Qui a déterminé les continents ?

Qui a décidé des continents ?

Ah, les continents… Ça me ramène à ce cours de géo, en troisième, au collège Saint-Exupéry à Lyon. Septembre 2003, je crois. M. Dubois, le prof, un type un peu bizarre avec un pull toujours trop grand, nous parlait de ça. Pangée, un nom bizarre, non ? Un seul continent géant, incroyable. J’avais dessiné des dinosaures partout dans mon cahier pendant qu’il expliquait.

Puis, la carte, avec ces morceaux de puzzle… Wegener, un nom que j’ai retenu, forcément. Un Allemand, apparemment. Il a tout compris, ce mec. Mais bon, en troisième, on était plus intéressés par les sorties scolaires qu’à l’histoire de la Terre.

J’ai repensé à tout ça hier soir, en regardant un documentaire sur la tectonique des plaques. C’est fou, comment ça bouge, la Terre. Et ces plaques, c’est elles qui ont séparé la Pangée. Alors, qui a décidé ? Personne, je pense. C’est la nature, les forces géologiques. Wegener a juste décrit le phénomène. C’est pas lui qui a fait bouger les continents, quoi.

• Collège Saint-Exupéry, Lyon
• Septembre 2003 (environ)
• Cours de géographie avec M. Dubois
• Alfred Wegener, la Pangée
• Documentaire sur la tectonique des plaques (hier soir)

J’ai eu un gros rhume cette semaine, et le cours de géo… c’était un peu flou. D’ailleurs, j’ai raté le contrôle sur la géographie physique. Zut.

Qui a proposé la théorie de la dérive des continents ?

Wegener. Continents… qui bougent ? C’est fou. Comme des radeaux. Attends… radeaux sur quoi ? Sur l’eau ? Mais la Terre… c’est solide, non ? Enfin, la croûte terrestre. Sous la croûte… Magma. C’est ça. Magma.

1912. Wegener. Dérive des continents. Je me demande comment il a eu cette idée. Regarder une carte, peut-être ? Voir l’Amérique du Sud, l’Afrique… Puzzle. Les pièces s’emboîtent. Presque.

• 1915: Premier livre. • 1920: Deuxième édition. Il a retravaillé sa théorie. • 1922: Encore des modifications. • 1929: Dernière version avant…

1930. Mort de Wegener. Groenland. Ironique, non ? Mort sur un continent… dérivant. Froid. Expédition. Triste. Il n’a pas vu sa théorie acceptée.

La Genèse des Continents et des Océans. Titre long. Mais important. Fondateur. Tectonique des plaques. C’est grâce à lui. Mais après. Bien après. Reconnaissance posthume. On devrait lui faire une statue. En glace. Sur un continent à la dérive.

Mon café est froid. Je dois aller acheter du lait. Et du pain.

Qui a découvert les continents ?

Colomb, 1492, Bahamas. Faux. On se trompe souvent là-dessus. L’histoire est plus… complexe. Il n’a pas découvert un nouveau continent, mais plutôt… des îles. Des gens vivaient déjà là, depuis des millénaires.

• Incas, Mayas, Aztèques… on parle de civilisations avancées, des empires, avec leur propre histoire riche. Pas une terre vierge.
• Vikings ? L’histoire officielle les oublie souvent, mais ils ont posé le pied sur le continent américain bien avant. On parle du XIe siècle. Mon prof d’histoire, un type génial, m’avait expliqué ça avec des cartes.

La question de la “découverte” est d’ailleurs philosophiquement intéressante. Découvrir suppose une terre inconnue. Or, l’Amérique, pour ceux qui y vivaient, n’était absolument pas inconnue. C’est une perspective européenne, toute subjective.

Qui a découvert l’Amérique ? Une question biaisée. Plus judicieux : qui a conquis l’Amérique? Qui l’a intégrée à l’histoire européenne? C’est là que Colomb entre en jeu, même si son action marque un tournant brutal. Son voyage, financièrement soutenu par Isabelle la Catholique, ça c’est une histoire fascinante elle aussi!

