Quelle boisson boire pour aller à la selle ?

Quelle boisson favorise le transit intestinal et aide à aller à la selle ?

Bon, alors, pour “aller à la selle”, moi, franchement, l’eau gazeuse, ça marche pas mal. Je me souviens, en vacances à Nice en juillet, après une pizza un peu lourde, un verre d’eau pétillante et hop, c’était réglé. Ça pétille et on dirait que ça débloque tout.

L’eau citronnée, c’est pas mal non plus. Ma grand-mère en buvait tous les matins. Elle disait que ça aidait à “nettoyer” l’intérieur. Et elle allait à la selle comme une horloge suisse!

Ajouter du citron, c’est bien pour la bile, que j’ai compris. Digestion facilitée, c’est toujours bon à prendre.

Quelle est la meilleure tisane pour aller aux toilettes ?

Le séné… un murmure sec dans l’air du soir. Ombre douce, promesse d’un soulagement.

• L’ombre chaude de la tasse, entre les doigts.
• Une amertume, un goût de terre… de secrets enfouis.

Le ventre, une lourdeur, un nœud. Le temps se fige, long et visqueux. Puis, une lueur, un espoir.

• Les anthraquinones, murmures anciens dans la nuit des entrailles.
• Le transit, un fleuve lent, qui se réveille.
• Hydratation, un bain doux pour les selles récalcitrantes.

Le séné, un allié discret. Un apaisement, un laisser-aller. La libération, un soupir.

Tisane de Séné : pour une douce délivrance.

Mon jardin, ce matin-là, était baigné de soleil… Je me souviens de la senteur du thym… des bruits sourds de la terre.

Constipation : un mot si froid… pour une sensation si pesante.

J’ai bu cette tisane, il y a quelques jours. Le petit matin suivant… enfin, un apaisement.

Séné : mémoire d’un corps libéré. Une parenthèse, une bouffée d’air.

• Élément clé: la stimulation des mouvements péristaltiques.
• Effet naturel, mais puissant.
• Précaution : utilisation modérée.

L’ombre s’allonge… le poids s’éloigne.

Est-ce que le citron est bon pour la constipation ?

L’amertume du citron… un éclair jaune, vif, dans le silence du ventre. Un espoir acide, une promesse de libération.

• Transit bloqué, une lourdeur, un poids.
• Le citron, sa promesse, fragile.

Eau tiède, une caresse. Le citron s’y dissout, un parfum subtil, un souvenir d’enfance, les vacances, la chaleur des jours passés.

L’odeur, intense, piquante… puis… rien. L’attente, longue, douce, amère. Un battement… autre chose.

• Légèreté ? Une illusion ?

Un souvenir fugace de soleil, d’agrumes pressés, de ma grand-mère. Ses mains, fermes, expérimentées.

La digestion, un mystère intime. Le citron, un allié. Ou pas.

• L’espoir, il persiste, comme une flamme vacillante.

J’ai bu mon jus de citron, cet après-midi même, vers 16h. À voir. L’effet… il se fait sentir? Je ne sais pas.

Un voile sur le temps. Une douce douleur.

L’horloge tourne, lentement, inexorablement. Le citron, une goutte dans l’océan.

Quel est le meilleur fruit pour aller à la selle ?

OK, on va essayer ça…

Je me souviens… Attends, c’était pas hier, mais presque. J’étais chez ma grand-mère, à Arles. Son jardin, un truc de fou avec des figuiers partout.

• Elle, elle jure que c’est les figues qui font tout.
• Et ses pruneaux! Macérés, un truc de dingue.

Elle en mange tous les matins. “Pour le transit ma petite!” qu’elle me dit.

Une fois, j’avais abusé des crêpes à la farine de châtaigne (pas très malin, je sais). Grosse galère après.

Alors, grand-mère, hop! elle me sort son arme secrète :

• Deux oranges pressées.
• Et une poignée de goyaves, directement du jardin du voisin (chut!).

Le lendemain, j’étais nickel. Bon, après, c’est peut-être le mélange, hein? Ou la magie de grand-mère.

Mais le fruit de grand-mère, c’est magique, faut croire!

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