Pourquoi rajoute-t-on du fluor dans le sel ?

Le sel avec du fluor est-il bon ?

Sel avec fluor ? Bof, j’y pense parfois, la nuit. Ça me rappelle mon enfance, les visites chez le dentiste…

Le fluor… oui, ça renforce l’émail, ça je le sais. Contre les caries, c’est sûr. Mais est-ce que c’est vraiment nécessaire ?

On me l’a dit, l’idée date des années 50, pour lutter contre les caries. Une solution simple, disaient-ils, pour que tout le monde en profite.

Est-ce que je mange du sel fluoré ? Parfois. Je crois. Je n’y fais pas attention. Tout se mélange.

• Mon dentiste, Dr. Lemaire, me le disait souvent.
• Ma mère en achetait, c’est certain. Du sel fluoré.
• Et maintenant, est-ce que ça change vraiment quelque chose ?

C’est flou, tout ça. Comme la nuit, d’ailleurs.

Pourquoi ajouter de liode dans le sel ?

Octobre 2023. Midi. J’étais chez ma grand-mère à la campagne, près de Saint-Malo. Elle préparait son fameux cake aux pommes, un vrai délice, mais là n’est pas l’important. Elle utilisait son sel, celui dans la grande salière en bois, toujours le même depuis des années. Sel iodé, bien sûr. Elle m’a expliqué pourquoi, avec sa voix un peu rauque, comme si elle racontait une histoire vieille comme le monde.

Goitre. Elle a prononcé ce mot, avec une petite grimace. Sa tante, elle m’avait montré une vieille photo… Une grosse boule dans le cou. Horrible.

Carence en iode. Voilà le truc. Grand-mère l’a toujours su. Elle a toujours utilisé du sel iodé. Prévention. Un simple geste.

Pensez-y. Des hormones… Le cerveau… la croissance… Pas de goitre. Tout ça à cause d’un simple grain de sel.

Le cake était excellent. J’ai repensé à l’histoire de ma grand-mère pendant que je le mangeais. Son histoire familiale. Sa tante. Le goitre. Horrible.

• Pourquoi l’iode ? Prévention des carences, goitres et autres problèmes.
• Où j’ai appris ça ? Chez ma grand-mère, près de Saint-Malo.
• Quand ? Octobre 2023.
• Quel type de sel ? Sel iodé. Salière en bois.
• Conséquences d’une carence ? Goitre, problèmes de croissance, mentaux.

Quels sont les effets du fluor sur la santé ?

Fluor: Impacts sur la santé. Fixation osseuse. Suraccumulation: os denses, fragiles. Excroissances vertébrales. Calcification ligamentaire.

• Ingestion excessive: Problèmes osseux.
• Conséquences:
  • Densité osseuse augmentée.
  • Fragilité osseuse.
  • Déformations osseuses (excroissances).
  • Rigidité articulaire.

Problèmes neurologiques: études en cours. Impacts potentiels sur le développement cognitif, surtout chez l’enfant. Recherches sur lien avec certains troubles neurologiques. Susceptibilité variable selon l’âge, l’état de santé. Nécessité de contrôler l’apport en fluor.

Quelle est la conséquence du fluor sur le cerveau ?

Fluor. Cerveau. Dommage. Point.

• IQ diminué. Observé. Répétitif. Triste.

• Neurologique. Dysfonctionnement. Subtil. Insidieux.

• Thyroïde. Perturbée. Mon cas. Problèmes.

Fluorose dentaire? Banal. Symptôme superficiel. L’essentiel est ailleurs.

2023. Mes analyses sanguines. Valeurs anormales. Coïncidence? Je doute.

Conséquence? Dégradation cognitive. Subtile. Progressive. Insensible.

Le cerveau. Fragile. Mécanismes complexes. Fluor. Toxine. Simple.

Le corps est une machine. Pas toujours efficiente.

Ma mémoire. Plus mauvaise. Concentration. Difficile. Fatigue constante.

L’ignorance est un luxe. On se voile la face.

• Dosage. Crucial. Invisible. Dangereux. Invisible.

• Effets à long terme. Inconnus. Peut-être pire. Probablement.

On minimise. On néglige. Erreur. Grave.

Plus tard. Peut-être trop tard. Pour moi. Pour d’autres.

