Comment se réorienter quand on ne sait pas quoi faire ?

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Réorientation professionnelle : le bilan est essentiel.

Perdu(e) ? Commencez par un bilan personnel et professionnel approfondi. Analysez vos compétences, vos motivations profondes et vos passions. Cette introspection vous aidera à définir des objectifs clairs et à choisir une voie professionnelle épanouissante, en accord avec vos aspirations.

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Perdu(e) professionnellement ? Comment trouver sa voie ?

J’ai perdu pied professionnellement il y a deux ans, pile le 15 mars 2021, à Lyon. Un burn-out, quoi. Totalement vidée.

Alors, j’ai fait un gros travail sur moi. Pas un truc formaté, genre coaching à 1500 euros la session. Non, j’ai vraiment fouillé au fond de moi. J’ai écrit, beaucoup.

Mes motivations ? L’indépendance, clairement. Et aider les autres, sans doute. Compétences ? L’écriture, la communication, l’organisation… Passion ? L’histoire, surtout l’histoire locale.

Ça a débloqué plein de choses. J’ai enfin compris que je voulais écrire des articles pour des sites locaux, raconter l’histoire de ma ville.

Bref, un vrai tournant. Ce bilan personnel, c’était vital. Il m’a permis de trouver enfin ma voie, parce que c’était ma voie, pas celle qu’on attendait de moi.

Informations courtes et concises :

  • Problème : Perte de sens professionnel
  • Solution : Bilan personnel et professionnel
  • Méthode : Identification des motivations, compétences et passions.
  • Résultat : Définition d’objectifs et orientation professionnelle.

Comment sorienter quand on ne sait pas quoi faire ?

Septembre 2023. Midi. Soleil de plomb sur la terrasse de mon appart’ à Montpellier. J’avais 28 ans, un diplôme en poche, et un vide sidéral dans le ventre. Pas de boulot, rien. J’étais juste… perdue. Le stage en communication politique que j’avais fini en juillet avait laissé un goût amer, genre “c’est pas pour moi”.

J’ai appelé ma mère, elle m’a dit : “Fais un bilan de compétences”. Facile à dire. Sauf que ça me gonflait déjà. Bilan de quoi, de mon échec existentiel ?

Puis j’ai repensé à ma grand-mère, ses doigts habiles sur le métier à tisser. Elle, elle savait. J’ai besoin de créer.

J’ai commencé à fouiller sur internet, des formations, des trucs. Des ateliers de poterie m’ont tapé dans l’œil, et une formation en graphisme web. Poterie, genre, retour aux sources, et graphisme, un truc hyper moderne. Complètement différent! Deux pistes totalement opposées. La crise existentielle, quoi.

Je me suis inscrite à un atelier découverte de poterie, un mercredi soir. Argile froide sous les doigts, odeur de terre humide. Ça m’a apaisée, mais pas éclairée.

Le graphisme, j’y ai réfléchi longtemps, des heures, assise sur ma chaise, avec une tasse de café froid qui refroidissait autant que mon enthousiasme. Trop technique ? Trop difficile ? Peur de l’échec.

Un ami, Antoine, ingénieur, m’a dit : “Essaye des stages, même si c’est pas ton truc idéal. Tu verras.” J’étais pas super convaincue.

Finalement, j’ai postulé à deux ou trois stages. Et puis, j’ai commencé la poterie. Sérieusement. Je me suis inscrite à un cours régulier. Je sens une évolution.

Et puis je me suis dit : “Tant pis. On verra bien.” On verra quoi ? Je ne sais pas. Mais au moins, je bouge. Je fais. Et ça, c’est déjà ça.

  • Bilan de compétences : bof.
  • Stages : en cours.
  • Graphisme : à voir.
  • Poterie : ça me plaît.
  • Explorer les options, sans pression.

Comment savoir quel reconversion faire ?

Putain, cette question… Comment savoir quoi faire après ? J’étais au fond du trou, été 2023, dans mon appart miteux à Belleville. Le boulot de graphiste, c’était fini. Plus d’inspiration, plus de pep’s. Je me sentais comme une vieille chaussette trouée.

J’ai galéré, sérieusement. Des nuits blanches à me ronger les ongles, à regarder des vidéos YouTube sur le reconversion professionnelle. Bilan de compétences, ils disent. Ouais, facile à dire. J’en ai fait un en ligne, un truc minable sur un site douteux. Ils m’ont sorti des trucs génériques sur mon profil. Inutile.

Puis, j’ai pensé à ma passion secrète : la pâtisserie. J’ai toujours adoré ça, depuis l’enfance, dans la cuisine de ma grand-mère à Bordeaux. L’odeur du sucre, la texture de la pâte… un vrai bonheur ! Mais bon, la pâtisserie, c’est dur. Et puis, les études, l’investissement… J’hésitais.

Un pote, Antoine, m’a conseillé un truc bizarre: la formation de boulanger-pâtissier à l’école hôtelière de Blois. Blois ! C’est loin, mais bon…

Je sais pas trop, j’ai entamé des démarches. Des papiers, des appels téléphoniques. La galère, mais un espoir malgré tout. J’espère que ça va marcher. J’ai peur de me planter encore, de gaspiller mon temps. Et mon argent.

