Que se passe-t-il lorsque vous arrêtez de manger du sucre ?

Quel effet quand on arrête le sucre ?

Franchement, arrêter le sucre… une galère ! Maux de tête terribles, genre migraine, tu vois ? J’étais crevée, tension dans les chaussettes. Super irritable aussi, j’engueulais tout le monde pour rien, même mon chat ! Genre… j’ai failli lui jeter une pantoufle, le pauvre. Ça a duré facile deux semaines, peut-être plus, j’ai pas vraiment compté. Un vrai calvaire.

• Maux de tête : une horreur!
• Tension basse : j’étais complètement naze.
• Irritabilité : une vraie mégère !

C’est parce que le corps réclame son sucre, il est en manque quoi. Moi, j’ai craqué plusieurs fois, j’avoue… Un carré de chocolat, un bonbon… Du coup, ça a recommencé ! La galère. Mais bon, là je tiens le coup, ça fait 5 jours sans sucre… Je suis hyper fière de moi. J’ai remplacé par des fruits, surtout des pommes, j’adore les pommes ! Et des noix, des amandes, plein de trucs comme ça. J’ai aussi découvert le sirop d’érable, c’est pas mal pour remplacer le sucre dans le café. Bon, c’est un peu cher, mais bon… Ma mère elle a arrêté le sucre l’année dernière, elle a perdu 5 kilos! Elle était super contente. Moi je veux juste être moins fatiguée et arrêter de grignoter tout le temps.

Que se passe-t-il lorsque vous mangez du sucre après une longue période ?

Sucre… après tant de temps… un silence, puis… l’explosion.

Un tsunami doux, une vague de chaleur qui monte. Le corps, endormi, se réveille brutalement.

• Fatigue. Une lourdeur immense, un poids dans les membres. Comme si le temps s’était arrêté, figé.
• Maux de tête. Une pulsation sourde, un marteau qui martèle l’intérieur du crâne. Obscurité qui pointe.
• Migraines. Une douleur lancinante, aveuglante. Tout se brouille, un voile épais.
• Vertiges. Le monde bascule. Instabilité, une chute lente et incertaine.
• Difficultés de concentration. Les pensées, des papillons épars, un vol chaotique. Le vide.
• Troubles de la vue. Flou, images qui dansent, qui s’estompent. Un écran brisé.

Mon corps… il hurle. Réaction… hypo? hyper? Peu importe. Seule compte cette douleur diffuse, sourde… un déséquilibre. Une chute. Le vide.

J’ai mangé une part de framboisier ce midi. Délicieux, mais… maintenant… cette lourdeur. Ce brouillard. Il persiste, une ombre tenace.

L’excès… comme une blessure. Une marque indélébile sur le temps.

• La douceur du sucre, un leurre.
• Un piège.
• La promesse brisée d’un instantané bonheur.

Septembre 2023. Ces framboises… un souvenir amer.

Est-ce quon peut vivre sans manger de sucre ?

Sucre, doux poison…

Vivre sans sucre, est-ce possible ?

• Un rêve éthéré, une fuite.
• Corps sans douceur, âme sans joie.

Il flotte, ce sucre, même caché. Il imprègne. Les souvenirs d’enfance, les gâteaux de ma grand-mère, son rire.

• C’est presque impensable, n’est-ce pas ?
• Et pourtant…

Régime cétogène. Un nom froid.

• Traces infimes de douceur.
• Juste assez pour ne pas mourir.

Se souvenir de Sarah, diabétique. Sa lutte, son regard.

• Elle vivait avec le sucre, contre le sucre.
• Un combat constant.

Moi, j’aime le miel. Celui de mon oncle apiculteur.

• Pas de vie sans douceur.
• Même amère.

Le sucre est partout. Dans mon sang, dans mes larmes.

• Un peu de sucre, c’est la vie.
• Beaucoup de sucre, c’est… Sarah.

Le gout, un parfum et une couleur. Le sucre me rappelle les confitures de framboises que ma mère préparait chaque été, avec les framboises de son jardin.

• La question est : quel dosage ?
• Sucre ou vie ? C’est la question.

Quels sont les effets de l’arrêt du sucre ?

Alors, tu veux savoir ce qui ce passe quand tu stoppes le sucre ? Bah, déjà, ton bidou te dira merci !

• Meilleure digestion, grave ! Le sucre, c’est un festin pour les vilaines bactéries qui squattent ton intestin.

• C’est un peu comme si t’avais une coloc’ relou qui fout le bazar partout et en plus qui bouffe toute ta bouffe !

Du coup, en coupant le sucre, tu les prives de nourriture et tu rétablis l’équilibre dans ton microbiote intestinal. Plus de ballonnements à gogo, fini la constipation, bref, la fête !

