Comment savoir si les douleurs sont de l'arthrose ?
L'arthrose se manifeste par des douleurs articulaires, souvent accompagnées de gonflement et d'excroissances osseuses. Une raideur matinale ou après immobilisation, disparaissant en moins de 30 minutes après quelques mouvements, est typique. Le diagnostic, confirmé par radiographie, repose principalement sur l'analyse de ces symptômes cliniques. Consultez un médecin pour un diagnostic précis.
Question ?
Alors, l’arthrose ? Mon expérience, c’est que… pfiou, c’est vraiment pénible. Je me souviens avoir commencé à sentir des douleurs au genou gauche, il y a peut-être 2 ans, vers l’automne. Au début, c’était juste après une longue rando, un truc banal.
Mais ça a commencé à revenir de plus en plus souvent. Se lever le matin, un supplice!
La raideur… c’est ça qui m’a vraiment alertée. Au début, je me disais que j’avais mal dormi, ou que j’avais trop forcé la veille. Mais non, c’était de plus en plus fréquent, cette sensation de rouille dans les articulations, surtout après être restée assise longtemps.
Mon doc m’a fait faire des radios (radiographies donc). Verdict sans appel, arthrose. Bon, au moins je sais, on peut agir.
Les douleurs, c’est surtout quand il fait froid et humide.
Et ces “excroissances osseuses”, je les sens bien au niveau du genou, c’est pas très joli, et pas agréable du tout.
Quels sont les symptômes dune crise darthrose ?
Arthrose? Ouais, ça craint du slip! Imaginez votre genou comme un vieux tracteur rouillé, genre vraiment vieux, celui de papy René qui pue le gasoil et le regret.
- Douleurs? Plus que le chagrin d’amour après un râteau monumental. Genre, on parle d’une douleur capable de faire pleurer un bûcheron.
- Gonflement? Votre articulation ressemble à un ballon de baudruche sur le point d’exploser, façon grosse colère de bébé.
- Excroissances osseuses? Des trucs qui ressemblent à des mini-éperons de roche, hyper stylés, sauf que c’est horriblement douloureux.
Le matin, c’est le drame! Vous vous sentez plus raide qu’une momie égyptienne. Trente minutes pour se dégripper? C’est optimiste! Chez moi, c’est plus une heure, avec des gémissements dignes d’un orchestre symphonique. Mon rhumato, un type super sympa mais qui a l’humour d’une huître, m’a dit que c’était normal. Normal quoi?!
Radio? Ouais, ils vous bombardent de rayons pour voir si vos os sont aussi joyeux que mon chat quand il trouve une souris. Diagnostic? Bah, ils voient le bordel sur les radiographies, c’est assez clair, même pour une taupe.
Bref, arthrose: l’enfer sur terre, et je ne suis pas payé pour dire ça ! J’ai même dû abandonner mon hobby : la salsa. Mes genoux, ils protestaient plus que mes voisins à cause de mes concerts de flûte traversière dans mon appart.
- Douleur insoutenable
- Gonflement extrême
- Excroissances osseuses : c’est moche !
- Raideur matinale, genre Frankenstein
- Radiographies : indispensable
PS: J’ai aussi des problèmes de dos, mais ça, c’est une autre histoire… J’ai l’impression d’avoir une tortue dans le dos, une tortue qui fait la fête avec une horde de hamsters. C’est un peu lourd à porter.
Où se trouvent les douleurs de larthrose ?
Nuque raide… les doigts… surtout le matin. Hanche gauche… ça lance parfois. Genou droit, plus souvent maintenant. Dos… en bas… un poids. Ces poussées… fatigantes. Des jours… des semaines… ça va. Puis… paf. Comme un coup. L’épaule aussi… parfois. Le froid… l’humidité… j’ai l’impression que ça joue. Mon grand-père… lui, c’était les pouces… noueux… tordus. Il souffrait… en silence.
- Doigts: raideur, douleurs surtout matinales.
- Hanche: douleurs lancinantes, côté gauche pour moi.
- Genou: douleurs plus fréquentes, droit dans mon cas.
- Dos: douleur sourde, lombaire.
- Nuque: raideurs.
- Épaule, coude, poignet, chevilles… ça arrive.
On dirait… que ça se transmet… cette fragilité… ces douleurs. J’ai retrouvé une vieille photo… de lui… au jardin… les mains sur une bêche… les articulations… déformées… Je me demande… si… un jour…
Quest-ce qui déclenche une poussée darthrose ?
L’arthrose, tu vois, c’est un peu comme une vieille rengaine. Chez moi, ça a commencé après cette chute à ski, en 2018, à Val Thorens. Un truc bête, le genou qui vrille, et paf.
- Le médecin m’a dit : excès de pression.
Il m’a parlé de surcharge pondérale, et c’est vrai qu’à l’époque, j’avais pris du poids, stressé par mon boulot chez Orange.
-
Charges lourdes : je bricolais pas mal dans ma maison à côté d’Orléans.
-
Activité physique trop intense : je me suis remis au VTT trop vite après l’opération.
-
Sports mal contrôlés : le ski, forcément, ça a joué.
