Où se trouvent les douleurs de l'arthrose ?

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L'arthrose, maladie évolutive, provoque des douleurs articulaires par poussées. Elle touche fréquemment le cou, le dos, les doigts, les hanches et les genoux. Cependant, épaules, coudes, poignets et chevilles peuvent également être affectés. Des périodes de calme alternent avec des épisodes douloureux.

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Où se situent les douleurs de larthrose ?

Alors, l’arthrose, cette satanée chose, elle se loge un peu partout en fait. C’est pas vraiment sympa.

Moi, je me souviens, y’a 3 ans, en plein mois de juillet, à Annecy, j’avais le genou qui me faisait un mal de chien. Impossible de faire de la rando, alors que j’étais venu pour ça! Une horreur. 😩

L’arthrose, c’est vicieux. Ca te lâche parfois, et puis ça revient, en mode “surprise!”. C’est des douleurs qui fluctuent.

En gros, les endroits les plus touchés, c’est le cou, le dos, les doigts (je vois ma grand-mère avec ses mains déformées 😔), la hanche et le genou, ça c’est sûr. Mais elle peut aussi s’installer dans l’épaule, le coude, le poignet, les chevilles… Bref, c’est un peu la loterie. 🤷‍♀️

En bref : Où ça fait mal l’arthrose?

  • Principales zones: Cou, dos, doigts, hanche, genou.
  • Autres possibilités: Épaule, coude, poignet, cheville.
  • Particularité: Douleurs variables, avec des périodes de crise et des moments de calme.

Comment savoir si nos douleurs sont de larthrose ?

Douleur, murmure ancien, arthrose peut-être…

La douleur, tel un écho discontinu, un refrain brisé.

  • Des vagues qui montent, puis s’estompent, un silence qui trompe.
  • Mécanique, disent-ils, comme un rouage grippé, un temps qui s’étire et craque.

Des jours de grâce, oubli fugace, puis le réveil brutal.

C’est mon genou, je crois, il chante faux par moments.

  • L’arthrose ? Peut-être.
  • Douleur qui va et vient, comme les souvenirs d’enfance.

Des silences, des cris, des traces indélébiles.

  • Est-ce l’arthrose?
  • Le temps répondra.

Est-ce que larthrose peut faire mal partout ?

Bon, l’arthrose… Moi, ça a commencé au genou, droit, je crois. Ou gauche? Bref.

  • Douleur vive quand je montais les escaliers, tu vois. L’immeuble de ma grand-mère, rue de la Pompe, sans ascenseur… Un enfer!
  • Puis ça irradiait. Dans la hanche.

Maintenant, les mains! Impossible d’ouvrir un bocal de cornichons sans grimacer. Genre, vraiment.

J’ai entendu dire que ça pouvait faire mal partout, oui. Genre, toutes les articulations. Quelqu’un de ma famille a des problèmes à la colonne. C’est pas joyeux.

Moi, j’ai aussi un truc au gros orteil. Je mets des chaussures spéciales. Et je prends des trucs pour la douleur. C’est la vie, hein.

Arthrose:

  • Genoux.
  • Hanches.
  • Gros orteils.
  • Mains.
  • Colonne vertébrale.

Quest-ce qui peut provoquer une poussée darthrose ?

Bon alors, l’arthrose… c’est relou. Poussée d’arthrose, hein? Qu’est-ce qui fait ça?

  • Excès de pression… oui, logique!
  • Surcharge pondérale, genre j’ai pris 2 kilos pendant les fêtes, aïe…
  • Porter des trucs lourds, comme les courses le samedi.
  • Sport trop intense… le marathon que j’ai jamais couru, mais bon. Mauvaise posture aussi.

Et puis, y a d’autres trucs, non?

  • Peut-être l’âge, j’approche de la quarantaine… ça joue?
  • Génétique, ma grand-mère avait ça, la totale.
  • Un ancien traumatisme, genre ma chute en ski à Val Thorens en 2010…
  • L’humidité aussi, j’ai l’impression que ça empire par temps de pluie.
  • Le stress? Probablement.
  • Inactivité? Se bouger c’est mieux, mais sans forcer.

Bref, un peu tout et n’importe quoi… c’est ça l’arthrose?

Quels sont les 4 stades de larthrose ?

C’est drôle comme la nuit, elle… elle laisse les pensées dériver. Tu sais, l’arthrose et ses étapes. On dirait une histoire qu’on écrit malgré soi.

  • Stade zéro: le début, l’innocence. Les radios sont belles, presque parfaites. Comme un souvenir qu’on essaie de retenir.

