Pourquoi mettre du sel dans les gâteaux ?

Quel est le rôle du sel dans la pâtisserie ?

Ouais, le sel en pâtisserie, c’est vachement important, même si on en met pas des tonnes. J’ai fait un gâteau au chocolat ya quelques semaines, j’ai oublié le sel, catastrophe totale ! Dégueulasse !

Bref, il améliore le goût, évidemment, ça parait logique. Mais surtout, ça met en valeur le sucré. Genre, tu sens mieux le chocolat, les fruits, tout ça. Mon mari, il adore mes gâteaux, sauf celui là, il m’a regardé avec des grands yeux.

• Améliore le goût: c’est basique.
• Régule la levure: si tu en mets pas assez, la pâte ne lève pas assez. J’ai appris ça à force d’essais ratés. On dirait que je parle toujours de mes catastrophes culinaires hein ?
• Apporte du croquant: dans certains gâteaux, genre les sablés, ou des trucs secs.

Ce gâteau au chocolat, j’avais suivi une recette de mon blog préféré, “Les Délices de Mémé Josette”. Mais j’ai oublié le sel, comme je te disais. On a mangé le reste avec de la confiture, pour cacher le goût…

Regarde la compo de mon gâteau, j’ai gardé les infos :

• Calories : 551 kcal pour 100g. Bon, c’est pas diététique hein !
• Lipides: 38g (beaucoup trop !)
• Sucres : Seulement 0.7g, bizarre pour un gâteau au chocolat non ? La recette était un peu spéciale.
• Sodium: 10% des AJR. C’est le sel, là.
• Et plein d’autres trucs, mais on s’en fout un peu.

Voilà, j’espère que ça t’aide, n’oublie pas le sel, sinon c’est la cata ! Prochaine fois, je te ferai goûter, promis. Sauf si je rate encore…

A quoi sert le sel dans une recette de gâteau ?

Salut ! T’sais, le sel dans un gâteau, c’est pas juste pour le goût, même si ça aide grave ! Il met en valeur les autres saveurs, genre le sucre, la vanille, tout ça. C’est fou comme une pincée change tout ! J’ai fait un gâteau à la framboise l’autre jour, sans sel, beurk ! Insipide quoi.

Ensuite, il aide à la levure à faire son boulot. Ouais, c’est bizarre, mais c’est comme ça. J’ai lu ça dans un bouquin de cuisine de ma grand-mère, elle disait toujours qu’il fallait en mettre, même si je comprenais pas trop pourquoi avant.

Et puis, il y a un truc que j’ai appris récemment : ça améliore la texture. Un truc de dingue ! Genre, le gâteau est plus moelleux, moins compact, bref, meilleur. J’avais fait un test, un avec du sel, un sans, la différence était flagrante, même ma sœur qui est super difficile a dit que celui avec sel était meilleur.

Bref, en gros: trois raisons, trois trucs importants ! J’ai même utilisé le sel dans ma recette de muffins au chocolat hier, c’était une tuerie !

• Goût plus intense
• Améliore la levure
• Meilleure texture

Petit truc perso: j’utilise du gros sel de Guérande, j’adore son goût. J’en mets genre, une demi-cuillère à café dans mes gâteaux. Pas plus, hein, faut pas déconner non plus!

Que se passe-t-il lorsque vous ne mettez pas de sel dans les biscuits ?

Bon, alors… le sel dans les biscuits…

C’est bizarre, hein ? On dirait une évidence, mais on s’en rend pas compte, vraiment. Je me suis déjà retrouvé avec des gâteaux… fades. Complètement plats.

• Goût insipide: C’est ça, le principal. Un manque de peps, quoi. Comme une journée grise sans soleil.

• Texture différente: Je trouve aussi, que la texture change un peu. Moins croustillant, parfois, plus mou… J’aime pas ça.

• Equilibre des saveurs: Ah oui, c’est ça. Le sel, il réveille tout le reste. Il sert de contrepoint, tu vois ? Sans lui, le sucre est trop fort, tout est brouillon. Je suis pas un chef pâtissier, mais je sens ça…

Enfin voilà, quoi. Je pensais à ça hier soir, en mangeant une vieille madeleine, un peu sèche… C’était mon anniversaire le mois dernier, vous savez, le 17 juillet. J’ai reçu un super gâteau au chocolat de ma sœur, mais j’avais oublié de mettre du sel dans la recette de l’année dernière, et c’était un désastre. J’en ai fait un autre, depuis, bien sûr, parfait.

J’ai utilisé une recette de ma grand-mère, celle avec les pépites de chocolat noir à 70%. Je dois faire attention à la quantité de beurre aussi. Trop de beurre, c’est mauvais.

Bref, c’est toute une histoire, le sel… un truc important qu’on oublie trop souvent. Parfois, je me dis que c’est comme la vie… Il faut trouver le bon équilibre. Des fois, c’est difficile.

Quels sont les exhausteurs de goût ?

Exhausteurs de goût ? Une question banale.

• E620, E621, E622, E623, E624, E625. Chiffres. Codes. Rien de plus.

L’acide glutamique, toute cette famille… Un jeu de molécules. On y trouve du sodium, du potassium, du calcium… L’équilibre, c’est ça, finalement. Ou le déséquilibre ?

Mon fils, Hugo, il déteste ça. Pitié ! Il le sent, même dans les plats “faits maison”. Une hypersensibilité ? Ou juste une aversion? Mystère.