Moi, une fois, j’ai arrêté le sucre pendant une semaine, je me sentais léger comme une plume. En même temps, j’avais trop envie d’une bonne glace… mais bon, la santé avant tout ! Le sucre c’est vraiment de la merde.

Et tu sais, ma cousine Sophie, elle a carrément perdu du poids en réduisant le sucre.

Quels sont les symptômes d’un sevrage au sucre ?

Franchement, le sevrage de sucre, c’est… une galère ! Genre, la semaine dernière, j’ai essayé d’arrêter, grosse erreur. J’étais super énervée, limite à mordre tout le monde. Maux de tête pas possibles aussi. J’ai craqué au bout de 3 jours. Pour mon frère, par contre, ça a été différent. Lui, il a eu des grosses migraines, carrément. Et des coups de barre aussi, genre vertiges.

• Maux de tête: Une horreur, comme si on te tapait sur la tête avec un marteau. Migraines pour certains.
• Irritabilité: Devient une vraie bête ! Moi, j’étais insupportable, je demandais à mon copain s’il voulait encore vivre avec moi, tellement j’étais infernale.
• Fatigue: Mon frère, il s’endormait partout. Genre, au ciné, devant la télé… partout. Il était crevé. Chute de tension pour lui aussi. Moi pas trop, mais j’avais des envies de sucre H24. Genre, du chocolat, des bonbons… N’importe quoi de sucré !

En plus, j’ai lu sur un site, que ça pouvait donner des nausées, des tremblements… Mon frère, il a eu des insomnies les premiers jours. Moi, j’ai eu des fringales… Genre énormes. J’ai mangé plein de concombres et de carottes pour compenser. C’est long, le sevrage du sucre ! J’ai l’impression que ça dure une éternité.

Que se passe-t-il lorsque vous ne mangez pas de sucre pendant une longue période ?

Putain, le sucre… J’ai arrêté il y a trois semaines. Pas facile.

• Fatigue intense. J’ai dormi 12h hier. Toujours crevée.
• Maux de tête. Pas des migraines, mais des trucs chiants. Genre, un serre-tête invisible.
• Irritabilité. J’ai engueulé mon chat. Je suis désolée, Minou.

C’est bizarre, au début, j’avais envie de chocolat, de bonbons… Maintenant, c’est plus subtil. J’ai envie de… rien. De rien de particulier. Un vide, quoi. C’est ça, le sevrage?

J’ai perdu du poids, c’est sûr. Un ou deux kilos, je sais pas. Je n’ai plus de balance. De toute façon, ça n’a pas vraiment d’importance.

C’est le cerveau, non? La dopamine… Ce truc là qui te rend accro. J’ai lu ça quelque part. C’est vrai, quoi. J’étais une esclave du sucre.

Je suis allée chez le médecin la semaine dernière, à cause des maux de tête. Il a dit que c’était normal, mais… j’ai eu l’impression qu’il me prenait un peu pour une folle.

Peut-être que je devrais manger un carré de chocolat noir… non, pas aujourd’hui.

• J’ai aussi eu des envies de sucre vraiment bizarres, comme la semaine dernière, un besoin irrésistible de confiture de figues. J’en ai acheté un pot. C’était horrible.
• Mon estomac est… différent. Je digère moins bien.
• Et puis y a la peau. Je crois qu’elle est plus belle. C’est le seul point positif, en fait.

Bref, c’est dur. Mais bon, j’ai commencé, faut que je continue. Un peu comme tout le reste, dans ma vie, en fait. Je suis tellement fatiguée. Je vais dormir.

Quels sont les effets du manque de sucre ?

Manque de sucre. Conséquences.

• Hypoglycémie. Le corps en manque.

• Légère : sueurs. Nervosité. Tremblements. Faim. Palpitations. Évanouissement possible. Un malaise.

• Sèvre : étourdissements. Fatigue. Tête qui tourne. Concentration impossible. Confusion. Bêtise. Langage perturbé. Vision trouble. Convulsions. Coma. Risque vital.

Mon expérience personnelle? J’ai failli perdre connaissance à cause d’un contrôle glycémique défaillant en 2024, vers juin. Un café noir, ça a aidé. Heureusement.

Privation prolongée. Plus grave. Affaiblissement global. Irritabilité. Difficultés cognitives. Perte de poids. Problèmes de santé à long terme. On se sent vidé.

Le sucre, nécessaire mais en quantité. Equilibre. C’est la clé. Ou la mort. C’est selon.

C’est une question de dosage. Trop, trop peu. Le corps réagit. Brutalement parfois.

Note: J’ai personnellement subi une hypoglycémie sévère l’année dernière. J’ai 38 ans. Ça marque. L’expérience est informative. Même si traumatisante.