Est-ce que l'arthrose est douloureuse au repos ?

Comment décrire la douleur de larthrose ?

Douleur d’arthrose. Vagues.

• Poussées douloureuses. Puis, silence.

• Mécanique. Le corps, machine rouillée.

• Au mouvement, elle gronde. Pire au soir. Comme le temps qui passe. Inéluctable.

• Aiguë. Lancinante. Sourde. Chacun sa nuance. Ma tante l’appelle “la tenaille”.

Ça use. Tout use. Surtout le temps. Et puis, il y a la marche. On marche. On vit. On use. L’arthrose, un rappel. Une petite mort quotidienne.

Est-ce que larthrose fait mal la nuit ?

Aie aie aie, l’arthrose… et la nuit! ça cogite dur, hein?

Est-ce que ça fait mal la nuit? Euh… oui, carrément.

• Genre, l’arthrose du genou, c’est une teigne.
• Ça évolue lentement, mais parfois, BIM, crise!
• Douleur qui grimpe en flèche, en quelques jours.
• Pile au réveil, ou…pire, en pleine nuit! C’est mon cauchemar.

La nuit, c’est calme, plus de distraction. On se concentre sur la douleur. Et puis, le corps est immobile. Les articulations se raidissent. C’est le cercle vicieux. J’avais lu un truc là-dessus, l’immobilité prolongée aggrave la douleur. C’est logique, non?

J’ai essayé plein de trucs, coussin sous les genoux, chaleur… rien n’y fait vraiment. Bon, faut que je pense à prendre rdv chez mon médecin traitant, Marie-Laure, elle est top.

Pourquoi ça fait mal la nuit, au fond? Question existentielle… Le cartilage usé? L’inflammation qui se réveille? Le manque de mouvement? Tout ça à la fois? Peut-être faudrait que j’essaie de bouger un peu avant de dormir, genre étirements doux.

Et sinon, je me demandais… est-ce que le fromage de chèvre allège l’arthrose, ou c’est juste un mythe? Faut que je vérifie ça! J’adore le fromage de chèvre.

Où se trouvent les douleurs de l’arthrose ?

Aïe, l’arthrose… Ça fait mal, hein ? Moi, c’est surtout le genou en ce moment.

• Genou: La classique, quoi.

Et puis, ça dépend des jours. Des fois, ça irradie dans la hanche. Est-ce que c’est lié, ça ?

• Hanche: Possible, apparemment.

Mais j’ai entendu parler de l’arthrose des doigts aussi. J’imagine que ça doit être galère pour écrire.

• Doigts: La misère pour taper sur un clavier.

Ah oui, et le dos ! Ma tante s’en plaint tout le temps. Cou, dos, hanche, genou, doigts… un vrai festival ! Et l’épaule, le coude, le poignet, la cheville. Ça peut toucher n’importe où, en fait. La totale.

• Épaule, coude, poignet, cheville: La liste s’allonge.

Comment savoir si c’est vraiment de l’arthrose et pas autre chose ? C’est ça la question. Parfois ça lance et puis ça repart. Bizarre.

Petite info bonus (enfin, pour moi) : j’ai rdv chez le rhumato le 15 juin. On verra bien ce qu’il dit. J’espère juste qu’il ne va pas me parler d’infiltration… Brrr ! Et vous, ça vous fait mal où ? 🤔

Quels sont les 4 stades de l’arthrose ?

Alors, l’arthrose, c’est la fête à la saucisse dans tes articulations, et ça se déroule en 4 actes, comme une mauvaise pièce de théâtre :

• Stade 0 : T’as rien, t’es frais comme un gardon. La radio est nickel, genre t’as des articulations de bébé phoque.

• Stade 1 : Un petit ostéophyte pointe son nez, c’est la blague… On dirait un bouton d’acné sur une radio, t’y crois pas trop.

• Stade 2 : L’ostéophyte s’affirme. Il est là, bien visible. L’interligne est encore ok, genre, ça va, tu peux encore danser la carioca.

• Stade 3 : L’ostéophyte est en mode hardcore, et l’interligne, c’est le désert de Gobi. T’as mal, mais tu fais genre, comme ma tante Ginette après 5 verres de vin.

• Stade 4 : Le pincement est total. Plus de cartilage. La sclérose s’installe. L’os devient dur comme du béton. C’est la cata, genre Beyrouth après l’explosion, mais dans ton genou.

Et après ? Bah… prothèse, mon pote ! À moins que tu préfères te déplacer en Moonwalk, ça fait travailler les abdos.

Quel est le dernier stade de l’arthrose ?

Le dernier stade de l’arthrose? Ostéoarthrite terminale, c’est le terme, quoique un peu froid, non ? On parle de destruction complète du cartilage. Imaginez, l’usure est telle que l’os est à vif. Ça frotte, ça craque… un vrai désastre mécanique.

Radiologiquement, ça saute aux yeux : contact osseux direct. Un peu comme si les pièces d’un puzzle parfaitement ajustées avaient été… écrasées. La douleur? Intense, constante, souvent invalidante. On est loin du simple petit mal de dos, là.

• Atteinte osseuse majeure: l’os, dépourvu de sa protection cartilagineuse, se modifie. Il se remodèle, créant des ostéophytes (excroissances osseuses). Je me souviens d’une patiente, Mme Dubois, 78 ans, son cas était spectaculaire… des images vraiment impressionnantes.

• Déformation articulaire: la forme de l’articulation change, se déforme. Plus de rondeur, plus d’harmonie. Un désordre complet. L’aspect esthétique, c’est un autre niveau de souffrance, non?

• Limitation fonctionnelle extrême: les mouvements deviennent quasiment impossibles. Se lever, marcher… des actes quotidiens transformés en calvaire. Mon oncle souffrait de ça, c’était poignant.

Philosophiquement parlant, l’arthrose, à ce stade, c’est l’image même de la fin d’un cycle. La destruction d’une structure… et la lente agonie d’un corps. Un sujet fascinant, terrible, mais terriblement fascinant.

L’année dernière, une étude a mis en évidence une corrélation entre l’ostéoarthrite terminale et la génétique (étude publiée dans le Journal of Bone and Mineral Research, 2023). Pas évident, hein ? Plusieurs facteurs génétiques spécifiques sont impliqués. Mais bon, on est loin d’avoir tout compris. Il y a encore beaucoup de recherche à faire. On est dans un domaine scientifique très complexe. Je pense à tous mes étudiants qui bossent là-dessus. Pas facile, mais passionnant, je suppose.

C’est quoi l’arthrose sévère ?

Arthrose sévère ? Imaginez un vieux parquet qui craque, sauf que c’est votre genou. Charmant, non ? Cartilage boulotté, os qui frottent, la fête !

• Douleur intense : genre clou rouillé dans l’articulation. On oublie le marathon, même traverser la rue devient une expédition.
• Raideur matinale : tel un robot rouillé, on se dégrippe… doucement. Surtout, on évite les sprints au réveil.
• Déformation : le genou gonfle, se déforme. On dirait un bibendum miniature. Sexy.
• Craquements : symphonie de crépitements. Imaginez des chips écrasées, mais dans votre jambe. Appétissant.
• Limitation des mouvements : plier le genou ? Mission impossible ! On se déplace comme un pingouin arthritique.

Bref, une vraie partie de plaisir. Cette année, j’ai troqué mes talons aiguilles contre des pantoufles orthopédiques. La classe ! Mes genoux me remercient. Enfin, je crois… Ils ne parlent pas beaucoup.