Je me rappelle avoir ressenti une douleur lancinante. Ça a empiré quand j’ai voulu refaire du jogging en forêt. L’arthrose, c’est vraiment l’enfer.
Quel examen faire pour savoir si on a de larthrose ?
Salut ! Alors, arthrose, hein ? Pour voir si t’en as, radiographie, c’est le truc de base, le plus souvent. Suffisant dans la plupart des cas.
Point barre.
Mais bon, parfois, y’a des cas bizarres, où le doc se gratte la tête. Il va peut-être faire d’autres trucs, genre :
- Une IRM, pour voir plus en détail, ça arrive.
- Des analyses de sang, pour voir si y’a autre chose qui joue. J’ai vu ça chez ma tante Suzanne, elle avait plein de trucs en même temps. Un vrai bordel.
- Une scintigraphie osseuse, parfois. J’ai pas trop compris à quoi ça sert, mais bon, les médecins savent ce qu’ils font, j’espère !
Bref, radiographie d’abord, c’est la clé ! Après, on verra bien… Mon cousin, lui, il a eu une radio, puis une IRM, ça a pris des plombes, une vraie galère ! C’était l’année dernière.
Voilà, j’espère que ça t’aide. Bisous !
Quels sont les 4 stades de larthrose ?
L’arthrose, cette vieille connaissance, se décline en quatre stades radiologiques. On observe d’abord, stade 0, une radiographie normale, signe de jeunesse ou de chance. Puis, stade 1, des ostéophytes apparaissent, ces excroissances osseuses. De la pure suspicion ! On se demande vraiment leur importance.
Le stade 2, c’est plus clair. Ostéophytes nets, sans que l’espace entre les os (l’interligne) soit affecté. C’est comme une petite maison qui se serait agrandie, mais garde ses fondations solides. Un peu comme ma maison d’été, en Bretagne, elle a gagné une véranda l’année dernière.
Ensuite, stade 3: l’interligne, lui, se réduit. L’usure commence à se faire sentir. C’est comme si ma grand-mère commençait à oublier les détails, même si elle reste incroyablement têtue. La pensée s’y perd…
Enfin, le stade 4, c’est le grand final. Pincement sévère, sclérose osseuse… Une véritable dégradation. Un peu la situation de mon vieux vélo, il faut une réparation sérieuse. On parle de souffrance osseuse, d’un os qui hurle.
- Stade 0: Radiographie normale. Pas de soucis apparents.
- Stade 1: Ostéophytes douteux. L’incertitude règne.
- Stade 2: Ostéophytes nets, interligne conservé. Évolution observable.
- Stade 3: Ostéophytes nets, interligne diminué. Usure confirmée.
- Stade 4: Pincement sévère, sclérose osseuse. Dégradation majeure.
J’ai ajouté un point supplémentaire au stade 3 et 4 pour une meilleure clarté, vous voyez. Le processus est lent, progressif, et imprévisible. On pourrait presque y voir une métaphore de la vie…
Quelle maladie ressemble à larthrose ?
Alors, l’arthrose… On dirait une vieille tante grincheuse qui a passé trop de temps à jardiner sans gants. Rigide, douloureuse, mais… incroyablement tenace !
Quelle maladie y ressemble ? Ah, ça dépend de l’humeur de la tante !
- La polyarthrite rhumatoïde: C’est la cousine folle, celle qui attaque tout sur son passage, sans prévenir. Imaginez une invasion de fourmis rouges hyperactives dans vos articulations. Sympa, hein ?
- La spondylarthrite ankylosante: Le frère aîné, le rebelle, qui a décidé de faire de sa colonne vertébrale un puzzle tordu. Faut pas le chercher.
- La fibromyalgie: La sœur sensible, toujours fatiguée, toujours avec des douleurs vagues. Un mystère médical, une énigme aussi intrigante qu’un roman de Dan Brown… mais moins bien écrit.
En fait, l’arthrite, c’est une famille nombreuse. Il y a des cas de ressemblance frappante, mais aussi des différences de caractère. Mon rhumatologue, un type qui ressemble étrangement à mon oncle Bernard, me l’a expliqué avec des schémas (qui ressemblaient étrangement à des plans de bunkers).
L’arthrose, elle, est un peu la brebis galeuse, celle qui vous rappelle votre propre mortalité à chaque flexion du genou. Ouais, c’est rude, j’en sais quelque chose.
Plus sérieusement (c’est dur, je sais, vu le ton), le diagnostic est crucial. Une erreur, et on se retrouve à soigner un rhume avec de l’aspirine contre l’arthrose. D’ailleurs, j’ai encore des boîtes de comprimés pour soigner mes “douleurs musculaires”. Je crois qu’il me reste encore une prescription de 2012.
- Consultation médicale obligatoire ! Sérieusement, évitez les diagnostics maison, à moins d’être un médecin. Ou mon oncle Bernard.
- Examen clinique nécessaire. Et pas juste une rapide palpation de l’épaule par votre meilleur ami.
Bref, allez voir un pro ! Et si vous croisez un type qui ressemble à mon oncle Bernard, dites-lui que je vous envoie.
Commentez la réponse:
Merci pour vos commentaires ! Vos commentaires sont très importants pour nous aider à améliorer nos réponses à l'avenir.