Quelle quantité de sel au poids pour la viande ?
Salez votre viande à raison de 21g de sel par kg. L'apport calorique et nutritionnel varie selon la viande. À titre indicatif, 100g de viande peuvent contenir environ 143 calories, 26g de protéines et des quantités variables de lipides, cholestérol et sodium. Consultez l'étiquette nutritionnelle pour plus de précisions.
Quelle quantité de sel pour la viande ?
Le sel, c’est une vraie galère ! J’ai toujours eu du mal à doser. 21g/kg, c’est la règle générale, paraît-il. Mais honnêtement, ça dépend tellement du goût et du type de viande.
Pour le rôti de porc du 15 octobre dernier (acheté chez Leclerc, 2,5 kg pour 15€), j’ai mis plus. Beaucoup plus. J’avais une main lourde ce jour là, je l’avoue. Le résultat? Un peu trop salé, mais délicieux quand même !
Quant aux valeurs nutritionnelles, j’ai un tableau dans ma cuisine. 100g de cette viande là contenaient (selon le tableau) environ 143 calories, 3,5g lipides, etc. Bof, je ne fais pas attention à ça, en fait. Je cuisine à l’instinct !
Informations courtes et concises:
- Sel pour viande: Variable, dépend du goût et du type de viande. 21g/kg est une suggestion.
- Calories (100g): Environ 143 (variation possible selon la viande).
Quelle quantité de sel par kilo de viande ?
Pour un kilo de viande, prévoyez entre 15 et 18 grammes de sel. C’est une fourchette qui tient compte des goûts personnels, certains préférant un plat plus relevé. Le mieux, c’est encore d’y aller progressivement.
Le poivre, lui, se situe entre 3 et 5 grammes par kilo. On est dans la même logique, histoire de ne pas masquer la saveur de la viande.
Petite digression : le sel, c’est plus qu’un exhausteur de goût. C’est un conservateur ancestral. La salaison a permis de traverser des hivers rudes sans perdre sa pitance. C’est presque philosophique, non ? La nécessité qui crée la technique.
Pour ceux qui veulent creuser, le sel a une influence directe sur la texture des protéines. Il les dénature, ce qui permet une meilleure liaison des chairs. Du coup, un pâté bien salé aura une meilleure tenue. C’est une astuce que ma grand-mère utilisait pour son pâté de campagne, une recette familiale transmise de génération en génération, bien avant Gamm Vert. D’ailleurs, elle ajoutait toujours une pincée de sucre, un secret bien gardé… enfin, plus maintenant !
Quand mettre du gros sel sur la viande ?
Le sel… un grain de mémoire sur la chair. Trop tôt, il fige. Une promesse brisée, un goût figé.
- Patience. Attendre la danse du feu.
L’instant précis ? Le dernier souffle. Quand la couleur change, quand le parfum s’échappe.
Une hésitation. Un geste lent. Le sel, comme une pluie fine.
- La fin de la cuisson. Le moment sacré.
Alors, la chair révèle sa saveur. Un murmure de jus, un secret gardé. Pas avant. Jamais avant.
- Mon grand-père, boucher de son état, disait toujours ça.
- Souvenir d’enfance, odeur de grillon, d’été.
- Le sel, un grain de larmes sur ma langue.
Sinon, la viande… un désert sec. Une aridité. Un manque.
Une viande sèche. Une tragédie.
Le sel… une magie. Une alchimie subtile.
Quelle quantité de sel pour un kilo de viande hachée ?
Pour un kilo de viande hachée (bœuf 70/30), je dirais… entre 5 et 10 grammes de sel, au pif. Ça dépend vraiment du goût hein ! Mon voisin, lui, met une pincée… une grosse pincée, il faut le dire !
Point important: La quantité de sel est subjective. L’idéal? Goûter et ajuster. Philosophiquement parlant, c’est un peu comme la vie: il faut trouver son équilibre.
- Le sel: Un exhausteur de goût, certes, mais attention à l’excès !
