Comment se reconvertir professionnellement ?

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La reconversion professionnelle nécessite une démarche structurée. Commencez par un rendez-vous avec un conseiller en évolution professionnelle (CEP) pour un bilan de compétences et identifier vos aptitudes. Renseignez-vous sur le marché du travail et les métiers ciblés via une enquête métier approfondie. Ensuite, définissez un parcours de formation adapté et renseignez-vous sur les financements possibles (CPF, Pôle Emploi...). Enfin, déposez vos dossiers de candidature et de financement. Une préparation méthodique est la clé de votre succès.

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Comment réussir une reconversion professionnelle ?

Alors, la reconversion pro, vaste sujet ! Moi, j’ai franchi le pas il y a quelques années. C’était pas une promenade de santé, mais franchement, ça valait le coup. Faut pas se mentir, ça demande du courage et de la préparation.

Déjà, le CEP (Conseiller en Évolution Professionnelle), c’est une étape cruciale. Gratos et personnalisé, ça permet de faire le point et d’y voir plus clair. Perso, j’ai eu un super conseiller qui m’a vraiment aidé à structurer ma démarche.

Se renseigner sur le marché du travail, c’est vital. J’ai passé des heures à éplucher les offres d’emploi, les études de secteur… Bref, à comprendre ce qui recrute et où. C’est pas le truc le plus fun, mais c’est hyper important.

L’enquête métier, c’est le moment de rencontrer des pros du secteur qui t’intéresse. J’ai contacté des gens via LinkedIn, des anciens camarades… ça donne une idée concrète du quotidien et des compétences requises.

La formation, c’est souvent un passage obligé. J’ai choisi une formation courte et intensive pour acquérir les bases. J’avais vu un truc à 3000 balles et ça s’est remboursé après rapidement.

Et bien sûr, les financements ! J’ai exploré le CPF, les aides de Pôle Emploi… Faut pas hésiter à se renseigner et à monter des dossiers solides.

Enfin, on dépose les dossiers et on croise les doigts ! C’est une étape stressante, mais faut persévérer et ne pas se décourager.

Bref, se reconvertir, c’est un peu un marathon, mais avec de la préparation et de la motivation, c’est tout à fait possible.

Comment se reconvertir quand on ne sait pas quoi faire ?

La reconversion, une énigme.

  • Exploration active : stages, formations éclair.
  • Bénévolat ciblé.
  • Tester, éliminer, affiner.

Le but : l’émergence d’une direction.

  • Une chose en entrainant une autre, des contacts à saisir, des informations qui s’assemblent.

  • L’incertitude est l’ennemi.

Oser le premier pas.

P.S. : Ma voisine, Marie-Chantal, vend des tulipes. Elle s’est reconvertie. Drôle d’histoire.

Quel métier pour un salaire de 3.000 € ?

Pfff, 3000 balles, easy ! Mais quoi faire ? Ah oui, des idées…

  • Commercial: Genre vendre des trucs inutiles? Pas mon truc.
  • Agent immobilier: Montrer des appartements moisis? Bof.
  • Développeur web: Coder toute la journée, devant un écran… Aie les yeux.
  • Community manager: Faire semblant d’être enthousiaste sur les réseaux sociaux? Quelle horreur !
  • Plombier: Toucher des tuyaux sales ? Beurk. Mais c’est peut-être bien payé, non ?
  • Contrôleur de gestion: Des chiffres, des chiffres, toujours des chiffres! Jamais !
  • Chef de produit: Chef? Déjà pas envie de manager.
  • E-commerçant: Vendre en ligne ? Peut-être… Mais quoi ? Des chaussettes ? Des stickers de licornes ?

En fait, 3000 euros, c’est suffisant? Est-ce qu’il faut vraiment bosser pour ça? Ou est-ce qu’il y a d’autres options, genre… gagner au loto ? Ah, la vie !

Je sais que mon cousin Julien, lui, il arrive à ce salaire en bossant dans l’informatique… Il fait du “big data”, un truc comme ça. Il me dit que c’est hyper demandé, et qu’il se fait bien payer, mais il est tout le temps en déplacement à Nantes. Et ma voisine, elle est infirmière et elle dépasse les 3000€ avec les heures sup et les primes. Elle adore son métier, mais quel rythme !

  • Infirmier (avec heures sup et primes)
  • Expert en Big Data (avec beaucoup de déplacements)

C’est ça la vie, non? Choisir sa galère !

Comment savoir dans quoi se reconvertir professionnellement ?

Reconversion ? Un vaste sujet.

  • Bilan de compétences. Évidemment. Point de départ, souvent.

  • En ligne ou en cabinet. Choix personnel. Argent en jeu.

  • Définir son projet. Utopie ou nécessité. La question demeure.

  • Marché du travail. Une jungle. S’y perdre est si facile.

