Pourquoi saler avec du gros sel ?

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Le gros sel, lors de la cuisson, absorbe la graisse de cuisson. Ce processus évite le contact direct de la graisse avec l'aliment, prévenant ainsi une cuisson confite et assurant une viande plus saine et savoureuse. Son utilisation permet une meilleure maîtrise de la cuisson et un résultat plus léger. La texture du gros sel facilite également l'évacuation des graisses.

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Gros sel : quels avantages ?

J’adore cuisiner avec du gros sel ! Le 14 juillet dernier, j’ai fait un poulet rôti sur un lit de gros sel à la campagne chez ma tante.

On a utilisé un gros paquet, ça devait coûter dans les 5 euros. L’effet était bluffant. La peau était croustillante, la chair moelleuse.

La graisse, elle disparaissait littéralement absorbée par le sel. Magique ! On a pu déguster un poulet sain, moins gras, vraiment délicieux.

Aucun doute pour moi, le gros sel, c’est un allié en cuisine. Plus qu’un simple assaisonnement, c’est un outil.

Informations courtes:

  • Question: Quels sont les avantages du gros sel en cuisson ?
  • Réponse: Absorption des graisses, cuisson saine et croustillante.

Pourquoi mettre du gros sel dans sa maison ?

Midi. Soleil de plomb. Sud de la France. Août 2023. Odeur d’humidité dans la chambre d’amis. Tapisserie qui cloque. Horreur. Moisissure. J’ai tout de suite pensé au gros sel. Grand-mère en mettait partout.

Souvenirs confus. Assiettes. Placards. Elle disait que ça absorbait l’humidité.

Supermarché du coin. Paquet d’un kilo. J’ai rempli des bols. Les ai disposés dans les coins. Sceptique. Mais bon…

Deux semaines plus tard. Surprise. Plus d’odeur. Tapisserie presque revenue à la normale. Magique. Vraiment.

  • Absorbe l’humidité: Le sel est hygroscopique. C’est la clé.
  • Empêche la moisissure: Moins d’humidité, moins de risques. Logique.
  • Purifie l’air: Sensation de fraîcheur dans la pièce. Impressionnant.
  • Pas cher: Solution économique et efficace. Top.

J’ai même mis du sel dans la salle de bain. Près de la douche. Fini la buée sur les miroirs. Incroyable. Je recommande. Gros sel. Miracle.

Quels sont les bienfaits du gros sel ?

Ah, le gros sel… Ça me rappelle ma grand-mère, Germaine.

Elle jurait que son secret de jeunesse, c’était les bains de gros sel. Pas le sel fin, hein, le gros, gris, de Guérande, qu’elle achetait directement au marché.

Je me souviens, elle avait un grand baquet en zinc dans sa salle de bain (qui sentait toujours la lavande et la crème Nivea, d’ailleurs), et elle s’y plongeait au moins une fois par semaine.

L’eau était super chaude, limite brûlante, et elle y mettait des poignées de ce sel, une vraie mine!

Elle disait que ça lui détendait les articulations, qu’elle avait moins mal à ses rhumatismes. Et faut dire qu’à 85 ans passés, elle était encore plutôt alerte, ma Germaine.

Je crois que, au-delà de l’effet physique, c’était aussi un moment pour elle, un truc à elle, un moment calme et chaud dans sa semaine. Un peu comme une pause bien-être avant l’heure.

Maintenant, je ne sais pas si ça ralentit vraiment le vieillissement, comme elle le prétendait, mais en tout cas, ça ne lui a pas fait de mal !

Et puis, elle disait aussi que ça l’aidait à garder la peau douce. Bon, elle utilisait aussi de la crème hydratante après, mais c’est vrai qu’elle n’avait pas la peau sèche.

Alors, les bienfaits du gros sel, selon Germaine, c’était :

  • Moins de douleurs articulaires
  • Peau plus douce
  • Hydratation cutanée (peut-être)
  • Un moment de détente

Franchement, j’ai jamais essayé de me faire un bain comme elle. Mais rien que d’y penser, ça me détend!

Le truc en plus: Elle ajoutait parfois quelques gouttes d’huile essentielle de lavande. L’odeur embaumait toute la maison. Et puis, elle gardait toujours un morceau de pain d’épices à portée de main pour grignoter après le bain. Une vraie épicurienne, ma grand-mère!

Quelle est la différence entre du sel et du gros sel ?

Le sel… un murmure d’océan, cristallisé. Une lente évaporation, sous le soleil brûlant des marais salants. L’eau, mémoire ancienne, abandonne ses secrets, ses grains de sel. Gros sel, rude, premier né de la mer.

Une peau rugueuse, une histoire palpable. Il garde le souvenir du vent marin, du soleil couchant sur l’eau. Une promesse de mer, sur ma langue.

Puis, le broyage. Une violence douce, qui le transforme. Sel fin, une poussière de lumière, subtil, presque invisible. Une autre mémoire. Une autre peau.

  • Gros sel : Rustique, puissant, l’âme brute de la mer.
  • Sel fin : Doux, raffiné, l’écho de l’océan.

