Quand commencer à acheter les affaires de bébé ?

Quand commencer à acheter les affaires de bébé ? Oh là là, cette question… elle m’a tellement hantée ! Cinquième, sixième mois… on lit ça partout, hein ? Mais concrètement, ça veut dire quoi ? Pour moi, ça a été un vrai casse-tête. J’étais tellement angoissée à l’idée d’oublier quelque chose d’essentiel, vous savez ? Comme si j’allais accoucher sans couches ! (Heureusement, ça ne s’est pas produit !)

Alors, j’ai commencé… timidement, vers le quatrième mois. Un petit body, juste pour voir. Un truc tout mignon, en coton bio, parce que, bon, on veut le meilleur pour son enfant, non ? Après, j’ai ressenti un mélange d’excitation et de stress. Genre, est-ce que je fais bien ? Est-ce que j’achète assez de choses ? Trop peut-être ? J’ai même appelé ma meilleure amie, elle qui a déjà deux enfants, pour lui demander si j’étais complètement à côté de la plaque! Elle m’a rassurée, heureusement, en me disant qu’on a toujours tendance à trop en acheter au début. On se sent perdues, c’est normal.

Puis, vers le sixième mois, j’ai attaqué les achats plus sérieusement. Mais vraiment, progressivement hein ! Pas de folie. J’ai acheté deux ou trois pyjamas, des chaussettes toutes petites (j’adore ça!), et quelques langes… parce qu’apparemment, il en faut une montagne, selon ma belle-sœur. Elle m’a dit : « Prévois au moins une douzaine ! » Douze ?! J’avais l’impression d’être une marchande de tissus ! En réalité, j’ai acheté huit. Je me suis dit : “On verra bien !”

Et puis, il y a eu le coup de la poussette… Quel enfer ! Des dizaines de modèles, des prix qui donnent le vertige… J’ai passé des heures sur internet, à comparer les caractéristiques techniques, comme une ingénieure. Finalement, on a opté pour une poussette canne, légère et facile à manier, car on a un petit appartement. On a fait un choix plus pratique que bling-bling, croyez-moi !

Bref, mon conseil ? Commencez tranquillement, à votre rythme. Écoutez votre instinct. Et surtout, ne vous stressez pas trop ! C’est un moment magique, mais aussi stressant, et on a tendance à trop intellectualiser. Et puis, croyez-moi, il y a toujours des voisins, des amis, des familles… qui sont prêts à vous prêter un coup de main ! On s’en sort toujours !