  • Stade un: un doute. Un petit os qui pousse, un ostéophyte. On ne sait pas trop quoi en faire. Est-ce que c’est grave ? Est-ce que ça va empirer ?

  • Stade deux: C’est net. L’ostéophyte est là, bien visible. Mais l’interligne, ce petit espace… il tient encore. Ça rappelle ces amitiés qui craquent, mais tiennent quand même. J’ai connu ça avec Sarah, au lycée. Longtemps après, j’ai su qu’elle me détestait.

  • Stade trois: L’interligne se rétrécit. La fin approche. C’est plus difficile. L’arthrose gagne du terrain. Ce genre de truc me stresse toujours. J’ai une tante, elle s’appelle Marie-Claire, elle vit un enfer à cause de ça.

  • Stade quatre: Presque plus d’espace. Un pincement sévère. L’os se durcit en dessous. La sclérose. Une cicatrice, une marque indélébile. Tout ce qu’on essaie d’oublier, mais qui reste là. C’est comme mon enfance à Nancy.

J’espère avoir bien répondu. C’est dur d’écrire.

Cest quoi larthrose sévère ?

Arthrose sévère du genou? Ouh là là, préparez les béquilles! On parle d’une usure de cartilage digne d’une vieille bagnole qui a fait le Dakar dix fois de suite. Imaginez vos genoux comme des pneus à plat, mais en pire, genre, crevés par un éléphant fou.

  • Douleur infernale: On parle pas d’une petite douleur, non. Là, on est dans le registre “hurlements nocturnes”, “larmes de crocodile” et “supplications aux dieux de la médecine”.
  • Mobilité réduite: Vous, qui dansiez la Macarena comme une star il y a quelques années, vous vous contenteriez maintenant d’un lent déplacement façon escargot sur le trottoir. Mon voisin, lui, a carrément remplacé ses chaussures par des rollers… à cause de l’arthrose, forcément.
  • Déformation du genou: Genre, votre genou ressemble à une pomme de terre un peu trop mûre. On dirait un personnage de dessin animé qui a pris trop de coups.

C’est quoi la cause? Mystère! Le coupable est en cavale. Peut-être un mauvais karma? Un excès de macarons? L’enquête est ouverte! Mon médecin m’a juste dit “vieillesse”, comme si c’était une explication valable.

Traitements? Des tonnes de trucs, mais rien de magique. Je prends des trucs, ça fait un peu moins mal mais j’attends toujours le miracle. J’ai même testé l’acupuncture, mes aiguilles sont maintenant des sculptures modernes que j’expose dans mon salon. Ah, et j’ai acheté un fauteuil XXL, le genre où on ne se relève plus. C’est mon nouvel amour.

J’ai 52 ans et une arthrose qui me pourrit la vie depuis deux ans. J’ai une connaissance qui se déplace en fauteuil roulant, et elle s’en sort plutôt bien, ça fait un peu envie.

Quand opérer une arthrose ?

Quand opérer une arthrose ? Difficile à dire, ça dépend tellement…

  • Douleurs, oui, mais lesquelles ? Des coups de poignards ? Une brûlure sourde ? Ce n’est pas pareil.
  • Ma mère, elle, a attendu trop longtemps. Trop. Elle a fini par ne plus marcher du tout.

Je me rappelle du chirurgien, un type froid… Il avait dit trois mois d’attente. Trois mois à se tordre de douleur. Trois mois…

  • Raideur ? Ah oui. La raideur matinale, cette sensation de rouille dans les articulations… C’est horrible. J’ai connu ça. J’ai attendu.

J’ai 47 ans, cette année. J’ai finalement opéré mon genou gauche en février. Enfin, disons qu’on m’a opéré. J’ai encore des douleurs, un peu moins fortes, mais présentes.

  • Difficultés à se déplacer ? Surtout les escaliers. Même maintenant. J’ai dû changer de boulot.

La prothèse, c’est une solution, mais… C’est pas magique. On dirait que parfois, on échange une douleur contre une autre.

  • Mon orthopédiste, le Docteur Dupont, à Lyon. Il est bien, je pense.

Bref, je crois que c’est quand la vie devient insupportable. Quand tu ne peux plus rien faire, même les petites choses. Quand les médicaments ne font plus rien. C’est terriblement personnel.

Comment savoir si nos douleurs sont de larthrose ?

Douleur… un murmure d’os usés. L’arthrose, un fantôme. Elle s’insinue, sournoise.

  • Douleur, la première voix. Un cri sourd, parfois. Puis silence. Puis, à nouveau…

  • Poussées, puis calme. Un rythme cruel, une danse macabre avec le silence. Douleur vive, douleur absente. Un jeu étrange.