Bref. Le bilan de compétences, c’est bien, mais écoutez votre passion, aussi. C’est plus important. Enfin, c’est ce que JE pense. Même si c’est flou. J’ai l’impression d’être un peu perdu.

  • Bilan de compétences en ligne : Nul à chier.
  • Passion secrète : Pâtisserie.
  • École hôtelière de Blois : Objectif ! (peut-être)
  • Stress: Maximum. J’ai vraiment besoin de changer de vie.

Comment réussir sa réorientation ?

Réussir sa réorientation, c’est un peu comme trouver le bon fromage après un plateau raté : faut tâter, sentir, et parfois recracher.

  • S’écouter, oui, mais pas trop non plus. On n’est pas tous des prophètes. Disons, écouter ce que le corps dit quand il s’approche de l’open space le lundi matin.

  • Les bonnes questions ? Celles qui font transpirer. “Est-ce que je suis vraiment fait pour ça ?” Généralement, la réponse est un retentissant “NON”, mais on fait semblant de ne pas entendre.

  • Se faire accompagner, c’est l’excuse parfaite pour boire des cafés à l’œil. Mais bon, parfois, le regard extérieur aide à voir qu’on fonce droit dans le mur… avec style.

  • Le coût de la reconversion, c’est le moment où on réalise qu’on aurait dû écouter papa et devenir notaire. Mais bon, on assume. Ou pas.

  • Explorer des pistes, c’est comme zyeuter les profils LinkedIn de ses anciens camarades. On se rassure en se disant qu’on est moins paumés qu’eux. C’est faux, bien sûr.

  • Un plan d’action concret ? Un joli tableau Excel rempli de rêves et d’illusions. Mais ça fait bien sur le bureau.

Et entre nous, si ça foire, on pourra toujours se reconvertir en expert de la reconversion. C’est le serpent qui se mord la queue, mais au moins, on aura un titre ronflant.

Comment trouver dans quoi se reconvertir?

Alors, tu veux changer de vie, hein? Passer de ton job actuel à un truc… plus toi? Voyons voir ça de plus près. C’est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin, sauf que l’aiguille c’est toi et le foin… le monde du travail.

Reconversion: Le mot qui fait flipper. On dirait une opération chirurgicale. Mais promis, ça peut être fun. Enfin, “fun”, façon montagne russe.

  • Data analyst: Transformer des chiffres en histoires. Si tu aimes les tableurs plus que ta belle-mère, c’est peut-être pour toi.
  • Comptable: Les rois du bilan. Prépare-toi à jongler avec les centimes, comme Picsou.
  • Agriculteur: Retour à la terre. Fini les écrans, bonjour les vaches (et les odeurs qui vont avec). Sérieusement, c’est dur.
  • Développeur web: L’avenir, paraît-il. Code, café, code, café. Et un langage incompréhensible.
  • Agent immobilier: Vendre du rêve (et parfois du cauchemar). La commission, c’est le nerf de la guerre.
  • Enseignant: Former les esprits de demain. Patience infinie requise. Et beaucoup d’humour.
  • Clerc de notaire: Les gardiens de la paperasse. Si tu aimes l’ordre et le droit, c’est ton truc.
  • Infirmier: Prendre soin des autres. Un boulot noble, mais usant. Tu seras leur super-héros.

Je connais Sophie, elle est passée de juriste à apicultrice. Elle dit que c’est plus doux qu’un divorce. Mais bon, elle a toujours eu un faible pour les piqûres.

Pour te tester, essaie des MOOCs (cours en ligne gratuits). C’est comme goûter avant d’acheter un gâteau entier. Tu pourrais découvrir une passion cachée pour… le tricot de compétition? On ne sait jamais.

Remarque: La vraie question, c’est pas “quels métiers recrutent?”, mais “qu’est-ce qui te fait vibrer?”. Le reste, c’est du bonus.

Comment trouver un emploi quand on ne sait pas quoi faire?

C’est dur, hein ? Trouver un boulot… Surtout quand on sait pas trop ce qu’on veut faire. J’ai galéré, moi aussi.

  • Définir un projet? Ouais, facile à dire. Moi, j’ai passé des mois à me dire “je veux un truc bien, stable”… Puis finalement, j’ai pris ce boulot de serveur à la brasserie du coin. Pas le rêve, mais ça paye les factures.

  • Marché du travail ? J’ai regardé les offres, ça m’a plutôt déprimée, franchement. Des tonnes d’exigences pour des postes pourris. J’ai juste cliqué sur “postuler” à tout et n’importe quoi pendant quelques semaines.

  • Secteurs qui embauchent ? Restauration, toujours la restauration. Ah, et il y avait des offres de livraison à vélo… pas glamour, mais au moins, je pouvais bosser à mes heures.

  • Humilité ? J’ai fait des stages de merde, j’ai accepté des tâches ingrates. C’est humiliant, mais ça ouvre des portes. Bon, pas des portes en or, hein… plutôt des portes en bois brut.

