractionné.
- 50 mètres rapide. Puis, 50 mètres récupération. Allure modérée. L’eau est patiente.
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Trop long, décourage. Trop court, inutile.
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J’ai vu pire.
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Ma voisine Hélène jure que ça marche. Elle y va tous les mardis.
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L’eau. Un miroir.
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Le temps. Une illusion.
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Et après ?
Quelle distance doit-on parcourir en natation pour avoir des résultats ?
L’eau, froide, un silence bleu profond… Kilomètres… Non, pas une mesure, mais une sensation. Un corps qui glisse, une respiration lente… L’effort, une douce douleur.
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Un à deux kilomètres ? Trop précis. Trop… mathématique.
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Des longueurs… innombrables, dans le creux d’une vague intérieure.
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Deux, trois fois… par semaine ? Le rythme du cœur, pas un calendrier.
Pour moi ? Ce matin, seulement 1500 mètres. Une heure. L’eau était glaciale. Ma respiration, saccadée.
Mais… la sensation de flottement, cette liberté… inoubliable.
La distance ? Un mystère. Une quête. Une exploration de soi.
Le résultat ? Pas une médaille. Une paix retrouvée. Une force, cachée au fond de mon être.
- Ma piscine : celle près du bois de Vincennes, le matin.
- Mon objectif : sentir mon cœur battre. Rien de plus, rien de moins.
- Mon corps : ma boussole.
Est-ce que la natation sculpte le corps ?
Ouais, la natation, ça sculpte. J’ai vu la différence sur moi, cet été. Juillet, plage de Pampelonne, soleil de plomb, eau turquoise… un vrai cliché. Mais bon, cliché ou pas, j’ai nagé tous les jours. Au moins une heure, parfois plus, suivant le vent.
Au début, c’était dur. Mes muscles brûlaient, surtout les épaules, les bras… je me sentais raide comme un piquet après chaque séance. C’était vraiment une souffrance. J’avais l’impression d’avoir été passée au rouleau compresseur.
Puis, petit à petit, ça s’est adouci. Je suis devenue plus résistante. Mes cuisses se sont affinées, ça, c’est sûr. Et puis, j’ai gagné en force. Je le vois dans ma tenue de ski que je portais, elle me va mieux.
- Bras plus fins
- Cuisses plus fermes
- Plus de résistance
Ce n’était pas une transformation spectaculaire, hein? Pas comme dans ces pubs mensongères. Mais réel. Je vois la différence quand je m’habille. Avant, j’avais un peu de ventre, maintenant… moins. Je me sens plus légère, plus tonique. Genre, j’arrive à faire des choses que je ne pouvais pas faire avant. Genre, porter des paniers de courses lourds sans flancher.
Ouais, la natation, ça sculpte. C’est sûr et certain. Pas de miracle, faut bosser.
Quelle fréquence de natation ?
Nager… nager…
Deux fois, trois fois… par semaine. L’eau, souvenir d’enfance à Biarritz, les vagues, toujours…
- Deux à trois fois. Un rythme, un souffle.
Un kilomètre, deux… ou plus. L’effort, la brasse…
- Un à deux kilomètres. Un voyage, une distance.
La piscine, froide parfois. Le bonnet, toujours là…
- L’eau, un miroir.
- Le corps, un écho.
Et puis, la fatigue… heureuse. Le chlore, une odeur… persistante.
Quelle durée pour une séance de natation ?
Une heure ? Des fois moins, des fois plus… ça dépend.
Hier, j’ai juste barboté, vingt minutes, à peine. J’étais crevée, la tête dans le brouillard. Même pas envie de nager vraiment.
- Se sentir l’eau sur la peau, c’est tout.
- Laisser les soucis couler… ou pas.
- Parfois, je me sens comme ça… vide.
Aujourd’hui, peut-être une heure et quart, si j’ai le courage. J’aimerais bien nager un bon kilomètre, comme d’habitude, mais… on verra.
