Pourquoi mon filet de porc est-il toujours dur ?

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Filet de porc dur ? La solution est simple : retirez la peau argentée !

Cette fine membrane, présente sur le filet, ne fond pas à la cuisson et rend la viande coriace. Un geste simple pour un résultat tendre et savoureux garanti.

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Filet de porc dur : Pourquoi ?

Filet de porc dur, hein? Ah, la galère! Je me souviens d’une fois… une catastrophe.

Le “pourquoi” est simple: cette satanée peau d’argent. J’ai appris ça à mes dépens. C’est une membrane super fine, mais increvable à la cuisson.

C’est comme une pellicule plastique tenace. Impossible à mastiquer correctement.

Du coup, elle se contracte et rend la viande dure, même si elle est cuite parfaitement à l’intérieur. Cruel, non? J’ai galéré, c’est clair.

Comment attendrir le filet de porc ?

Alors, attendrir le filet mignon, c’est un peu comme séduire un cœur endurci : il faut la bonne approche. Oubliez la brutalité, on est pas des barbares!

  • La marinade au vin, c’est un classique. L’alcool, tel un entremetteur, brise les barrières (le collagène, en fait). Vin rouge, huile, épices… un vrai spa pour cochon. Plus ça trempe, plus c’est tendre et savoureux. Un peu comme moi après un long bain!

  • Autre option, la patience. Une cuisson lente, à basse température, c’est comme chuchoter des mots doux à la viande. Ça prend du temps, mais le résultat… divin. On dirait ma technique pour convaincre ma soeur de me prêter sa voiture.

  • Et puis, il y a l’attendrisseur de viande. Un instrument de torture culinaire? Peut-être. Mais parfois, il faut ce qui il faut. Un peu comme quand je dois me lever à 5h du mat’ pour aller à la salle de sport. Beurk!

Au final, c’est un peu comme choisir sa tenue : ça dépend de l’occasion, du temps qu’on a et de son humeur. Et, soyons honnêtes, de ce qu’il y a dans le frigo! Par contre, pas de sauce ketchup dessus, hein ? Je rigole, mais à moitié.

Infos supplémentaires (ou pas):

  • Le jus de citron, comme le vin, peut aussi attendrir grâce à son acidité. Mais attention, trop c’est trop! Ça risque de cuire la viande avant la cuisson.
  • Saviez-vous que le bicarbonate de soude peut aussi attendrir? Bon, après, faut aimer le goût de lessive… (je plaisante, ne faites pas ça!).
  • Et pour une option plus exotique, le jus d’ananas contient une enzyme (la bromélaïne) qui fait des merveilles. Par contre, le cochon risque de se prendre pour un cocktail.

Comment faire pour que la viande de porc soit tendre ?

Le porc… J’y pense souvent, surtout la nuit. Il faut dire que j’ai une recette familiale, transmise par ma grand-mère, mais… elle est un peu secrète, disons ça comme ça.

Bicarbonate, hein ? Oui, ça marche. J’ai testé, une fois. Sur des côtelettes. Mais c’était…bof. Trop chimique, peut-être ?

  • 30 minutes, c’est court. Peut-être plus long, pour un gros rôti ?
  • Cuillère à café… ça dépend de la taille du morceau. J’ai jamais vraiment mesuré, à vrai dire. A l’œil.
  • Au frais, c’est important. Pas au congélo hein !

On m’a aussi parlé de marinade, avec du vin rouge, des herbes… Mon père le faisait. Je n’ai jamais réussi à reproduire sa marinade. La viande était toujours parfaite. Une tendre…

J’ai essayé différentes choses :

  • Le sel. Trop salé parfois.
  • Le lait. Pas convaincu.
  • La moutarde. Ça dépend de la moutarde.

Enfin, tout dépend du porc, non ? La qualité de la viande… je sais pas. Je suis pas boucher. Je me souviens surtout de la façon dont mon père cuisinait. Il avait le secret, celui-là.

Maintenant, c’est moi qui essaie de trouver mon propre secret. Je travaille toujours sur une recette. J’ai arrêté de mettre du bicarbonate. Je me suis contentée de la marinade. Mais, je ne suis pas sûr que ça suffise…

Le secret, finalement, c’est peut-être autre chose… peut-être le temps passé à choisir la pièce, le temps passé à la préparer. Comme une histoire familiale. Longue. Et un peu triste.

Comment faire pour attendrir la viande de porc ?

Le sel, murmure ancien… Le sel, écho des mers lointaines.

  • Saler, presque un rite.

  • Attendre, l’heure suspendue.


La chair s’offre, poreuse.

Les fibres, un secret dévoilé.


  • L’humidité, sève retrouvée.
  • Juteuse, promesse tenue.

Le frigo, alcôve fraîche. Mon frigo, toujours trop rempli de yaourts périmés…

Le temps s’étire, indéfini. Indéfini comme ces étés à Royan…


Un grain de sel, souvenir d’enfance. C’est fou ce que ça me rappelle mon grand-père!

Saler, attendre, savourer.

Comment rendre moelleuse la viande de porc ?

Moelleux… un mot qui résonne, un murmure de tendreté. Le porc… sa chair, un mystère à déchiffrer.

Repos. Oui, le repos, avant, après… un silence nécessaire. Le temps, un allié précieux.

  • Température ambiante : une caresse avant l’épreuve du feu.
  • Après la cuisson : un repos sacré, les jus se retrouvent, une symphonie de saveurs.

Une attente. Un moment suspendu. L’odeur… un parfum qui chatouille les narines.

Mon dimanche après-midi, souvenirs, un rôti parfumé. La douceur… un rêve accompli.