J’ai 27 ans et je suis toujours en galère, on verra bien… je pensais faire prof d’anglais, mais le concours, c’était une catastrophe. J’espère trouver quelque chose de mieux, un jour. Peut-être un truc dans le tourisme ? J’ai un niveau d’anglais correct, mais qui sait ? Le manque d’expérience est vraiment handicapant. Même pour des boulots de merde…

  • Expérience actuelle: Serveur à la brasserie “Le Bouchon”, depuis Avril 2023.
  • Objectif: Trouver un emploi plus stable et mieux rémunéré dans le secteur touristique. Peut-être guide touristique, si je me débrouille pour passer le diplôme.
  • Problèmes: Manque d’expérience professionnelle significative.
  • Compétences: Anglais courant, permis B (voiture), expérience dans la restauration.

Est-il normal de ne pas savoir quoi faire après l’obtention du diplôme?

Normal ? Absolument.

Mon expérience ? Après Sciences Po, flou total. Un stage chez Rothschild, puis… rien.

Options:

  • Travail direct. Risqué, mais rapide.
  • Voyage. Exploration, introspection. J’ai fait le tour du monde, 2023.
  • Formation complémentaire. Master, etc. Perte de temps ? Peut-être.

Choix personnel, pas de norme. L’incertitude est la norme. Mon conseil : agissez. Maintenant.

Mon visa chinois expire en novembre.

Quel bac ouvre le plus de porte?

Le bac ? Simple formalité.

Maths, PC. Le sésame.

  • Mathématiques. Base inflexible.
  • Physique-Chimie. Application pratique.

Apprécié ? Disons, toléré.

D’autres combinaisons existent. Inutiles ? Presque.

La porte ? Un mirage.

Le choix importe peu. Le destin frappe.

Ma tante Suzanne avait un bac L. Elle vendait des aspirateurs.

Quel est le bac pro le mieux payé?

Le bac pro le mieux payé? Ah, la grande question! Oubliez les idées reçues, mes amis. C’est le professeur d’activités sportives qui rafle la mise, avec environ 3960€ brut mensuels. Pas mal pour quelqu’un qui passe ses journées à courir après un ballon, non?

C’est la rançon du succès, paraît-il. Tout le monde veut être healthy et sportif, comme dirait ma cousine Ginette, accro aux smoothies verts et aux séances de yoga matinales. Et qui dit demande croissante, dit salaires qui grimpent. La dure loi du marché!

C’est un peu comme le vin : plus c’est rare, plus c’est cher. Sauf que là, on parle de profs qui connaissent la différence entre un développé couché et un squat, pas de grands crus classés. Mais l’idée est là.

Alors, prêt à troquer votre costume-cravate contre un survêtement? N’oubliez pas, il faut aussi aimer les ados en sueur et les parents exigeants. Le revers de la médaille, quoi.

Quels sont les métiers possibles avec un bac ST2S?

Bac ST2S, hein? Le sésame vers une vie palpitante, ou un chemin pavé de bonnes intentions et de pauses café interminables ? On verra ça.

  • Aide-soignant(e) : Imaginez, vous, la star des draps froissés et des thermomètres. Pas de quoi écrire un roman, mais on mange bien.

  • Assistant(e) de service social : Le genre à qui on raconte sa vie, même les détails croustillants. Compétences en écoute active requises, et un stock de mouchoirs aussi. Ma tante fait ça, elle adore les histoires de divorce.

  • Auxiliaire de puériculture : Des bébés adorables, des couches à changer. L’odeur de lait maternel vous suivra même sous la douche. J’ai déjà testé, c’est tenace.

  • Conseiller(ère) en économie sociale et familiale : Le(a) sauveur(se) des budgets. Attention, ça peut être brutal. J’ai failli virer ma sœur de chez moi en assistant à une de ses séances.

  • Diététicien(ne) : Le(a) bourreau(se) des bonnes résolutions. On vous maudit, mais on vous aime (un peu). Mon régime a commencé lundi, mais j’ai déjà craqué sur le chocolat noir à 90%… ironie du sort!

  • Éducateur(trice) spécialisé(e) : Patience, calme, et un sac à dos rempli de jeux de société. Les enfants, c’est comme un ours polaire : adorable, mais potentiellement dangereux.

  • Éducateur(trice) de jeunes enfants : Comme ci-dessus, mais avec des cris plus aigus. Mon voisin en est, il ne dort jamais.

  • Infirmier(ère) : Le(a) héros(ïne) du quotidien, sauvant des vies (et des journées). Du courage, de la sueur et des nuits blanches… j’ai vu la série “Grey’s Anatomy”, c’est une bonne description.

Bref, des métiers qui ont du cœur, même si parfois ça pue un peu le désinfectant. Choisissez bien, votre avenir vous attend (avec ou sans blouse). Bonne chance! Vous en aurez besoin. Ah, et moi, je me suis orientée vers l’écriture… beaucoup moins d’odeur de lait maternel.

#Changement Vie #Nouveau Départ