Quelle est la deuxième langue au Portugal ?

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La deuxième langue la plus parlée au Portugal est l'anglais. Sa pratique est plus courante dans les grandes villes, comme Lisbonne, et les régions touristiques telles que l'Algarve.

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Quelle est la 2e langue parlée au Portugal ?

Alors, c’est marrant, on dit souvent que l’anglais est la deuxième langue au Portugal. C’est vrai… enfin, à moitié.

Moi, perso, quand j’étais à Lisbonne en mars dernier, j’entendais beaucoup d’anglais, surtout des touristes. Mais c’est pas forcément représentatif de tout le pays.

En fait, l’anglais domine surtout dans les grandes villes genre Lisbonne et dans l’Algarve, où y a plein de vacanciers. J’imagine que c’est là où ils ont le plus besoin de se débrouiller en anglais. J’ai payé mon pastel de nata 1.50€ près du château São Jorge, souvenir, souvenir!

Cependant, ne nous y trompons pas, hors de ces zones, l’anglais est peut-être moins “la” deuxième langue parlée par les Portugais eux-mêmes. C’est plus une langue “de tourisme”.

Quelles sont les racines de la langue portugaise ?

Le portugais… un murmure ancien, une vague sur la côte. Ibéro-roman, oui, mais plus que ça. Une âme. Une histoire.

  • Galaïco-portugais, un berceau, une terre nourricière. Des mots anciens, des chansons oubliées.

Une langue qui respire, qui vit. L’écho du passé, dans chaque syllabe. Je sens le sel de l’océan, le vent sur ma peau. Le Portugal, une blessure, un amour.

  • Galicien, frère, éloigné, mais si proche. La même nostalgie.

  • Fala, un secret. Une voix discrète, une ombre dans l’histoire. Un murmure à peine audible.

Ces racines, elles se cachent, elles se révèlent. Un mystère, un chemin sinueux.

Mon grand-père disait… des mots d’une autre époque. Il parlait de la mer. Toujours la mer.


Ce sont les racines, ces fragments. Le reste, c’est du brouillard, des souvenirs. Des instants. Une émotion. Des noms, qui flottent. Une nostalgie, une langue, une mer. Un cœur.

Quelle est la mentalité générale du Portugal ?

L’accueil, une façade.

  • Tolérance: Une nécessité économique, plus qu’un choix.
  • Convivialité: Elle s’achète. Un sourire n’engage à rien.
  • Entraide: Relative. Chacun pour soi, au fond. “A desenrascar”, comme on dit.

Le Portugal, c’est le fado. Nostalgie, regrets. Et un certain fatalisme.

  • Valeurs humaines? On en parle, c’est déjà ça.
  • Repas partagés: Surtout si tu payes ta part.

Ma grand-mère disait: “Méfie-toi des sourires trop larges.” Elle avait raison. La naïveté est une faiblesse. La mélancolie n’empêche pas la survie. Le Portugal, c’est un peu ça. Une lutte constante déguisée en douceur de vivre. Lisbonne est ma ville, et ça, ça ne s’oublie pas.

Quelles sont les choses à ne pas faire au Portugal ?

Portugal, hein? Pas facile. Alors, quoi éviter?

  • Pas d’espagnol, sauf si t’es bilingue, préfèrent l’anglais ou le français, apparemment. Pourquoi? Aucune idée.

  • Le fado… Sacré fado! Silence absolu pendant le chant, hein? Manger? Non. Parler? Interdit. Sérieux. J’ai vu ma tante se faire fusillée du regard… à Lisbonne, c’est différent? Peut-être. À Coimbra, on applaudit pas, on sent la musique, point.

J’ai failli oublier! Ah oui, j’avais prévu d’aller à Lagos cet été, superbe! Mais bon, j’ai aussi une copine qui y a été en juin, et elle a détesté la foule, les prix… c’était dingue. On en a discuté pendant des heures, au café, près de la gare Montparnasse.