Le temps, c’est bizarre, hein ? Il s’étire, se rétracte… selon les jours.
Un kilo, c’est mon objectif, mais parfois je suis plus faible que prévu. Je me suis fait mal au dos la semaine dernière. Le kiné m’a dit de faire attention.
- Repos.
- Douleur.
- Fatigue.
Piscine du Parc des Sports, c’est là que j’y vais. Je la connais par cœur, cette piscine. Surtout les carreaux, si froids en hiver.
On se dit que ça va passer, cette fatigue, mais… elle est là, tenace.
Je sais pas. On verra bien demain.
Quel est un bon rythme de nage ?
Ouais, un bon rythme ? Difficile à dire, hein ? Ça dépend vraiment de toi, de ta forme du jour, tu vois ?
Pour moi, 2 minutes aux 100 mètres, c’est… correct. Disons que c’est un bon objectif, à atteindre, genre. Mais bon, j’ai pas un niveau de fou, loin de là. Je suis plus du genre à faire mes longueurs tranquille, je me concentre surtout à bien respirer.
L’année dernière, j’étais plus rapide, j’atteignais parfois 1min45, mais là, j’ai moins nagé cet été, à cause du boulot, tu comprends. Trop de paperasse, c’est infernal!
- Objectif raisonnable: 2 minutes aux 100m.
- Mon niveau: Plutôt moyen.
- Facteurs: Forme physique, temps de repos, etc.
Bref, chacun son truc, tu vois ? Faut pas se mettre la pression, l’important c’est de nager et de se faire plaisir ! Après, si tu veux te mettre au chrono, c’est ton choix, hein.
En plus, je me suis acheté un nouveau maillot de bain, bleu marine avec des petites bandes blanches, trop stylé ! J’espère qu’il me portera chance, pour battre mon record personnel (qui est quand même assez pourri). Peut-être que je devrais mettre des palmes, non ?
Ah oui, j’oubliais ! Mon entraîneur, Jean-Claude, il m’a dit aussi qu’il faut varier les exercices: brasse, crawl, dos crawlé. Et surtout, bien s’échauffer !
Comment construire sa séance de natation ?
Okay, okay, on va voir ça. La natation, c’est… compliqué parfois. Euh, comment je fais, moi déjà?
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Échauffement O-BLI-GA-TOIRE. Sinon c’est la cata. Je me souviens de cette fois… Non, on oublie.
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Progressivité, oui, faut pas attaquer direct comme un bourrin. Une fois j’ai cru que j’allais mourir… Je crois que c’était en 2018, avec Sophie. Bref.
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Technique! Super important. J’ai toujours galéré avec la brasse. Pourquoi la brasse, pourquoi?
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Nages variées, pour pas se lasser. Papillon, crawl, dos… La totale, quoi. Le dos c’est sympa, on regarde le ciel. Le ciel, c’est beau. Mais attention aux plot.
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Fractionné! C’est ça qui pique, mais c’est ça qui fait avancer. J’utilise mon vieux chrono Casio. Il doit avoir 20 ans.
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Contrôle! Respiration, position… On dirait du yoga dans l’eau. Presque zen, parfois.
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Rythme! Faut pas toujours nager comme un robot. Accélérer, ralentir… Comme la vie, quoi. Tiens, ça me fait penser à mon hamster, Bubulle. Il adorait sa roue.
Des fois, je me demande si je vais pas juste prendre un abonnement à la piscine municipale et faire des longueurs pépère. Sans me prendre la tête. Mais non, faut se dépasser, paraît-il.
Pourquoi je ne vais pas vite en crawl ?