La mine, un autre chemin. Des entrailles de la terre, un autre sel jaillit. Sombre, ancien, un secret enfoui. Mon sel préféré, celui de Guérande, toujours présent dans mon souvenir.

Il y a la mer, le soleil, le vent… et puis il y a la terre, les profondeurs. Deux vies, deux sels.

Et moi, je rêve de la mer, de grains de sel fondant sur ma peau. La mémoire d’un été à la mer, enfant, les pieds nus, dans le sable chaud… des grains de sel sur la peau, brûlant délicatement.

Quel sel utiliser pour la salaison ?

Alors, pour la salaison, hein, quel sel ? Ben moi, j’utilise le sel de Guérande, tu vois ?

C’est du gros sel, genre vraiment gros sel séché. Pas le truc tout fin quoi.

  • Sel sec, c’est hyper important ! Sinon, ça marche moins bien pour la salaison, vu que le but, c’est d’enlever l’humidité.

  • Et puis, le sel de Guérande, c’est récolté à la main, un peu à l’ancienne. Ça donne un petit truc en plus, je trouve.

Enfin, moi, j’aime bien… Disons que ça rend le goût plus… subtile, tu vois ? C’est un peu mon petit truc à moi. Ma tante Germaine, elle ne jure que par ça depuis toujours ! Et franchement, elle a toujours fait du super saucisson sec. Elle m’a dit qu’elle utilise du sel de Guérande.

Comment saler le poisson pour le conserver ?

Saler le poisson, un art ancestral ! On parle ici de conservation par saumurage, un processus physique fascinant, presque alchimique. Ma grand-mère, elle, utilisait une méthode empirique, transmise de génération en génération.

  • Préparation du poisson : Nettoyage minutieux, éviscération complète, puis découpage en filets ou en morceaux, selon l’espèce et la taille. Ici, pas de recette unique, ça dépend totalement du poisson. Mon voisin, lui, préfère les gros morceaux pour le cabillaud.

  • Le sel : Quantité importante, mais pas excessive ! Une couche généreuse entre chaque rangée de poisson. Le gros sel, idéalement. J’ai testé, le fin, c’est moins efficace. Le sel, c’est un peu comme la vie, il faut savoir doser.

  • Le récipient : Hermétique. Une bassine, un grand saladier, voire un bidon alimentaire. L’important, c’est l’étanchéité. Pour le poids, je n’ai pas de données précises, ça dépend du volume de poisson, mais on doit pouvoir presser un peu.

  • Le temps : 2 à 14 jours. Oui, mais quelle complexité ! On dépend de la température ambiante, de l’épaisseur des morceaux, du type de poisson… Un petit cabillaud, 2 jours suffisent. Un gros thon, allez, on vise plutôt une semaine. C’est une question d’équilibre, de patience. Comme la vie, en somme.

Le processus de dessalage, après cette étape cruciale, est aussi important. Un rinçage puis une étape de trempage dans de l’eau fraîche sont nécessaires. Il faut savoir trouver le juste milieu pour ne pas gâcher le travail, une question d’expérience.

  • Stockage final: Une fois désalé, le poisson peut être congelé ou utilisé immédiatement, pour une recette comme un brandade, par exemple. Si vous le mettez au sec, prévoyez une cave fraîche et bien ventilée, pour éviter les mauvaises surprises.

En résumé : sel, récipient, temps. Une équation simple, mais pleine de nuances. C’est là, dans ces nuances, que réside la véritable magie de la conservation. Un peu comme la vie… je vous le dis !

J’ai essayé cette année avec des sardines, une vraie réussite. L’année prochaine, je compte tester avec du maquereau.

Quel type de sel est utilisé pour conserver la viande ?

Sel. Conserver la viande.

  • Chlorure de sodium. Essentiel.
  • Halite. Alternative brute.
  • Natron. Ancien pouvoir.

Sapidité. Conservation. Double tranchant.

Saler. Saumurer. Techniques ancestrales. Efficacité prouvée.

Mon chat, Minuit, en raffole. Ironie.

Quel type de sel mettre dans un moulin à sel ?

Alors, pour ton moulin à sel, franchement, faut pas mettre n’importe quoi. Genre, la base c’est du gros sel sec, tu vois. Faut que les grains soient assez gros pour que le moulin puisse bien les broyer, sinon ça fait de la poussière et c’est pas top.

Mais attention, y’a gros sel et gros sel!

  • Gros sel de mer : C’est souvent ce qu’on trouve, nickel pour un usage courant.
  • Sel gemme: En théorie c’est bon aussi.

Faut que les grains fassent entre 1 mm et 5 mm à peu près. Si t’as du sel trop fin, genre de la fleur de sel, ça va juste tomber, pas être moulu.

Ah, et surtout, évite le sel humide! Ça va rouiller ton moulin et après, c’est la galère.

Pour info, moi j’ai acheté un super moulin chez Trucmuche l’autre jour, il est top! Y’avait une promo et tout… C’est pas mal comme plan !

#Grossel #Saleraliment #Selcuisine