Quand on fait mijoter, faut-il couvrir ?
Mijoter : faut-il couvrir ?
Oui, couvrir est essentiel pour mijoter ou braiser. Cette technique consiste à cuire lentement, à couvert, une viande préalablementRevenue dans un peu de liquide. La longue cuisson douce révèle alors toutes les saveurs et le fondant de la pièce.
Faut-il couvrir une casserole quand on fait mijoter pour une cuisson optimale ?
Couvrir ou pas la casserole ? Question qui me taraude depuis des années, surtout pour les ragoûts.
En fait, ça dépend. Pour un mijoté type boeuf bourguignon (comme celui que j’ai fait le 14 octobre 2022, avec un beau morceau de 1,5kg acheté chez mon boucher pour 25€), je couvre. La lente cuisson à l’étouffée, c’est la clé du succès!
Mais pour un poulet au curry, par exemple, je préfère laisser un peu évaporer le liquide pour une sauce plus épaisse. J’expérimente beaucoup.
Donc, pas de règle absolue. Observation et goût sont les meilleurs guides!
Faut-il mijoter à couvert ou à découvert ?
C’est marrant, cette question. On dirait une question qu’on se pose à trois heures du matin, quand tout est calme.
- Mijoter, c’est long. Très long. Comme les soirées d’hiver quand on a plus envie de rien faire.
- C’est à couvert, oui. C’est comme se cacher sous une couette pour ne pas affronter le froid.
Le couvercle, c’est un peu ta protection. La viande qui mijote devient tendre, presque consolante. C’est comme un souvenir qui revient, doux et un peu flou.
Et je me souviens, chez ma grand-mère à la campagne, elle mettait toujours un peu de vin rouge dans sa daube. Un petit secret, un truc en plus.
Comment bien faire mijoter ?
L’eau frémissante… Vin rouge sombre… Bouillon doré… Mélange subtil… A peine immergée, la viande… Chaleur douce… Naissance de bulles… Silence du feu doux… Patience… Couvert, le secret… Temps long… Tendresse infinie…
- L’immersion: Juste assez de liquide pour caresser la viande. Eau, vin, bouillon, les alliances se créent.
- L’éveil: Bulle à bulle, le murmure commence. Lentement, sans hâte.
- Le repos: Couvert, à l’abri des regards. Le feu doux, complice du temps.
- La tendresse: L’attente récompensée. Fibres défaites, saveurs profondes.
Hier, j’ai mijoté un agneau… avec des pruneaux… et des épices… Cannelle… Gingembre… Un parfum… qui flottait… dans la maison… Heures lentes… lumière tamisée… comme un souvenir d’enfance… Ma grand-mère… ses plats mijotés… Le temps… suspendu…
Les légumes… oubliés… dans la liste… Oignons… Carottes… Céleri… Les ajouter… au début… avec la viande… pour un parfum… plus intense…
Pourquoi mijoter à couvert ?
Mijoter à couvert? C’est l’assurance tous risques contre la viande sèche façon semelle de godasse! Imaginez un steak desséché, triste, abandonné… L’horreur absolue.
- Couvert = Moelleux garanti. Comme un doudou pour votre rôti.
- Saveurs explosives. Un vrai feu d’artifice en bouche. Pas question de les laisser s’évader par la fenêtre! On garde tout, on verrouille. J’ai déjà perdu un poulet entier comme ça, parti en fumée, enfin en saveur… Tragique.
- Sauce onctueuse. Genre nappage de magazine, tellement c’est beau. Les vapeurs, c’est le secret. Elles font des loopings acrobatiques dans la cocotte, arrosent la viande, la chouchoutent. Un spa cinq étoiles pour votre dîner.
Perso, j’ai essayé une fois sans couvercle. Résultat : un truc carbonisé d’un côté, cru de l’autre. J’ai nourri le chien avec. Il a pas aimé. Vraie histoire. Du coup, maintenant, c’est couvercle obligatoire, même pour faire cuire des œufs. On sait jamais.
Pourquoi cuire à couvert ?
Couvrir, ou pas couvrir… Tel est le dilemme! Pourquoi on met un couvercle ? Ah oui, la chaleur. C’est con, hein ? Elle s’échappe, la bougresse ! Toute cette énergie perdue…
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Chaleur: Faut la garder, cette chaleur ! Plus vite cuit, moins d’énergie gaspillée. Mon portefeuille m’en remercie.
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Vapeur: J’ai vu la vapeur s’échapper de ma casserole de pâtes l’autre jour… Pff, un vrai nuage ! Tout ça, c’est de l’énergie qui s’en va!
