Quel repas soir pour un enfant de 3 ans ?

Quel repas du soir pour un enfant de 3 ans ?

Le repas du soir de mon petit loup, 3 ans… ah la la. C’est toujours un cirque!

Je me souviens de cette fois à la maison, à Lyon, il devait être 19h passées. Il hurlait “pâtes!”, comme si sa vie en dépendait. Mais, le doc m’avait dit de calmer le jeu sur les féculents le soir.

• Légumes verts: Toujours la galère!
• Protéines: Un petit morceau de poulet, ça passe.
• Féculents: Mini portion!

L’odeur de brocolis bouillis, beurk! Je sentais que ça allait mal finir. Finalement, il a mangé 3 cuillères de purée de carottes, un bout de poulet qu’il a mastiqué 10 minutes et recraché, et a fini par avoir droit à… un yaourt. Fraise, son préféré.

Je déteste me battre. C’est tellement fatiguant. Et puis, je culpabilise, me demandant si je suis une bonne mère.

Le pédiatre de ma soeur, lui, avait conseillé :

• Ne pas forcer
• Présenter les aliments de façon ludique
• Varier les menus

Facile à dire! Le mien, il a un caractère de cochon.

Et puis, c’est tellement chronophage! Entre le boulot à temps plein chez Orange, les trajets, les courses, j’ai pas toujours le temps de cuisiner des plats dignes d’un chef étoilé.

Souvent, c’est vite fait, bien fait (enfin, façon de parler).

Il a commencé à faire du boudin. Résultat, crise de larmes, poulet par terre, purée sur les murs.

J’ai fini par craquer. Je lui ai donné un morceau de pain avec du beurre. Et là, miracle, il a mangé!

Pfff… Va comprendre.

Comment nourrir son enfant de 3 ans ?

La nuit… toujours là pour les pensées qui tournent. Nourrir un enfant de 3 ans… pas si simple finalement.

• Lait… trois fois par jour. Il aime bien le sien avec du chocolat. Un peu trop, peut-être.

• Viande, poisson… une fois, deux fois. Il préfère les nuggets. Faut bien qu’il mange quelque chose.

• Fruits et légumes… cinq portions. La bataille de tous les jours. Une petite victoire quand il croque dans une carotte.

• Féculents… à chaque repas. Pâtes, riz, pain. Au moins ça, ça passe.

Son assiette, une petite montagne… et lui qui picore. On se demande parfois s’il grandit vraiment. Ce soir, il a mangé quelques frites et un yaourt. C’est tout. Demain, on réessaie.

Hier, il a réclamé des brocolis. Incroyable. On en avait plus. Je m’en veux un peu. Il faut que j’aille en acheter. Et des bananes aussi. Il les aime bien en compote. Avec un peu de cannelle. Faut que je note ça quelque part. Lait de croissance… on est passés au lait entier le mois dernier. Un grand garçon maintenant.

• Lait entier : adopté depuis un mois, fini le lait de croissance.
• Brocolis : à acheter demain, une demande surprise.
• Bananes : pour la compote, avec de la cannelle.

Ces petites choses… qui remplissent une journée. Et la nuit, on y repense.

Quelle portion pour un enfant de 3 ans ?

Cinq portions. Imaginez, l’équivalent d’un demi-pamplemousse par portion. Ça fait beaucoup de pamplemousses pour un si petit estomac, non ? Bon, on peut remplacer par des brocolis miniatures, ça passe mieux. L’important, c’est la taille d’une balle de ping-pong, multipliée par cinq, en fruits et légumes variés. Autant dire, un véritable festival botanique dans son assiette.

• Fruits : Pensez aux couleurs ! Un arc-en-ciel dans son assiette. Fraises, framboises, bananes… Tout est permis (ou presque).
• Légumes : Haricots verts, carottes râpées, courgettes… Soyez créatifs ! Cachez-les dans la purée si besoin, on a tous nos petites astuces.
• 80g : La portion magique. Facile à retenir, difficile à estimer. Investissez dans une balance de cuisine, vous gagnerez du temps (et des migraines).
• Midi : Deux portions de légumes. Un doublé gagnant pour la santé. Et pour la tranquillité des parents.

Et rappelez-vous, une portion, c’est comme une chaussette. On en perd toujours une. Alors prévoyez large ! Mon fils, à 3 ans, croquait des radis comme des chips. J’ai cru rêver. Chaque enfant est différent. Adapter, c’est la clé. Perso, j’ai toujours un stock de compotes et de purées de fruits/légumes bio sous la main, au cas où. On ne sait jamais.

Un jeune enfant peut-il manger trop d’œufs ?

Un excès d’œufs? Pas fatal, disons. La diversification est la clé. Un œuf est nutritif, certes, mais incomplet.

Pourquoi se contenter d’une seule note quand on peut avoir une symphonie? L’équilibre, c’est l’art de la vie, même dans l’assiette.

• Trop de focus sur un aliment limite l’apport nutritif global.
• L’enfant pourrait développer une préférence excessive, compliquant l’introduction de nouveaux aliments.
• On peut observer un déséquilibre possible dans l’absorption des nutriments essentiels.

Pensez à mon neveu, toujours à fond sur les pâtes… une catastrophe pour les légumes! On finit par ruser, bien sûr.

Quelle quantité dœufs pour enfant ?

Un oeuf par jour. Avant dix ans. Remplacement.

• Dès 6 mois. Introduction possible.
• Un œuf par jour. Suffit.
• 1 à 10 ans. La norme.
• Deux œufs. Option après 10 ans. Substitution.
• Viande, poisson. 100g remplacés.

Rien n’est certain. Le chemin importe. Un détail, ma date d’anniversaire est le 14 juillet. Hasard ?

Quelle quantité dœufs pour un enfant ?

Jaune soleil… fragile… douceur. Six lunes. Goût nouveau… découverte.

Un œuf… rond… chaud. Un jour entier… suffit. Dix automnes… un œuf… deux œufs… possible.

• Six mois: Début… première cuillère.
• Un an: Un œuf… le soleil dans le ventre.
• Dix ans: Deux œufs… remplacer la mer… la terre… viande… poisson. Choix… liberté.

Mes souvenirs… ma fille… un œuf brouillé… ses petites mains… le jaune sur ses doigts. Le soleil… toujours le soleil. Elle a cinq ans maintenant… un œuf… parfois deux… elle adore. Avec du fromage… un délice.