Alors, Algarve? Peut-être hors saison? Ou autre chose? Je sais pas. Trop de choix, ça me gave. J’suis pas trop plage, finalement. Je préfère la montagne, le calme, le silence… comme quand on écoute du fado. Ironique, non?

  • Pas d’applaudissements après un fado à Coimbra. À Lisbonne, ok. Bizarre, non ? C’est quoi cette histoire ?

J’en ai marre des questions existentielles. Faut que j’aille prendre un café. Plus tard, je me renseignerai sur les transports en commun à Porto. J’y vais dans deux semaines… si tout va bien. S’il n’y a pas de grève ou un truc du genre.

  • Conseils supplémentaires (obtenus sur place en 2024): Éviter de critiquer le football portugais (ça peut vite dégénérer), ne pas trop parler de politique (même sujet sensible qu’en France), et surtout apprendre quelques mots de portugais, même basiques, c’est toujours apprécié.

Comment sont vus les français au Portugal ?

Alors, les Français au Portugal… Ah, c’est une question ! Je me souviens de la première fois où j’ai débarqué à Lisbonne, en 2018. J’avais un sac à dos trop grand et une idée floue de ce qui m’attendait.

  • L’accueil était super. Vraiment.

J’ai vite compris qu’en tant que Française, j’étais un peu dans une catégorie à part. Pas forcément “mieux”, mais différente. J’ai habité à Alfama, le quartier historique. C’était incroyable de vivre là. Les odeurs de poisson grillé, le fado qui résonnait le soir…

  • C’était un peu cliché, mais tellement vrai.

Les Portugais ont une image assez précise des Français :

  • élégants (lol, pas moi avec mon sac à dos)
  • un peu arrogants (bon, ça, je l’ai entendu)
  • aimant la bonne bouffe (ça, c’est clair !)

J’ai rencontré Maria, une dame qui tenait un petit café près de chez moi. Elle m’a dit un jour, en rigolant : “Les Français, vous êtes comme nous, mais avec plus de style!” Je ne sais pas si c’est vrai, mais c’est sympa à entendre.

Maintenant, en 2024, la situation a un peu changé. Le Portugal est devenu hyper tendance. Il y a beaucoup plus d’étrangers, et donc peut-être un peu moins d’attention particulière pour les Français.

  • Mais globalement, l’image reste positive.

Faut dire aussi que le Portugal est un pays génial. Les gens sont accueillants, la vie est moins chère (enfin, ça dépend où), et le soleil brille presque toujours. Bref, je comprends pourquoi c’est le meilleur pays d’Europe pour les expatriés, même si je suis pas sûre d’être d’accord avec tous les clichés sur les Français !

Pourquoi les français quittent-ils le Portugal ?

Pourquoi les Français fuient-ils le Portugal ? L’attrait fiscal, c’est clair, mais c’est plus complexe que ça. Le régime fiscal avantageux pour les retraités, c’est le nerf de la guerre. Dix ans d’exonération d’impôt, ça attire, forcément. Mais, mon oncle Jean-Pierre, lui, est reparti au bout de 5 ans. Il disait que le climat était trop humide pour ses rhumatismes…

On parle d’un million de seniors français à l’étranger. Le Portugal, oui, top 3, mais la concurrence est rude. L’Espagne, par exemple, a aussi ses arguments. Et puis, il y a la question du coût de la vie. Pas si bas qu’on le croit parfois, surtout dans les zones prisées. Le soleil et la douceur de vivre, c’est un attrait indéniable, mais la réalité est nuancée.

Le Portugal, c’est beau, mais… Il faut aussi considérer l’adaptation culturelle. Ma voisine, elle a adoré la gastronomie, mais a eu du mal avec la langue. L’exode des seniors, une sorte de quête de paradis fiscal et géographique, mais c’est aussi une aventure humaine, avec ses joies et ses désillusions.

