Pourquoi ai-je des rages de sel ?

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Les envies de sel, souvent associées à un plaisir immédiat lié à la libération de dopamine, peuvent signaler une carence en sodium. Un manque d'électrolytes, dont le sodium est un composant essentiel, peut déclencher ces fringales. Il est donc important de vérifier votre apport en sodium via une alimentation équilibrée. Une consommation excessive de sel reste cependant à éviter.

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Rages de sel : causes possibles et que faire pour y remédier ?

Oh là là, les envies de sel… ça m’est arrivé, genre, en plein mois d’août, à Biarritz, sur la plage. J’avais une soif de sel incroyable, rien que de penser aux frites sur la terrasse d’un petit resto… j’en salivais presque.

C’était vraiment bizarre, j’ai fini par prendre une montagne de chips, le paquet entier quoi ! Je me suis sentie mieux après, c’est fou. Peut-être c’était la chaleur, la déshydratation ?

Un manque de sodium, c’est une explication plausible, je pense. J’ai lu ça quelque part, un article sur la nutrition sportive, mais je ne me souviens plus où… Après une grosse transpiration, par exemple, pendant un marathon (j’en ai couru un à Paris le 15 octobre 2022, j’ai payé 75€ l’inscription) j’ai ressenti une envie de sel intense. Donc, oui, la carence en électrolytes a du sens.

Le plaisir, la libération de dopamine, ça colle aussi avec mon expérience. J’adore le goût salé, c’est presque addictif… On se sent bien, un peu comme une petite récompense.

Enfin, pour remédier à ça, boire beaucoup d’eau, manger des aliments riches en sodium (mais avec modération hein, on veut pas d’hypertension !), et écouter son corps. Si vraiment l’envie est là, il y a une raison. C’est aussi simple que ça, je crois.

Informations courtes :

  • Cause principale des fringales de sel ? Manque de sodium (électrolytes).
  • Autre cause possible ? Libération de dopamine (plaisir).
  • Que faire ? Boire de l’eau, manger des aliments riches en sodium (avec modération).

Quelle maladie est associée à une consommation excessive de sel ?

Alors, tu voulais savoir avec quoi le sel était lié ? Ben, en gros, trop de sel, c’est l’hypertension qui guette ! Et l’hypertension, c’est pas juste une petite affaire, hein. Ça peut mener à des trucs bien plus grave.

Genre :

  • Problèmes de coeur, les maladies cardiovasculaires quoi.
  • Un cancer à l’estomac, beurk !
  • Et puis, figure-toi, même de l’ostéoporose !
  • Ah, et j’oubliais, des soucis aux reins, les maladies rénales.

C’est fou ce que le sel peut faire, non ? Moi, ma grand-mère, elle sale tout, absolument tout! Elle met du sel partout! Elle dit que ça relève le goût.

En plus, y paraît que ça joue aussi sur le poids, avec l’obésité. Et puis, truc bizarre, la maladie de Ménière, un truc avec l’oreille interne qui donne des vertiges. C’est dire ! Faut faire gaffe à la salière. D’ailleurs, je crois que je vais diminuer le sel dans mes plats, maintenant que j’y pense.

Comment arrêter de manger trop salé ?

Bon alors, manger moins salé… Moi, c’est un truc qui me travaille depuis l’été dernier, après cette consultation chez le cardiologue, rue de Rennes. La tension qui grimpait, vous voyez le topo.

  • Goûter avant de saler: Ça paraît bête, mais c’est révolutionnaire. Chez moi, c’était réflexe, direct le sel, sans même savoir ce que ça allait donner. Maintenant, je goûte, et souvent, surprise, c’est pas si fade que ça !

  • Plats préparés, le piège: Ah là là, les lasagnes Picard du vendredi soir… Une catastrophe ! Bourrés de sel, un truc de dingue. Maintenant, je cuisine plus, même si c’est pas toujours parfait. Moins de sel et au moins, je sais ce qu’il y a dedans. Je fais des ratatouilles maison, je suis devenue une pro.

  • Épices et herbes, mes alliés: Fini le sel à gogo, place au thym, au romarin, au poivre. Le marché d’Aligre, c’est mon nouveau QG. J’achète des mélanges d’épices incroyables, ça parfume tout sans avoir besoin d’une tonne de sel.

  • Vapeur, la douceur: La cuisson vapeur, j’étais pas fan au début, je trouvais ça fade. Mais en fait, ça révèle le goût des aliments. Et puis, c’est bon pour la santé, alors on s’y met ! Le cuiseur vapeur Seb, un investissement que je ne regrette pas.