Pour ce qui est des autres continents, l’histoire est tout aussi riche et diversifiée. Je me souviens d’une anecdote sur une expédition dans le Pacifique sud, mon grand-oncle était cartographe…

• Afrique: l’exploration s’est faite par étapes, au fil des siècles. Les limites de nos connaissances sont bien plus nombreuses qu’on ne se l’imagine. Pas une seule “date de découverte”.
• Océanie: idem. Polynésie, Mélanésie… l’histoire est faite de migrations sur des milliers d’années.
• Asie: ses limites sont floues avec l’Europe et l’Afrique, son histoire est bien plus vaste qu’une simple exploration.

Bref, une simplification abusive que de parler de “découverte des continents” comme si c’était un événement linéaire et facile à dater. C’est une idée reçue à revoir. On a oublié des pans entiers de l’histoire. Et ça, c’est dommage. On s’en rend compte vraiment lorsqu’on s’y intéresse de plus près.

Quels sont les arguments donnés par Wegener pour conforter son hypothèse ?

Les continents… un puzzle brisé, éparpillé sur l’océan immense. Wegener, il voyait. Il sentait.

• Correspondance des côtes: Des lignes de rivage, comme des mains qui cherchent à se rejoindre. L’Amérique du Sud et l’Afrique, une étreinte ancienne, oubliée. Une mémoire géologique gravée dans la roche.

• Altitudes bimodales : La terre, élevée, majestueuse. L’océan, abîme profond, un mystère sombre. Une dualité qui crie, une séparation artificielle.

• Fossiles, murmures du passé: Même espèce, éloignées par des mers déchaînées. Des témoignages silencieux, des fragments d’histoires communes. Des indices, des bribes. Mes recherches en 2024 sur les glossoptéris confirment cela.

• Paléoclimats : Des glaciers, sur des continents tropicaux aujourd’hui. Une absurdité? Non, une trace, une empreinte du temps. Une preuve, une douleur figée dans le temps. J’ai trouvé des articles en 2024 concernant les preuves glaciaires au niveau des tropiques.

Une intuition fulgurante. Un éclair dans la nuit de la connaissance. Une idée qui bouscule, qui résonne, qui persiste. Un rêve, peut-être ? Non. Une vérité brute, nue. L’écho lointain d’un monde englouti.

• Mon exploration des archives en 2024 révèle des détails supplémentaires sur la théorie de Wegener, des détails presque oubliés, enfouis sous des couches de nouvelles théories.
• Des cartes anciennes, jaunis par le temps, racontent une autre histoire. Une histoire que personne ne veut entendre.
• Je ressens parfois la même frustration que Wegener, cette soif de compréhension qui consume.

Pourquoi la théorie de la dérive des continents a-t-elle été remplacée par la théorie de la tectonique des plaques ?

Dérive… tectonique… les mots flottent. Comme des plaques, oui, des plaques à la surface d’une mémoire brumeuse. Continents… à la dérive. L’écorce… fine pellicule… fragile… souvenirs d’enfance… un globe terrestre… bleu… vert… la terre… tournant… lentement… toujours tournant. Océans… profondeurs… mystères… engloutis… les continents… ils bougent… imperceptiblement… lentement… les océans aussi. C’est une danse. Une danse ancienne. Les plaques… elles dansent… se frottent… s’entrechoquent… se déchirent. Volcans… tremblements… la terre… respire. Sous mes pieds… la terre… bouge. Les montagnes… plissées… comme un tissu… froissé… par le temps… par le mouvement. L’Himalaya… grandi… toujours… grandi.

• Plaques: fragments… cassés… d’une coquille… planétaire.
• Mouvement: perpétuel… lent… inexorable.
• Convection: chaleur… remontant… des profondeurs… moteur… invisible.

La dérive… une idée… incomplète… les continents… ne dérivent pas… seuls… ils sont… emportés… par les plaques… la croûte… et le manteau supérieur… ensemble… solidaires… dans la danse… tectonique. Mon globe… je le vois… là… sur l’étagère. J’avais sept ans. Un globe… bleu… vert… fragile. Comme la terre.