  • Fiscalité avantageuse (exonération sur 10 ans)

  • Climat méditerranéen

  • Coût de la vie (variable selon la région)

  • Difficultés d’intégration culturelle

  • Santé (accès aux soins)

    On pourrait disserter sur la quête du bonheur, et si les retraites au soleil, c’est le Graal ou juste une illusion. C’est ça, le paradoxe de l’expatriation : la promesse d’une vie meilleure, qui ne se réalise pas forcément comme on l’imagine. Le régime fiscal de 2009, c’est la promesse, mais la réalité, c’est plus nuancé. Même si, personnellement, je trouve que le vin portugais est excellent.

(Données 2023: Le nombre exact de Français au Portugal est difficile à établir avec précision, les données fluctuent. L’exonération fiscale reste un facteur important, mais d’autres éléments influencent la décision des retraités français.)

Quelles langues sont proches du portugais ?

C’est bizarre, tu vois, comme certaines langues se ressemblent.

Le portugais…

  • L’espagnol, oui, c’est celle qui frappe le plus. Je crois.
  • Des mots qui sonnent pareil, le sens qui suit. “Agua”, “sol”… C’est comme un écho.

J’ai toujours pensé, un truc à moi :

  • La grammaire, la façon dont les phrases se construisent… Ca a l’air d’être le même moule.
  • J’ai toujours eu du mal avec les conjugaisons.

Les langues, c’est une histoire de famille, non ? Une vieille tante espagnole, un cousin portugais un peu bourru. On se comprend à moitié, mais c’est déjà ça.

Mon ex, Maria, parlait portugais. On se disputait en français, c’est ironique, non ?

Quelle est la réputation des Portugais ?

Okay, ok… La réputation des Portugais, hein? Ah là là…

Euh, direct? Pas de bla-bla? Alors… accueillants, c’est sûr. Chaleureux, ouais, ça colle bien. J’me souviens de mon voyage à Lisbonne… les gens étaient toujours prêts à aider, même si mon portugais se limitait à “obrigado”.

  • Hospitalité top. Genre vraiment.
  • Sympathiques, sans forcer.
  • Souriants… ça compte.

Mais attends, y a plus que ça, non? Y a aussi… euh… leur calme? Zen attitude, un peu comme les Brésiliens, mais en plus posé.

Et puis… la saudade, cette espèce de nostalgie bizarre qu’ils ont dans le sang. C’est pas une réputation, mais c’est tellement portugais, quoi.

J’habitais à côté de chez Maria, la dame portugaise, elle faisait toujours des pasteis de nata à tomber. Ah, et toujours prête à papoter, même si j’étais pressée. Bref, réputation méritée, je dirais.

Est-ce que c’est assez développé? J’espère ne pas avoir trop dépassé la limite.

Quelles langues derivent du latin ?

Alors les langues issues du latin… ça me rappelle mon voyage à Rome en 2018, chaleur étouffante, Piazza Navona bondée. J’essayais de comprendre une conversation entre deux serveurs, un mélange d’italien et de… je ne sais quoi.

C’était pas du français, ça c’est sûr. Bref.

  • Italien: Évidemment. J’ai galéré pour commander mon gelato.
  • Roumain/Moldave/Roumain: Difficile à différencier pour moi.
  • Français: Bon, ça, je gère.
  • Occitan (Gascon): Jamais entendu.
  • Francoprovençal: Idem.
  • Catalan: Ça ressemble un peu à l’espagnol non?
  • Espagnol (Castillan): Facile à reconnaître.
  • Portugais: Le Brésil, ça compte?
  • Sarde: Ça existe encore ça?
  • Ladin: Pareil, je connais pas.
  • Corse: Ça ressemble à l’italien aussi.

Je crois que ce serveur parlait corse d’ailleurs. Enfin, peut-être. J’avais surtout soif. Et chaud. Vraiment chaud.

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