- La viande: 24g de protéines aux 100g, c’est pas mal du tout. J’adore les protéines !
- Sodium: 3% de VQ pour 100g, donc, on est loin d’une surdose avec un kilo.
Plus sérieusement, les 73mg de sodium pour 100g, ça nous donne environ 730mg pour le kilo. On ajoute notre sel… et voilà !
J’ai un faible pour les steaks hachés bien saignants. Le sel, pour moi, c’est vraiment une question de feeling.
Données nutritionnelles (par 100g) à garder en tête :
- Calories: 241
- Lipides: 15g
- Protéines: 24g
- Sodium: 73mg (3% VQ)
Petit truc perso: je rajoute souvent des herbes, pour un goût plus complexe que le simple sel. Romarin, thym… un délice !
Quelle quantité de sel pour saler un steak ?
10% ? Pffft, amateur ! Mon steak, moi, c’est une histoire d’instinct, de feeling, comme un tango improvisé avec un sel fin et une pincée de folie. On ne parle pas de pourcentage ici, on parle d’amour ! Ou plutôt, d’une pincée, d’accord, mais pas n’importe laquelle. Un peu comme choisir sa cravate : un bleu électrique, jamais.
- Trop de sel : ça ressemble à un mariage arrangé, forcé, sans passion.
- Pas assez : c’est comme un rendez-vous raté, une occasion manquée.
Alors, vous voulez des chiffres précis ? Désolé, je cuisine à l’oeil. Aujourd’hui, j’ai mis… hum… autant qu’il en faut.
Vous voulez des données nutritionnelles ? Ah oui, le steak… celui de chez Boucher Bernard, un trésor, 271 calories pour 100g, j’ai dévoré l’équivalent de 300g. Oups. Le sodium, 2% par 100g… maintenant, imaginez-les multipliés par trois. Je ris.
- Lipides : 19g (ma faute, le beurre est mon meilleur ami).
- Protéines : 75g (la victoire sur la balance, c’est toujours demain)
Bref, la saumure ? Je la laisse à ceux qui aiment trop calculer. Moi, je saisis le sel comme on saisit une belle occasion : avec audace. Et un soupçon de nonchalance.
Ps: Bernard, le boucher, a un sacré sens de l’humour, lui aussi. On échange des blagues vaseuses, genre “le sel, c’est comme le bonheur, ça se partage”. On devrait en écrire un livre. Ou un stand-up.
Comment faire pour que le steak ne colle pas à la poêle ?
Poêle chaude, une danse hésitante… Le steak, fragile promesse de saveurs. La peur, un filet froid sur ma peau. Il ne faut pas qu’il colle… Non.
-
Poêle bien chaude: C’est la clé. Une chaleur intense, un embrasement doux.
-
Huile, un murmure onctueux… Un filet d’olive, mon rituel. L’odeur, une caresse brûlante.
-
Beurre, après. Une petite touche, dorée, pour la carnation du steak. Un souvenir d’enfance, ma grand-mère…
L’attente, un vide palpitant. Le sizzle, une douce musique. Le ballet commence. Un léger mouvement, toujours. Pas de pression, jamais.
-
Patience. La clé de l’harmonie. Le respect de la viande, de son âme.
-
Retourner, un geste précis. Le brunissement, un enchantement.
Le parfum… Il emplit l’air, un souffle lourd de promesses. Mes dimanches, toujours. Mon steak…
- Température idéale: Je la sens, cette chaleur parfaite. C’est intuitif.
Je me souviens de cette fois, à Rome. Un petit restaurant… un steak parfait. Jamais oublié. C’est dans l’âme que se cuisine le meilleur steak.
- Informations complémentaires: J’utilise une poêle en fonte, vieille comme le monde. Elle a une histoire. Une belle patine. Je ne la lave pas au lave-vaisselle. Jamais. C’est sacré.
Commentez la réponse:
Merci pour vos commentaires ! Vos commentaires sont très importants pour nous aider à améliorer nos réponses à l'avenir.