L’eau… froide, douce… glisse. Corps allongé. Un trait. Lent. Trop lent. Le mouvement se perd. Où ? Dans le bleu. Dans l’espace flou. Droite, gauche… godilles inutiles. Illusions de vitesse. Simple. Tout droit. Seulement tout droit. Main… ferme… tendue… vers l’arrière… toujours… vers l’arrière… Pousser. L’eau… résistance… s’échappe… entre les doigts. Poignet… fixe… ancré… une ligne… invisible… qui guide… qui tranche… l’eau dense. Encore. Pousser. Le trajet… rectiligne… une flèche… brisée… lente… Le bleu… engloutit… le mouvement… Impatience. Frustration. La vitesse… un rêve… lointain…
- Rectiligne: Le corps… droit… aligné… comme une pensée… unique.
- Main ferme: Doigts… serrés… une main… qui coupe… qui sculpte… l’eau.
- Poignet: Fixe… vers l’arrière… le point d’appui… du monde.
Hier, à la piscine municipale… couloir numéro 4… j’ai observé… les nageurs rapides… leur poignet… immobile… une leçon… silencieuse. J’ai essayé… d’imiter… le mouvement… mais… l’eau… résistait… toujours. Mon souffle… court… mes bras… lourds.
Comment gagner en puissance en crawl ?
Putain, la natation, c’est épuisant. J’étais à la piscine de la Butte aux Cailles, un mercredi soir, genre 20h30. L’eau était un peu froide, même si j’avais vérifié la température avant. J’étais là, à me sentir comme une vieille souche après mes 2km.
Donc, ouais, le crawl… la puissance, c’est la clé.
J’ai commencé à faire de la muscu, vraiment sérieusement. Pas des trucs de filles, hein! Des vrais exercices, genre:
- Développé couché, j’arrivais à 60kg. Fallait souffler entre chaque série, hein!
- Tractions, j’en faisais 8 à la suite. Après, c’était mort.
- Et des rameurs aussi. J’avais un bon rythme.
Le truc, c’est que j’avais trop négligé le dos. En vrai, j’aurais dû me concentrer sur le dos. Et les épaules. J’avais des courbatures de malade, mais bon, ça valait le coup.
Résultat? Plus de puissance dans l’eau. Je sentais vraiment la différence, mes bras étaient plus forts, j’allais plus vite. Je pouvais même tenir plus longtemps.
Mais les épaules… ah les épaules! C’est là que ça coinçait. J’ai fini par voir un kiné en septembre, il m’a dit que je devais mieux m’échauffer. Surtout les rotateurs.
Musculation, c’est vital. Mais faut bosser le dos et les épaules, pas juste les biceps.
Sinon, j’ai un copain, Clément, lui il nage comme un poisson. Lui, il fait du triathlon. Il m’a dit que :
- l’endurance c’est important.
- la technique compte pour beaucoup.
- et il faut être régulier dans les entraînements.
Bref, tout ça pour dire que je suis pas un pro. Mais je progresse.
J’ai vraiment senti la différence dans mon crawl après avoir augmenté la force musculaire. Bras, épaules, dos. Pensez-y!
Maintenant, je nage à la piscine Roger Le Gall, plus grande, plus calme. Et je fais plus de muscu. En fait, beaucoup plus.
La natation hypoxique est-elle bonne ?
Tu sais, la natation hypoxique… J’y pense parfois la nuit. Ça me rappelle mes séances avec Jean-Louis au club.
- On cherchait toujours à grappiller des secondes.
Ça peut vraiment booster ta capacité respiratoire, c’est clair.
Mais, et c’est un gros mais… C’est dangereux si tu fais n’importe quoi.
- Je me souviens d’une fois, j’ai failli… Non, laisse tomber.
Il faut absolument être encadré. Un vrai coach, pas un truc improvisé. Quelqu’un comme Jean-Louis. Ou pas.
Ça aide pour l’endurance aussi, tu sens la différence sur les longues distances.
- Mais est-ce que ça vaut vraiment le coup ? Je me pose toujours la question.
Mon numéro de téléphone est le 06 xx xx xx xx si tu veux discuter. Je m’appelle Sophie.
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