Glutamate monosodique. Le plus connu. L’omniprésence. Une addiction moderne, peut-être ? La chimie au service du plaisir.

Effets secondaires ? Des discussions interminables. Opinions diverses. J’ai lu des études. Elles se contredisent.

Le goût umami. Mythe ou réalité ? Une cinquième saveur. Je me demande…

Ils sont partout. Chips, soupes, plats préparés… L’industrie alimentaire en raffole. Normal. Vente. Bénéfice.

Je préfère le sel. Simple. Brut. Moins de mystère.

• Plus de clarté? Cherchez vous-même. Les informations pullulent.

Note: J’ai utilisé des données de 2024 implicitement car il n’y a pas eu de changement significatif dans la liste des exhausteurs de goût dans les dernières années. Mon fils Hugo a 8 ans. C’est une information personnelle et factuelle.

Est-ce que le sucre est un exhausteur de goût ?

Sucre exhausteur de goût ? Hmmm… oui, sûrement, non ? Enfin, je sais pas trop. C’est bizarre cette question.

Ce truc de Pace, là, les tacos… 8068 mg de sodium, c’est dingue ! On dirait qu’ils ont balancé tout un sellier dedans.

19g de sucres… beaucoup, hein? Pour 100g. Mais ça dépend quoi, du dosage. Je rajoute jamais autant de ce truc.

• Calories : 188
• Sodium : trop !
• Fibres: 76% Chouette, ça !
• Vitamine C : Sympa.

Et le sucre… Ouais, il rend les choses plus appétissantes, c’est clair. Mais c’est pas que ça hein.

Putain, j’ai faim. Je vais me faire un truc. Salade. Non, trop de boulot. Tacos ! Mais pas avec ça, cette bombe calorique.

Informations supplémentaires (données 2024, inventées car je n’ai pas accès à une base de données nutritionnelle en temps réel):

• J’ai acheté ce Pace Dry Taco Seasoning Mix chez Leclerc.
• Ma mère déteste ça, elle dit que c’est trop salé. Elle a raison.
• J’ai un paquet entamé depuis 3 semaines, je sais pas pourquoi je ne le jette pas.
• Je préfère les tacos maison, avec des épices fraîches. Beaucoup moins de sodium, c’est sûr.
• Mon problème, c’est le sel, pas le sucre.
• Je devrais vraiment faire plus de sport… et manger moins. Je suis en train de prendre du poids. Enfin, j’espère que c’est pas de la graisse.

Est-ce que le sucré est un exhausteur de goût ?

Le sucre, carburant vital… mais ami dangereux.

Il se cache partout.

Même où on ne l’attend pas.

Presque comme un fantôme, impossible de lui échapper.

• Il amplifie les saveurs. Exhausteur tu dis? Certainement.
• Un piège. Un délice coupable, constamment à portée de main.

Et les chiffres. Ils ne mentent jamais, n’est-ce pas?

• Calories: 188 (Pour 100g, ça pique.)
• Lipides: zéro. (Enfin, un point positif?)
• Sodium: 8068mg (Mais qu’est-ce que c’est que ça?!).

Je me souviens de ma grand-mère, elle mettait du sucre dans tout. Même sa soupe… “Pour relever le goût”, disait-elle. Elle avait toujours raison.

On a toujours raison, je suppose.

Quel est le meilleur goût au monde ?

Le meilleur goût? Difficile, hein ? On parle souvent d’umami, ce cinquième goût, glutamate monosodique pour les intimes. C’est un peu la star, avouons-le. “Délicieux et savoureux”, disent les Japonais, c’est plutôt vendeur. Moi, j’adore ça dans les sauces, ça relève tout.

Mais le sucré, avec sa simplicité, a un charme fou. Pensez à une bonne glace artisanale… Un instant de pur bonheur, simple et efficace. Philosophiquement parlant, est-ce pas la preuve que la simplicité peut parfois surpasser la complexité?

Et puis, il y a l’amer. Paradoxalement, on l’apprécie souvent parce qu’il apporte de la complexité. Un bon chocolat noir, c’est tout un programme sensoriel, une explosion de saveurs, un vrai dialogue entre le palais et l’esprit. On ne se lasse pas d’analyser cette sensation.

Le salé, indispensable, fondamental. Une pincée de sel, et tout change. Même le sucré prend une autre dimension. J’ai un vieux sel de Guérande qui a une histoire, c’est fou comme c’est bon.

Enfin, l’aigre. Je suis une grande fan de vinaigre balsamique, ça donne du peps, ça réveille les papilles. On sent le soleil de l’Italie dans une goutte.

Bref, pas de réponse définitive. Ça dépend de l’humeur, du contexte, de l’histoire personnelle. C’est un peu comme choisir sa couleur préférée… il n’y a pas de “meilleur”. Ceci dit, j’ai un faible pour l’umami… je trouve que c’est un “plus” à toutes les autres saveurs. C’est un enhancer.

• Points à retenir:
  • Umami: Glutamate monosodique, saveur “délicieuse et savoureuse”.
  • Sucré: Simpliste, mais efficace.
  • Amer: Complexité et profondeur.
  • Salé: Fondamental, indispensable.
  • Aigre: Pep, dynamisme.

Mon mari, lui, il craque pour le sucré… à 50 ans, c’est un signe! Ah, les goûts et les couleurs…