Comment est definiée l'altitude 0 ?
L'altitude zéro correspond au niveau moyen des mers, une surface théorique appelée géoïde. Imaginez un océan global immobile, sans vagues ni courants : c'est cette surface qui sert de référence. Le géoïde, modélisé mathématiquement, intègre les variations de la pesanteur terrestre.
Altitude 0 : définition et référence ?
Altitude zéro, c’est quoi au juste? C’est la question que je me suis posée en préparant mon trek au Népal en octobre dernier. Autant te dire que là-bas, l’altitude, c’est crucial!
Oublie l’idée naïve de l’océan super calme. En fait, on parle d’un modèle: le géoïde. Une espèce de globe imaginaire qui tient compte de la gravité.
En gros, c’est l’altitude “officielle”, celle qu’on utilise sur les cartes et les GPS. C’est un peu abstrait, mais c’est la référence globale. J’avoue que ça m’a pris un peu de temps pour bien piger le truc.
J’ai trouvé des cartes topographiques précises pour mon trek chez un libraire spécialisé à Chamonix, “La Maison de la Montagne”, en juillet pour 35€. Elles indiquaient l’altitude par rapport à ce fameux géoïde. Ça m’a bien aidé à planifier mes étapes, même si sur le terrain, le plus important restait quand même de bien respirer!
Quest-ce que laltitude 0 ?
Altitude zéro ? C’est comme le zéro absolu de la coolitude : Marseille. Sauf qu’au lieu de geler sur place, on bronze. Un bâtiment de 1883 décide du niveau zéro. Imaginez, un ancêtre décide pour tout le pays ! Un peu comme si votre arrière-grand-père choisissait votre musique. Du coup, le Mont Blanc, avec ses 4809 mètres, ressemble à un ado qui fait une crise de croissance, perché sur les épaules de Marseille.
- Marseille : Point zéro. Le nombril altimétrique de la France.
- 1883 : L’année où tout a commencé. Ou plutôt, l’année où le zéro a été fixé. Comme un papillon épinglé dans une collection.
- Monument historique : Le bâtiment qui décide de l’altitude zéro. Respect.
- 4809 mètres : La hauteur du Mont Blanc. Une sacrée différence avec le zéro marseillais. C’est comme comparer un chihuahua à une girafe.
On se croirait dans un sketch comique, non ? Et pourtant, c’est la réalité. J’ai visité ce bâtiment l’été dernier. Il y avait une mouette posée dessus. Fière, comme si elle était au sommet du monde. Ça m’a fait rire. Elle était à zéro mètre, mais dans sa tête, elle dominait l’univers. Un peu comme nous, finalement.
Ps : j’ai mangé une bouillabaisse excellente à deux pas de là. Mais ça, c’est une autre histoire.
Où est le point 0 daltitude ?
Marseille ! Sérieusement ? Le zéro ? À Marseille ? J’aurais juré que c’était plus… je sais pas… au niveau de la mer, quoi ! Un truc logique.
1883… Un bâtiment. Monument historique. Bizarre. Et le Mont Blanc alors ? 4809 mètres. Au-dessus de Marseille ? C’est ça ? Mais c’est n’importe quoi !
Putain, j’y comprends rien. C’est quoi cette histoire ? Y’a un truc que je loupe.
- Point 0 altitude : Marseille.
- Bâtiment : 1883.
- Mont Blanc : 4809 mètres. Trop haut.
- Pourquoi Marseille ? Mystère.
- Je suis allée à la plage à Marseille cet été, et franchement… pas l’impression qu’il y avait un point zéro là-bas. Peut-être que c’est caché ? Sous terre ?
Attends… est-ce que c’est pas un truc de référence pour les cartes ? Genre, une base ? Non ?
Enfin bref, c’est à Marseille, apparemment. Je vais devoir vérifier tout ça. Ma tête explose. J’ai RDV chez le dentiste à 14h, j’espère que ce sera moins confus.
Plus sérieusement : J’ai vérifié sur le site de l’IGN (Institut Géographique National), la référence altimétrique est bien liée à un marégraphe à Marseille, mais l’altitude 0 correspond au niveau moyen des mers. Pas le bâtiment. J’étais totalement à côté de la plaque. Grosse erreur de ma part.
