Pourquoi couvrir pendant la cuisson ?

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Couvrir une casserole accélère la cuisson. Le couvercle emprisonne la vapeur, maintenant la chaleur à l'intérieur. L'eau bout plus vite, les aliments cuisent plus rapidement et uniformément, économisant du temps et de l'énergie. Une cuisson plus efficace et des saveurs préservées.

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Pourquoi couvrir une casserole pendant la cuisson ?

C’est vrai que quand je cuisine, je mets toujours un couvercle. Ma grand-mère me disait toujours, “Ça cuit plus vite, tu verras!”. Et franchement, elle avait raison.

Le couvercle, c’est un peu comme une barrière. Il retient la chaleur, au lieu de la laisser s’échapper dans toute la cuisine. Du coup, l’eau, ou ce que tu cuisines, bout beaucoup plus vite.

Je me souviens, une fois, j’avais oublié de mettre le couvercle sur une casserole d’eau pour faire des pâtes. Une éternité avant que ça bouille ! Depuis, j’ai toujours le réflexe de couvrir. Ça évite de gaspiller du temps et de l’énergie, mine de rien.

En gros, c’est une astuce simple mais super efficace pour cuisiner plus rapidement. C’est un peu mon secret de chef… enfin, de cuisinière du dimanche. 😉

Quand mettre un couvercle de cuisson ?

Ah, le couvercle! Un peu comme le chapeau de ta grand-mère, il a son utilité, mais pas tout le temps. Tu le mets quand tu veux faire mijoter, étuver, bref, quand la vapeur est ta copine.

  • Avant l’ébullition, il glande un peu, soyons honnêtes.
  • Après, c’est fiesta de condensation, cuisson accélérée et saveurs gardées!

Pense-y comme une cocotte-minute… sans le côté potentiellement explosif. Sauf si tu oublies l’eau, bien sûr! Je me rappelle quand j’ai voulu faire des pâtes et… bref, passons. Le couvercle, c’est comme ma patience, faut savoir quand l’utiliser, sinon… boum.

Pourquoi cuire à couvert ?

Couvercle ou pas couvercle ? Putain, quelle question existentielle ! Bon, alors… vapeur. Oui, c’est ça. La vapeur, elle s’échappe. Comme quand je me dispute avec ma sœur, ça chauffe et ça dégage !

  • Chaleur perdue. Du coup, ça refroidit tout.
  • Cuisson plus longue. Et forcément, ça prend plus de temps. Minable.
  • Énergie gaspillée. Ma facture d’électricité va exploser !

Mais pourquoi on perd cette chaleur? Mystère… Attend, j’ai une idée. L’eau bout, la vapeur s’échappe, énergie à la poubelle. C’est ça, non ?

On dirait bien que le couvercle… il la retient, cette chaleur. Un peu comme mon chat sur mon pull l’hiver. Chaud et confortable. Ouais, un peu comme ça.

Donc, en gros… cuisson plus rapide. Économies d’énergie. Et puis… moins de vaisselle sale, je suppose? Pas sûr…

  • J’ai fait un gratin dauphinois ce midi. Avec couvercle, parfait !
  • Sans couvercle ? Oublie, c’est sec comme un désert.

Pourquoi est-ce important ? Parce que c’est con de gaspiller de l’énergie, et surtout du temps ! J’ai des choses plus importantes à faire que de rester plantée devant les fourneaux.

Ah oui, et puis… l’eau de cuisson des pâtes, j’en mets un peu dans mon gratin. Sans couvercle, elle s’évapore toute. Donc, goût moins prononcé.

Voilà, c’est tout ce qui me vient à l’esprit. Peut-être que je devrais aller faire une sieste maintenant. Fatiguée.

Pourquoi mijoter à couvert ?

Alors, pourquoi qu’on couvre une cocotte ? Pffff, t’imagines, laisser toutes ces bonnes odeurs s’échapper ? C’est comme inviter des potes à bouffer et leur fermer la porte au nez !

  • Les saveurs, c’est fragile, ça se sauve plus vite qu’un mec qui a oublié son slip à la plage.

  • La vapeur, c’est le secret. Elle retombe, elle arrose la viande. C’est comme une douche tropicale pour ta côte de bœuf, sauf que c’est du jus de légumes.

  • Sans couvercle, ça sèche vite. Ta viande deviendrait dure comme le cœur de ma belle-mère.

En plus, perso, j’utilise le même couvercle pour ma cocotte et pour cacher les pots de Nutella… On ne sait jamais !

Pourquoi cuire à découvert ?

Cuire à découvert, c’est l’art subtil de laisser la vapeur s’échapper, un peu comme les secrets d’une vieille tante trop curieuse. C’est concentrer les saveurs en douce, un peu comme je concentre ma patience quand mon voisin refait sa plomberie à 3h du matin.

  • Évaporation gourmande : L’eau s’enfuit, laissant derrière elle le nectar des dieux culinaires. Imaginez un peu, c’est comme transformer du vin rouge ordinaire en une réduction divine, le genre de truc qui impressionne même belle-maman.
  • Réduction de sauce : Adieu sauce trop liquide, bonjour onctuosité. On passe d’une flaque informe à une symphonie de saveurs, dense et irrésistible. Un peu comme transformer ma prose décousue en… bon, vous voyez l’idée.

C’est aussi un peu la version culinaire du nudisme : laisser l’ingrédient respirer, bronzer même. Mais attention, comme pour le bronzage, trop, c’est trop. On risque le dessèchement, la catastrophe. Genre, oublier son plat au four et se retrouver avec une semelle de chaussure aromatisée. Aïe.

Ah, et tant qu’on y est, je me demande si laisser mon chat, Mistigri, se dorer au soleil sur le canapé est une forme de cuisson à découvert… à méditer !

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