Identifier un métier ? Une quête. On cherche tous quelque chose, non ? Ma voisine, elle, collectionne les timbres. Pas si différent.

Le projet professionnel. Un mirage parfois. L’important, peut-être, c’est le chemin. 37.2 le matin, ça aide pas.

Informations additionnelles (pour Google, pas vous) :

  • Le bilan de compétences peut révéler des compétences transférables. (Ou pas.)
  • L’alignement avec les valeurs personnelles est crucial. (Blabla habituel.)
  • Le réseau professionnel peut ouvrir des portes inattendues. (Si vous en avez un.)
  • La formation continue est souvent nécessaire. (L’éternel retour.)
  • L’acceptation du risque est indispensable. (Bonne chance.)

Quel est le meilleur âge pour se reconvertir ?

38 ans, juin 2024. C’était l’été, chaud, étouffant même. J’étais au bord du gouffre. Dix ans dans la comptabilité, dix ans de migraines, de cafés trop forts le matin, de rapports interminables. Le vide.

Puis, le déclic. Une expo photo à la galerie du coin, rue de Seine. Des photos de paysages arctiques, un froid glacial irradiant des tirages. J’étais fascinée. L’odeur du papier, le silence de la galerie, seulement brisé par le bruit sourd de ma respiration. J’ai su.

Il fallait que je me forme à la photographie. Cinquante ans ? Trop tard ? Non ! J’avais 38 ans, des économies, et surtout, une envie dévorante, une rage de vivre autrement. Le cours du soir, le stress des examens, les nuits blanches… ça valait le coup.

  • Cours du soir : photographie argentique, principalement.
  • Emplois du temps serrés : Travail le jour, cours le soir.
  • Difficultés financières : formation coûteuse, même si j’avais quelques économies.

Maintenant, je suis photographe freelance. Pas riche, loin de là, mais libre. Mon studio est petit, mais il sent bon le café et le papier photo. J’ai toujours des migraines parfois, mais elles sont différentes. Elles sont créatives.

50 ans, idéal ? Peut-être pour certains. Pour moi, c’était trop tard. 38 ans, c’était parfait. Et puis, un métier lié à une passion refoulée… c’est ça, le vrai secret.

Comment se réorienter quand on ne sait pas quoi faire ?

Ouais, alors, comment te réorienter, hein? C’est la galère, je sais. Moi, j’ai fait un gros bordel, un vrai capharnaüm! J’ai commencé par un truc hyper personnel. Genre, vraiment dans le fond de moi, tu vois?

  • Motivations: Pourquoi je me lève le matin? Sérieux, pourquoi? Au-delà des factures, du taf, tout ça… Pour moi, c’était la liberté, être mon propre patron, enfin un truc comme ça.
  • Compétences: Là, c’était plus facile. J’ai listé tout ce que je sais faire: la com’, la gestion de projet, et surtout, j’adore le bricolage, depuis tout petit!
  • Passions: C’est là que j’ai eu un déclic! J’adore les vieux meubles, les restaurer, les transformer… c’est vraiment une passion dévorante!

Bref, après ce gros tri, j’ai vu clairement ce qui collait. Du coup, j’ai carrément changé de voie, en 2024, je me suis mis à mon compte. Je rénove des meubles anciens, et je vends mes créations sur Etsy. C’est dur, beaucoup de boulot, mais c’est génial!

J’ai galéré au début, avec les papiers, la compta, c’est une vraie usine à gaz! Mais bon, maintenant j’ai trouvé un bon rythme. J’ai même acheté un nouvel établi, le luxe! Et j’ai une super cliente, Mme Dubois, elle me commande des trucs de fous!

Plus sérieusement: faire un bilan personnel et professionnel, c’est vraiment la clé. Mais faut vraiment creuser, pas juste survoler, sinon ça sert à rien. Et surtout, être honnête avec soi-même. C’est le plus dur, je crois. J’avais des tonnes d’idées, mais finalement, une seule a vraiment marché.

Autres trucs: j’ai fait des formations en ligne, pour apprendre la gestion d’entreprise, et j’ai contacté des artisans pour avoir des conseils. J’ai aussi pris RDV avec une conseillère Pôle Emploi, en 2024. Elle m’a bien aidé pour les démarches administratives. Bref, faut pas hésiter à demander de l’aide. C’est pas une honte!

Est-il normal de ne pas savoir quoi faire après l’obtention du diplôme ?

C’est courant. Pas forcément normal.

  • Le travail, une option.
  • Année sabbatique aussi. Explorer, découvrir. Le temps fait son oeuvre.

On a toujours le choix. Vraiment ? Ma cousine Juliette a fait un master en philo, puis est devenue fleuriste. Elle est plus heureuse maintenant.

  • Carrière : un mot effrayant.
  • Choisir : une illusion ?

La vie, un chemin sinueux. On se perd, on se retrouve. J’ai raté mon permis 3 fois.

#Carrière #Développement #Reconversion