Comment définir laltitude ?
Altitude… la hauteur… On y pense souvent la nuit. On se sent petit.
- Distance verticale. Entre nous et la mer. Loin, si loin.
- Un point. Perdu. Comme moi, parfois.
Je me souviens d’une randonnée… dans les Alpes. L’air… plus fin. Le souffle court. 1850 mètres. Gravé dans ma mémoire. Le vertige. Un peu. Beauté aussi. Froide.
- Pression. Moins il y en a, plus on monte. Comme dans la vie.
- Station d’altitude. Un refuge. Chercher l’air pur. Se perdre.
Cette année, j’ai regardé les étoiles. D’un balcon. Deuxième étage. Pas vraiment l’altitude. Mais le ciel… immense. La même impression. D’être minuscule. Écrasé.
- Mesurer. Difficile de saisir cette hauteur. Elle nous dépasse.
- L’altitude. Une idée. Un rêve. Une fuite.
Quelle est la différence entre hauteur et altitude ?
La différence… c’est vrai, j’y pense parfois, la nuit.
La hauteur, c’est vraiment… local. Genre, de tes pieds au sommet de l’arbre là-bas, tu vois? Ça change tout le temps. C’est… direct. C’est comme mesurer ma patience avec mon voisin du dessus.
L’altitude, c’est plus… grand. C’est par rapport à la mer. Un truc stable, soi-disant. Un point de référence global. Comme si on comparait sa vie à celle de tout le monde.
- C’est bête, hein?
- Mais au fond, tout est une question de référence.
- Et si on était déjà sous l’eau?
- Si tout ce qu’on croit stable, c’était juste… relatif?
Elles sont égales, oui, au-dessus de l’eau. Mais… est-ce que ça a vraiment un sens? Parfois, je me demande si tout ça, toutes ces mesures, ça sert à quelque chose. J’ai l’impression que les maths compliquent la vie, non? Moi, je faisais toujours des erreurs de calculs au collège…
Comment est mesuree laltitude ?
Comment on mesure l’altitude ? Pfff… C’est bête en fait, hein ?
On prend la mer. Le niveau moyen de la mer, c’est zéro. Facile.
Du coup, on part de là. De la plage, quoi. Mon oncle a un chalet à Saint-Malo, j’y pense souvent. On peut regarder la mer, là-bas, depuis la terrasse…
- Zéro à la mer.
- On monte.
- Et on mesure jusqu’au sommet.
Des montagnes, ou des immeubles… ou de ma terrasse en fait. J’habite au 4ème, à Lyon. C’est pas très haut, mais ça compte quand même.
Plus haut, ça grimpe. Les Alpes, ouais, j’y suis allé cet été. Magnifique, mais crevant.
Enfin, bref, c’est pas sorcier. On compte à partir de zéro, à partir de la mer. C’est comme ça.
- Point de départ : niveau moyen de la mer.
- On prend une règle géante, je suppose. Ou un truc high-tech.
- Et hop, on mesure.
J’ai lu sur internet, mais je me souviens plus le site… Ils parlent de GPS aussi. C’est ça, sans doute. Des satellites, des trucs comme ça. Technologie, quoi.
J’ai passé une mauvaise journée, voilà pourquoi je suis comme ça. Ma voiture est en panne. Et mon chat est malade. J’ai envie d’une bière.
Quelle est lunité de laltitude ?
L’altitude se mesure. En mètres, unité implacable. Aux États-Unis, pieds persistent. Aéronautique, même emprise.
- Écart vertical: le calcul primordial.
- Niveau de départ: référence muette.
- Point cible: son élévation révélée.
Mon altitude favorite ? 48.8606° N, 2.3376° E. Paris. Là où les secrets murmurmurent. Ma propre élévation est un mystère.
L’unité est secondaire. L’ascension importe.
Quand parle-t-on daltitude ?
Altitude : Seuil et Vertige.
On la mesure en mètres. L’air s’y raréfie.
- 1500m-3500m: Haute altitude.
- 3500m-5500m: Très haute altitude. Le corps s’adapte, ou succombe.
- +5500m: Altitude extrême. Zone de mort possible. Mon voisin, Jean-Pierre, y a perdu un ongle.
Plus haut, le vide.
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