  • Mécanique. Le bruit des engrenages usés. Le grincement. Chaque mouvement, un poids.

Douleurs, comme des vagues. Elles montent, déferlent, reculent. Un ressac incessant sur les rives de mon corps. Mon corps, ce temple fatigué. L’automne de mes os.

Hier, la douleur était là, vive, mordante, dans mon genou. Aujourd’hui, elle a fui. Mais le souvenir demeure. Une ombre persistante. Comme une cicatrice invisible, toujours sensible.

  • Douleur discontinue. Une présence et une absence, insaisissable. Comme le souffle du vent, invisible, mais palpable.

Je sens, je ressens, cette fatigue profonde, cette usure lente. Une lente agonie, un deuil silencieux. Ce corps, ma maison, se défait. Doucement. Trop doucement.

  • L’arthrose, une danse silencieuse, un ballet de l’usure.

  • Consulté le rhumatologue hier. Examen prévu le 15 octobre. Le verdict? L’attente… une nouvelle douleur.

Quelle est la différence entre arthrose et polyarthrite rhumatoïde ?

L’arthrose… c’est comme une usure, tu vois ? Comme une vieille voiture, les pièces s’abîment. Mes genoux, par exemple… ça craque, ça fait mal, surtout le matin. C’est localisé, quoi.

La polyarthrite… ah, ça c’est différent. Mon oncle en souffre. C’est… tout le corps. Une fatigue épouvantable, des douleurs partout. Pas juste une articulation. Il est vraiment très diminué.

  • Arthrose: Usure articulaire. Localisé.
  • Polyarthrite rhumatoïde: Maladie systémique. Fatigue intense, douleurs diffuses.

J’ai vu ma tante pleurer à cause des douleurs de mon oncle. Elle lui massait les mains pendant des heures, c’était horrible. On a essayé plein de trucs, des crèmes, des infiltrations… rien ne marche vraiment pour lui. Il a arrêté de travailler il y a trois ans à cause de ça. Il avait un petit garage, ça lui brisait le cœur d’arrêter. Cette année, il ne peut même plus jardiner. Son dos aussi souffre beaucoup.

On essaye de rester positifs, mais… c’est dur. Surtout le soir, tu sais… quand tout est calme. Et cette fatigue… elle est omniprésente.

Il prend plein de médicaments. Des anti-inflammatoires, des corticoïdes. On espère qu’il trouvera un soulagement, mais… je ne sais pas trop. Je suis inquiète.

Est-ce que larthrose se voit dans une prise de sang ?

Arthrose et prise de sang? N’y compte pas, mon chou ! C’est comme chercher des cacahuètes dans un arbre à Noël. On a beau chercher, on trouve que des aiguilles… et des déceptions.

  • IRM, c’est le roi ! Elle voit le cartilage, même à poil ! Mais bon, on l’utilise rarement. Trop cher, trop long, et faut surtout pas avoir la claustrophobie… ou une phobie des machines qui font bzzzzzt.

  • Analyses de sang ? Pour l’arthrose, c’est un peu comme chercher l’âme sœur sur Tinder : tu peux trouver des tas de trucs intéressants, mais pas forcément ce que tu cherches. Elles servent surtout à éliminer autres maladies, genre la grosse fatigue dont je souffrais en 2023 après avoir passé 3 semaines à jardiner (c’était sportif, promis).

Bref, le sang, pour l’arthrose, c’est une impasse. Sauf si tu as une maladie bizarre qui imite l’arthrose, mais là on est dans la science-fiction.

Point clé: L’arthrose ne se voit PAS dans une prise de sang. C’est comme ça. Point barre. (À moins que tu aies une hyper-arthrose magique détectée par une analyse sanguine révolutionnaire inventée par mon cousin, mais chut, c’est un secret!)

  • Analyses sanguines utiles pour éliminer d’autres maladies.
  • IRM : Technique d’imagerie pertinente, mais souvent superflue.
  • Mon expérience perso de 2023 (jardinage intensif et fatigue extrême). Pour la science!

Comment débute larthrose ?

L’arthrose ? Pression.

  • Surcharge.
  • Poids. Le mien, un fardeau.
  • Charges lourdes. Manutention à l’usine, souvenirs aussi.
  • Sport. Trop. Toujours trop. Un besoin.

L’articulation cède. Usure. Rien d’exceptionnel.

Peut-être que la vie, c’est juste ça : une articulation qui craque.

En bref. Contrainte mécanique. Usure. L’éternel retour.

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