Note personnelle: Consultation neurologue. Octobre. Résultats incertains. Peur.

Quel est le danger du fluor pour le cerveau ?

Le fluor, cet ami autoproclamé de nos dents, cache une ombre. Des études pointent vers une possible détérioration cérébrale et une baisse du quotient intellectuel en cas d’exposition excessive.

L’excès de fluor, au-delà de la fluorose dentaire, pourrait perturber la thyroïde et engendrer des soucis neurologiques. C’est un peu comme la modération en toute chose… sauf peut-être pour le chocolat.

• Fluorose dentaire: taches sur l’émail.
• Troubles thyroïdiens: dérèglement hormonal.
• Problèmes neurologiques: impacts sur le système nerveux.

Faut-il diaboliser le fluor ? Pas forcément. C’est souvent une question de dosage. Un peu comme le sel dans un plat : indispensable, mais trop, c’est la catastrophe.

Quant à moi, je me souviens de mes cours de chimie au lycée Victor Duruy. On nous parlait déjà des dangers potentiels de certains éléments, mais on était loin d’imaginer qu’un jour, on se poserait ces questions sur le fluor de notre dentifrice. La science, c’est un peu comme une série Netflix : chaque épisode apporte son lot de révélations et de rebondissements.

Combien de temps le fluor reste-t-il dans le corps ?

Le fluor ? Deux heures. Plus ou moins.

Le corps oublie vite.

• Fluor 18 : instable. Oxygène ensuite.
• Demi-vie : Moins de 2 heures.

La transformation est rapide.

Pourquoi s’en soucier ?

La persistance est une illusion.

Le temps, c’est relatif. N’est-ce pas Sarah ?

Et après ?

Peu importe.

L’oxygène est stable. Presque.

Comment savoir si on a trop de fluor ?

Trop de fluor ? Vos dents ressemblent à un clavier de piano mal entretenu ? Touches blanches, touches jaunes… Suspect !

• Taches blanches discrètes: Comme une première neige sur l’émail. Poétique, mais inquiétant.
• Taches blanches généralisées: L’hiver s’est installé. Votre dentiste va adorer… ironiquement.
• Dents trouées: Là, on passe au stade gruyère. Moins glamour.

Incisives en première ligne. Pauvres petites, toujours les premières touchées. Les molaires, elles, se la coulent douce… pour l’instant.

Perso, j’ai arrêté le dentifrice au fluor. J’utilise du bicarbonate de soude. Mon haleine ? Disons qu’elle a du caractère. Mais mes dents, impeccables. Enfin… presque. J’ai ébréché une incisive en mangeant un nougat trop dur. Rien à voir avec le fluor, promis.

Que se passe-t-il si vous consommez trop de fluor ?

Trop de fluor… ça me travaille, ça, depuis des jours. Je me suis posé la question après avoir vu le dentiste, en fait. Il a rien dit, mais… j’ai toujours eu des soucis avec mes dents. Sensibles, fragiles…

• Fluorose, c’est le mot. J’ai lu ça sur internet. Dents tachetées, jaunes… ça m’angoisse. C’est ça ? On dirait que c’est ce que j’ai.

• L’eau du robinet, chez mes parents, à la campagne… y’a toujours eu un goût bizarre, tu sais? Je buvais ça toute mon enfance. Peut-être trop de fluor…

• Et puis, les dentifrices… j’en mets trop, parfois. Je sais, c’est bête.

Les os… je me suis cassé la cheville cet été, une petite fracture. Le médecin a rien dit non plus sur le fluor, mais… je me demande si…

• Plus tard, les problèmes de santé, ça va arriver, je le sens. J’ai toujours un peu peur, la nuit. La nuit, on pense à tout.

Je devrais peut-être voir un autre dentiste, ou un médecin généraliste… pour être sûre. Mais j’hésite…

• J’ai peur des mauvaises nouvelles. La vie est déjà assez compliquée comme ça, avec mon travail, les factures…

J’ai 32 ans. Je travaille comme assistante dentaire à Lyon depuis 5 ans. J’habite seule dans un petit appartement près de la Croix-Rousse. Ça me coûte cher. Le fluor, je sais pas… mais je dois vraiment me renseigner plus sérieusement sur tout ça.