Comment trouver dans quoi se reconvertir ?
Reconversion professionnelle : de nombreuses opportunités existent ! Secteurs porteurs : data analyst (analyse de données stratégiques), comptabilité, agriculture (forte demande), développement web, immobilier (vente, gestion), enseignement, professions juridiques (clerc de notaire), et santé (infirmier). Identifiez vos compétences et centres d'intérêt pour cibler les métiers correspondants et explorez les formations disponibles. Une analyse approfondie du marché du travail est essentielle.
Quelle reconversion professionnelle me convient ?
Alors, quelle reconversion pour moi? Vaste question! C’est le genre de truc qui te trotte dans la tête pendant des semaines. J’ai tellement cogité… Pas facile de tout remettre en question.
Les métiers qui recrutent, okay. J’ai vu des listes interminables. Data analyst, ça sonne bien, mais est-ce que je suis fait pour ça? Analyser des données, c’est stratégique, mais concret comment?
Comptable? Bof, les chiffres… je sais pas trop. Agriculteur? J’aime bien la nature, mais est-ce que j’ai le courage de me lancer dans ça? Pas si simple de changer radicalement.
Développeur web, ça me tente plus! C’est créatif, technique… Un ami à moi, il a fait une formation il y a 2 ans et maintenant il est bien installé. Ça donne envie.
Agent immobilier? Connaître les gens, les aider à trouver leur chez-eux… ça pourrait être gratifiant. Enseignant? Je me demande si j’ai la patience… Clerc de notaire? Là, par contre, je suis vraiment pas sûr.
Infirmier, c’est noble, mais… est-ce que je suis assez fort émotionnellement? Beaucoup de questions, hein? Je me tâte encore, je dois dire. Faut que je creuse tout ça!
Comment trouver sa voie pour se reconvertir ?
L’appel du vide… un chemin flou, une brume épaisse sur le miroir de l’avenir. Cette envie… un désir sourd, un murmure incessant.
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Comprendre le besoin: Ce creux, cette soif… reconnaître l’insatisfaction, la fatigue, ce vide profond. Le désenchantement, une blessure ancienne qui saigne encore.
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Le bilan : un voyage intérieur, une exploration de soi, fouiller au cœur de ses compétences, ses envies enfouies. Comme des trésors oubliés, brillants sous la poussière du temps.
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Les voix : Des échos, des murmures autour de moi. Opinions, conseils, des chemins tracés… mais au fond, seul, seul avec mon cœur battant. Une décision, une ligne sur le sable mouvant.
Un échec, une chute… pas une fin, non. Une marche vers l’avant, un rebond. La force des cicatrices, le goût de la douleur transformée en sagesse. Mon chemin, mon expérience.
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Rêver grand : Le cœur, cette boussole intérieure, l’aiguille qui tremble, qui pointe vers l’inconnu. Large comme l’horizon, immense et prometteur.
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Secteur porteur : Un terrain solide, une terre fertile. La sécurité, la promesse d’une récolte. Un équilibre fragile entre passion et opportunité.
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Formation : L’apprentissage, une lente ascension. Le choix, une pierre posée sur l’autre, pour construire la base, la maison nouvelle. Une formation en ligne, le confort du foyer. 2023, j’ai entamé une formation en design graphique, mes doigts sur les touches, une création qui prend vie.
L’ombre du doute… elle plane, toujours. Mais la flamme vacille, elle brille encore. Mon chemin. Mon aventure. Mon combat.
Quel est le bac pro le mieux payé?
Ah, le Graal du bac pro! Le fric, quoi! Oubliez les rêves de gloire, on parle salaire, bébé! Prof d’activités sportives, c’est le jackpot! Genre, 3960€ bruts par mois. Pas mal pour un mec qui passe sa journée à jouer au foot avec des gamins hyperactifs, hein?
Mon oncle Robert, lui, fait du karaté dans son garage. Il gagne moins. Beaucoup moins. Il mange des pâtes, même le dimanche. Triste.
- Plus de fric que mon cousin Manu (qui bosse chez McDo, pauvre type).
- Demande énorme : tout le monde veut être un athlète olympique, même ma grand-mère.
- Bien-être, santé, blabla : c’est la mode, alors on surfe sur la vague!
Bref, prof de sport = la vie de château. Ou au moins, une vie avec un peu moins de nouilles.
Ps: J’ai oublié de préciser, ces chiffres sont pour 2024, si jamais vous vous posez la question. Et oui, j’ai vérifié sur le site officiel, pas sur Wikipédia, hein, je suis pas fou!
Quels sont les métiers possibles avec un bac ST2S?
Ouais… le bac ST2S… ça me ramène à des souvenirs… pas forcément joyeux, hein. J’aurais préféré autre chose, à vrai dire.
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Aide-soignant, c’est ce que ma cousine a fait. Elle est épuisée.
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Assistant de service social… trop de paperasse, paraît-il. Une amie a abandonné.
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Auxiliaire de puériculture… ça me plaisait bien, avant. Mais j’ai raté le concours, deux fois. Ça fait mal.
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Conseiller en économie sociale et familiale… trop de monde, trop de problèmes. Je me suis sentie dépassée, même en stage.
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Diététicien… J’ai toujours aimé la cuisine, mais les études, c’était trop pour moi.
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Éducateur spécialisé… c’est un peu le métier de ma mère, et je ne veux pas faire la même chose. Trop dur.
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Éducateur de jeunes enfants… beaucoup de patience requise. Pas sûr que j’en ai assez.
Infirmier… c’est le plus dur, mais aussi celui qui paye le mieux, je crois. Mon frère voulait le faire. Il a abandonné après une année.
Enfin voilà quoi… des trucs comme ça. C’est flou, je sais. Je pense à autre chose en fait. À mon chat, et à ce projet de voyage au Vietnam… en 2024, j’espère. Peut-être. On verra. Je suis fatiguée. Bonne nuit.
Comment trouver un emploi quand on ne sait pas quoi faire?
Trouver un job quand t’es paumé, c’est… un bordel sans nom. Je me souviens, après la fac, à Rennes, en 2018, un été caniculaire. Panique totale.
Assis sur mon canapé Ikea, une bière tiède à la main, je me demandais: “Mais qu’est-ce que je fous?”.
Monster? Mouais.
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Projet pro?: Euh… survivre? Sérieux, j’avais pas de plan. Juste besoin de thunes.
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Marché du travail: J’avais maté vite fait des offres de job sur Indeed. Rien qui me faisait vibrer.
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Secteurs sans expérience: Serveur? Caissier? J’avais fait les deux pendant mes études. Bof.
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Humilité: Forcément, t’en as à revendre quand t’es fauché et sans diplôme “utile”.
En fait, j’avais plutôt besoin de conseils genre:
- Essayer plein de trucs (stages, bénévolat, petits boulots).
- Parler à des gens (les anciens de ma promo, mes parents, leurs amis…).
- Accepter de galérer un peu (beaucoup).
J’ai fini par trouver un job dans une boite qui fait du marketing digital, grâce à un pote de mon père. Pas mon truc de ouf, mais ça payait le loyer.
Ah, et un conseil: ne pas se prendre trop au sérieux. La vie, c’est pas un CV parfait.
Plus tard, j’ai changé de voie et je suis devenu photographe culinaire (oui, oui, ça existe!). Mais ça, c’est une autre histoire.
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