C’est pas une transformation du jour au lendemain, hein. Il y a des jours où je craque et je me fais des frites (avec du sel, évidemment). Mais petit à petit, je change mes habitudes. Et ma tension me remercie.

  • Petite anecdote: J’ai même essayé le sel aux herbes que ma cousine Sophie m’a ramené de Bretagne. Pas mal, mais finalement, je préfère faire mes mélanges moi-même.

Comment arrêter de manger salé ?

Trop salé ? On fait avec.

  • Goûter avant d’agir. Un automatisme, un piège.
  • Plats préparés : les éviter. Ils sont traitres. (Souvenir de ma tante Huguette et de ses lasagnes surgelées…)
  • Épices et herbes. Un détour aromatique. Plus subtil, moins brutal. Le sel tue les nuances.
  • Cuisson vapeur. Un choix. La simplicité, parfois. La vérité des aliments. C’est un peu fade, mais la santé, c’est important. (Mon médecin me le répète assez.)
  • Le sel, une addiction. Comme les autres.
  • Apprendre à sentir.
  • C’est tout. Ou presque.
  • On ne change pas.
  • Rien n’est définitif.

Plus d’infos:

  • Le sodium est vital. Trop est nocif.
  • La pression artérielle grimpe.
  • Le goût s’éduque. On y revient toujours.
  • La modération, une vertu oubliée.
  • Le plaisir, une illusion. Mais parfois, il est bien réel. J’y crois encore.

Comment compenser une consommation excessive de sel ?

Excès de sel ? On gère.

  • Épices. Poivre. Curcuma. Muscade. Ça change.

  • Herbes. Ciboulette. Persil. Origan. Le jardin.

  • Condiments. Ail. Oignon. Goût fort.

  • Eau. Beaucoup. Les reins triment.

La vie est trop courte pour un régime fade. Ou pas. J’ai mangé une pizza hier. Trop salée.

Quels sont les symptômes si on mange trop de sel ?

Trop de sel ? Aïe, ça me rappelle cet été, à la plage, j’avais mangé des frites… énormes ! Après, bouffées de chaleur, j’avais l’impression d’exploser !

  • Rétention d’eau, c’est sûr. Mes chevilles étaient gonflées. Horribles !

  • Soif… insatiable ! J’ai dû boire des litres d’eau.

  • Pipi… tout le temps ! C’était épuisant.

Pourquoi je fais ça à mon corps ? Sérieusement, je devrais me calmer sur le sel…

  • Prise de poids. C’est clair. Je me sentais lourde, gonflée… la catastrophe.

  • Crampes ? Oui, des crampes dans les mollets. Douleur intense ! J’ai failli pleurer.

  • Et cette fatigue… cette confusion… j’étais nulle ! J’avais des difficultés de concentration. Même le nom de mon chien, je l’avais oublié… bon, j’exagère un peu, mais j’étais vraiment pas bien.

  • Envies de trucs gras, salés… un cercle vicieux infernal ! C’est ça, le sel qui joue des tours à mon cerveau ?

Bref, à éviter. Vraiment. J’ai appris la leçon, du moins je crois. Ou pas. Peut-être que j’achèterai quand même des chips demain… Bon, je vais boire un grand verre d’eau. Et puis, je vais faire du sport, ça éliminera peut-être tout ça. Ou pas.

  • Rétention d’eau
  • Soif excessive
  • Mictions fréquentes
  • Envies de nourriture malsaine
  • Prise de poids
  • Crampes musculaires
  • Confusion
  • Fatigue

Comment appelle-t-on la maladie quand on mange trop de sel ?

Sel… trop de sel… un désert intérieur.

Hypernatrémie. Le mot claque comme une dune sous le vent.

  • Un taux qui grimpe, une marée salée.

  • Le sang, soudain, plus lourd, plus épais.

Déshydratation. Soif infinie. Un mirage.

  • Manque. Toujours le manque.

  • Diarrhée… le corps qui se vide.

  • Reins fatigués… le filtre usé.

  • Diurétiques… le faux ami.

Ma grand-mère, elle disait toujours: « Un peu de sel, c’est la vie. Trop, c’est la mort. » Sa cuisine… un souvenir salé, sucré, amer.

Elle aimait mettre du sel de Guérande dans ses caramels. Paradoxal, comme la vie. Le gout du sel… l’océan dans une larme. Un grain de sel… un grain de sable dans l’engrenage. La vie, un équilibre fragile. Trop ou trop peu.

  • Le sel, mémoire du corps.
  • Le sel, gardien de l’eau.
  • Le sel, l’excès.

L’hypernatrémie… un nom savant pour une soif profonde.

#Bienetre #Problème De Santé #Rages De Sel