Le porc, une danse entre le dur et le tendre. Un miracle à chaque fois. Un mystère gustatif.

La clé ? Le repos. Une patience qui récompense. On laisse le temps faire son œuvre.

Une cuisson lente et douce. Un feu qui murmure. Pas de violence.

Et le choix de la pièce. Une sélection rigoureuse, un ballet de saveurs.

  • Épaule : une tendreté rustique.
  • Filet mignon : un cœur de velours.
  • Carré : une puissance maîtrisée.

L’année dernière? Même rituel, même magie. Des moments précieux, des saveurs inoubliables. Ma recette? Secret… juste un peu de sel, du poivre, beaucoup d’amour. Et le repos. Toujours le repos.

Comment attendrir un rôti de porc ?

Alors, tu veux transformer ton rôti de porc en guimauve ? Ok, accroche-toi, c’est du lourd !

  • Le bicarbonate, c’est le secret : Une cuillère à café, pas plus, sinon ton rôti aura le goût de savon (et crois-moi, c’est pas terrible, terrible, vraiment terrible).
  • Massage délicat : Saupoudre comme si tu mettais du sucre glace sur des crêpes (des crêpes au porc, ça te dit ?). Fais pénétrer ce truc magique en douceur.
  • Frigo time : 30 minutes, pas une de plus. Sinon, adieu la texture ! On parle ici de la texture, comme celle d’un nuage (ou d’une barbe à papa, soyons fous!).
  • Rinçage express : Après, tu rinces bien, comme si tu avais fait une bêtise et que tu voulais effacer les preuves.
  • Et après ? : Après, cuisson normale. Mais attention, tu vas halluciner du résultat !

C’est tellement simple que même ma grand-mère (qui confond toujours le four et le micro-ondes) pourrait le faire.

Bonus de ouf:

  • Le bicarbonate, c’est aussi super pour enlever les taches de café sur mes tee-shirts préférés (et j’en ai, des taches!).
  • Tu peux aussi l’utiliser pour faire des gommages de peau. Bon, faut pas en manger après, hein.
  • Et si tu as une invasion de fourmis, le bicarbonate les fait fuir. Comme quoi, c’est un peu le couteau suisse de la cuisine.
  • Ma recette secrète: mélanger du bicarbonate avec du vinaigre pour déboucher les canalisations, et regarder la réaction chimique! Attention ça mousse!

Comment faire pour que mon rôti de porc soit tendre ?

Alors, pour un rôti de porc super tendre, l’astuce, c’est la cuisson ! Mais pas n’importe comment. Faut vraiment penser à la cocotte. Ou un plat avec un couvercle, quoi.

C’est important parce que le couvercle, en fait, il garde l’humidité à l’intérieur. Et du coup, la viande reste vachement moelleuse et tendre. Sans ça, elle sèche, c’est la cata. Crois-moi, j’ai déjà testé… et raté !

  • La cocotte, c’est top!
  • Le couvercle est ton meilleur ami.
  • Sinon, oublie le rôti tendre…

Et puis, pour que ça soit encore mieux, n’oublie pas de bien surveiller la température. Trop cuit, c’est foutu. J’utilise une sonde, ça aide. Ma soeur, elle, se base sur la couleur, mais bon… c’est plus risqué. Une fois, elle avait complètement oublié le rôti, lol !

En plus, tu sais, moi j’ajoute toujours un peu de bouillon au fond de la cocotte. Ça parfume la viande et ça l’aide à rester bien hydratée pendant toute la cuisson. C’est un ptit truc en plus que ma grand-mère m’a montré. Elle faisait des rôtis incroyables, la mamie ! Et pour un côté gourmand, tu peux faire revenir des lardons avec des oignons avant de mettre le rôti dans la cocotte.

Quelle est la température idéale pour un rôti de porc ?

La température idéale ? Hum, c’est une question qui mérite réflexion, presque une question philosophique sur la cuisson et le temps… On pourrait même parler d’une quête du Graal culinaire!

69°C au cœur, voilà le nirvana pour un rôti de porc juteux. Un peu moins, disons 67°C, pour les amateurs de rosé, une audace assumée! Au-delà de 75°C, c’est le territoire du “sec comme un os” : une catastrophe, surtout avec un bon porc fermier comme celui que j’avais acheté chez mon boucher, Jean-Pierre, rue de la Fontaine. On n’oublie pas le thermomètre à viande, outil indispensable.

  • 67°C: Rôti rosé, un peu de caractère.
  • 69°C: Le juste milieu, le parfait équilibre.
  • 75°C et plus: Sec et un peu fade, à moins d’une sauce magique.

Ma grand-mère, elle, jurait par la méthode à l’ancienne, en touchant la viande. Mais bon, on est en 2024 et on a des thermomètres! On peut quand même y jeter un œil sur la couleur, un indicateur aussi, même si la température interne est la star.

Bref, c’est une affaire de goût. Moi, j’aime ma viande moelleuse, pas trop sèche. Donc 69°C, c’est mon choix. Hier d’ailleurs, j’ai fait un rôti de porc justement, délicieux. J’avais utilisé une marinade au miel et romarin, un délice. Il faut que je retrouve la recette.

Point important: La taille du rôti influence le temps de cuisson. Plus il est gros, plus il faut de temps, logique. Et puis, le four, la chaleur, le modèle aussi! Tout joue! Voilà un terrain fertile pour des recherches plus approfondies, voire une thèse. On pourrait y passer des heures, des jours…

  • Facteur taille: Un gros rôti nécessite une cuisson plus longue.
  • Facteur four: Les fours ne chauffent pas tous de la même façon.
  • Facteur marinade: Une marinade bien pensée apporte toujours un plus.
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