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Humidité: On parle de cuisson vapeur là, un peu ? Plus humide, plus fondant. J’aime bien les légumes fondants. J’aime pas les légumes secs.
Mais pourquoi je suis en train d’écrire ça, à 3h du mat? C’est la crise existentielle du couvercle ? C’est ça ? Ou juste une faim de loup ? Pizza ? Non, pâtes. Demain.
Attends, je me suis égarée. Couvrir = cuisson plus rapide et économie d’énergie. Simple comme bonjour, en fait.
- Economie d’argent: Plus rapide = moins de gaz ou d’électricité. Je suis vraiment trop intelligente!
Je devrais peut-être dormir. Ou manger. Ou les deux.
Informations complémentaires (pour plus tard) :
- Types de couvercles (verre, métal, etc. – j’utilise surtout en verre, pour surveiller).
- Influence sur le goût des aliments. (ça rend les choses plus moelleuses, c’est tout ce que je sais).
- Exemples concrets : cuisson des légumes à la vapeur, risotto, sauce béchamel (j’adore ça, la béchamel).
Quand faut-il couvrir un plat ?
Alors, couvrir un plat ? C’est hyper important, surtout pour moi, j’ai horreur du goût de frigo sur la nourriture. Genre, hier soir, j’avais fait un gratin dauphinois, une tuerie! Si je l’avais pas couvert, il serait devenu tout sec, beurk.
Donc voilà, couvre toujours tes plats, c’est la base! Surtout si tu veux garder la saveur et la texture, c’est vraiment vital. Et au chaud, ben pareil. Aluminium ou couvercle, c’est kif-kif.
- Plat chaud = Couverture obligatoire. Point.
- Éviter le goût de frigo, ça c’est essentiel.
- Aluminium ou couvercle, peu importe, vraiment.
J’utilise des trucs en silicone maintenant, c’est plus pratique à ranger que les trucs en alu je trouve. Mon gratin dauphinois d’hier soir, j’ai utilisé mon super truc en silicone bleu. Mais bon, l’alu c’est pas mal non plus, surtout si on est en panne de silicone ou autre chose. Enfin bref, c’est important de couvrir pour garder la bonne texture. Mon chéri, lui, il a même recouvert les restes de la mousse au chocolat qu’on avait faite dimanche! On aurait dit du caramel, sinon!
Plus j’y pense, y a aussi l’histoire des bactéries hein. Couvrir, c’est aussi plus hygiénique, pour pas que ça attire les mouches et tout. C’est moins évident à voir pour un gratin mais pour des trucs plus humides comme une salade, c’est vraiment important.
Faut-il laisser mijoter le bouillon couvert ou non ?
Couvert. Ouvert. Ça dépend.
La cuisson, un art de la patience. Pas une science exacte.
- Température basse. Essentiel.
- Couvercle ? Question de concentration. De subtilité.
Mon bouillon de 2023 ? Couvert. Longue cuisson. Ingrédients précis. Secret de famille. Ma grand-mère. Elle ne disait rien. Simplement, faisait.
Saveurs faibles ? Ouvrez. Risque de brûlure. Attention.
L’évaporation, une arme à double tranchant. Perte de liquide. Gain en intensité. Equilibre fragile.
Bouillon trop riche ? Recette de ma tante. Elle ajoutait du vin blanc. Toujours couvert. L’alcool s’évapore. Subtilité.
- Patience.
- Observation.
- Intuition.
Le goût final. Le seul juge. Point.
A quoi sert la cuisson avec un couvercle ?
Un couvercle ? C’est le super-héros de ta casserole ! Imagine un peu :
- Garde la chaleur: Tel un manteau en fourrure pour ta soupe, il retient la chaleur. Comme si tu mettais un bonnet à une patate, elle cuit plus vite.
- Pression !: C’est un peu comme une cocotte-minute, mais en moins explosif. Genre, ça fait monter la pression et hop, tes légumes sont cuits en deux temps trois mouvements.
- Moins d’énergie: Ton portefeuille te remerciera. Imagine les économies ! Tu pourrais presque acheter une île déserte (bon, peut-être un îlot).
- Vitamines: Garder le couvercle, c’est garder les vitamines. C’est comme enfermer des lutins magiques !
- Moins de vaisselle: Moins d’éclaboussures = moins de nettoyage. C’est mon argument préféré. Genre, la flemme !
- Goût: C’est la fête dans ta casserole ! Les saveurs restent concentrées. C’est comme une boîte de nuit pour tes aromates.
Perso, j’ai testé hier avec mon poulet rôti. J’ai failli mettre le feu à la cuisine, mais c’était délicieux. (Je plaisante, j’ai mangé des pâtes).
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