Comment savoir si l'on boit trop d'eau ?

Comment savoir si on a un excès deau ?

Excès d’eau ? Pas si simple.

• Prise de poids soudaine. Indice premier.
• Œdèmes. Chevilles, pieds, mains. Classique.

Les médecins cherchent, ils auscultent. Analyse sanguine. Urine aussi.

• Électrolytes. Le sel, potassium. Surveiller les taux.

Différencier hydratation excessive et volume sanguin. Nuance. L’eau est vitale, l’excès tue.

Parfois, juste soif. Parfois, plus grave. Le corps a ses raisons. L’équilibre est fragile. J’ai vu pire, chez ma tante Gertrude. Ses chevilles… une histoire.

Comment savoir si on a trop deau dans le corps ?

Alors, t’as l’impression d’être une éponge ambulante ? Voici comment démasquer le coupable :

• Vomissements inopinés : Ton corps se rebelle, façon “j’en peux plus de cette piscine intérieure !”. Un peu comme moi après le buffet à volonté chez Tante Gertrude.

• Équilibre précaire : Tu marches comme un funambule bourré ? L’eau en excès perturbe ton sens de l’orientation, un peu comme les GPS qui t’envoient droit dans un lac.

• Confusion mentale : Le cerveau qui barbote, c’est pas terrible pour les idées claires. Tu deviens aussi perdu qu’un touriste allemand à Montcuq.

• Crises de nerfs façon popcorn : Convulsions, c’est le mot. Si ça arrive, direction les urgences. C’est plus sérieux qu’une dispute pour le dernier croissant au beurre.

• Black-out total : Coma, la totale. Là, on ne parle plus de simple soif mal gérée.

Ah, et si tu commences à flotter en te levant le matin, c’est peut-être plus grave que tu ne le penses. Mais bon, au moins tu pourras faire la vaisselle en même temps. 😉

Bonus :

• Gonflement visible, surtout aux extrémités (mains, pieds, chevilles). Un peu comme si t’avais enfilé des gants de boxe sans t’en rendre compte.
• Mictions fréquentes et claires. Pipi toutes les 5 minutes, ça commence à faire louche.
• Maux de tête persistants. Le cerveau qui se plaint, forcément.

Si t’as un doute, appelle ton médecin. Lui au moins, il ne te dira pas de te mettre au régime “salade de concombre” pour régler le problème. C’est du vécu. 😅

Quelle est la limite deau à boire par jour ?

Eau, eau, eau… On se croirait poisson rouge. 1,5 à 2 litres, ça suffit amplement pour arroser son intérieur. Au-delà, on flirte avec l’hyponatrémie, le club VIP de la dilution sanguine. Pas très glamour. On se transforme en concombre avarié, gorgé d’eau.

• Trop d’eau: On dirait qu’on veut se noyer de l’intérieur. Mauvaise idée.
• Quantité raisonnable: Sagesse et hydratation optimale. La classe.
• Moins d’1,5 litres: Attention, on se dessèche plus vite qu’un cactus en plein désert.

Mon conseil perso (oui, j’en ai un): écoutez votre soif. C’est elle la boss, pas les gourous de l’hydratation. Sauf si vous êtes un chameau marathonien, bien sûr. Hier, j’ai bu 2 litres d’eau, plus une tasse de thé et un verre de jus de tomate. J’ai passé ma journée aux toilettes, mais au moins, mes plantes intérieures étaient contentes. Elles ont eu droit à un arrosage indirect.

Est-ce trop de boire 3 litres deau par jour ?

Trois litres… pff. Trop, ou pas assez ? Je sais pas, c’est toujours un casse-tête. J’ai essayé, un temps. Mais j’ai vite arrêté, ça me gonflait. Surtout le soir.

• Âge: J’ai 32 ans, ça compte, non ? Peut-être que j’ai besoin de moins qu’avant.

• Activité: J’ai un boulot de bureau, pas très physique. Donc… moins ?

• Métabolisme: Je suis pas un sportif de haut niveau, je mange ce que je trouve. Donc… moyen. Je crois.

C’est flou, tout ça. Je me sens mieux avec moins, c’est tout ce que je sais. J’écoute mon corps, maintenant. L’été, c’est différent, hein ? J’avais des maux de tête avant, à force de vouloir suivre cette règle stupide.

Je bois plus quand il fait chaud, c’est normal. Et moins quand je suis malade, forcément. C’est bête, mais je me suis toujours dit qu’il fallait boire des litres et des litres. Faux, apparemment.

Poids: 68 kilos, ça change tout, non ? Enfin, je pense… Je devrais peut-être voir un docteur. J’hésite toujours…

• Sexe: Femme. Voilà, c’est dit. Je devrais peut-être boire un peu moins en réalité.

En fait, je suis un peu perdue avec tout ça. Des fois, j’oublie carrément de boire. Mais bon, je vais bien comme ça. Ou presque. Je dois y penser. Surtout en été.

Comment savoir si on a de la graisse ou de leau ?

C’était cet été, juillet, je crois. Canicule infernale à Lyon, 35 degrés au moins. J’étais chez ma mère, on devait faire le grand ménage du printemps, enfin, de l’été. On a attaqué la chambre d’amis, un vrai capharnaüm. J’avais les bras qui me tombaient, une sueur de fou. Et là, en me regardant dans le miroir, je me suis dit: “zut, j’ai gonflé.” Le ventre, les cuisses…

Surtout les cuisses, je me souviens. J’ai essayé le truc, tu sais, la pression du doigt. J’ai appuyé sur ma cuisse, fort. La peau, blanche, est restée marquée, pendant une bonne minute, au moins.

Alors, de l’eau? De la graisse? Je sais pas. Pff, c’était lourd. J’ai lâché l’affaire, le ménage aussi. On a commandé des pizzas. J’avais la tête dans le cul.

Plus tard, j’ai cherché sur internet, des trucs à base de pissenlit, de thé vert… bref, rien de concluant.

• Pression digitale: méthode imparfaite.
• Résultats variables: la marque peut persister longtemps.
• Sentiment de gonflement: pas forcément indicatif de rétention d’eau.
• Solution: pizza.

Le lendemain, ça allait mieux, sauf que j’avais mangé trop de pizza. J’avais mal au ventre, en plus. Je suis allée courir, au parc de la Tête d’Or, une heure, au moins. Bon, peut-être un peu moins, je sais pas. J’ai pas regardé ma montre.

Bref, tout ça pour dire que je suis toujours aussi perdue face à cette question existentielle.

Points clés à retenir: aucune méthode simple ne permet de distinguer la rétention d’eau de l’accumulation de graisse. Les sensations corporelles sont subjectives et peu fiables. Le test du doigt est imprécis.