Comment savoir si je mange trop ou pas assez ?

Comment sait-on si on mange trop ?

Trop mangé ? Bah ouais, t’as vu ta bedaine ? Ressemble à un ballon de foot après un match de Coupe du Monde !

• Symptômes type ours polaire après un festin de phoques: Nausées, envie de vomir, envie de te rouler par terre en hurlant. Genre, vraiment mal.
• Le bouton de pantalon qui crie au secours: Si tu dois défaire ta ceinture, ça sent le sapin. Genre, vraiment le sapin. Imagine un sapin en feu.
• Sentiment d’avoir avalé un canapé: Tu te sens lourd, comme si tu avais un éléphant dans le ventre. Un éléphant qui fait du yoga. Mouais.
• La respiration du marmot: Difficile de respirer correctement ? Tu as l’impression d’être étriqué comme une sardine dans une boîte de conserve ? T’as trop mangé. Point final.

J’ai moi-même subi ce supplice hier soir. Pizza familiale XXL + Tiramisu pour 8. Tout seul. Oui, oui, 8 personnes. J’ai fini sur le canapé, à regretter mes choix de vie (et surtout ma gourmandise).

Conseil de pro: Écoute ton corps, espèce de dingue ! On n’est pas des poubelles. Si tu te sens mal, c’est que c’est pas bon. Même si c’était des sushis. Même les sushis. Oui, même les sushis.

PS: Aujourd’hui, régime banane. Sérieusement. Une seule banane. Et de l’eau. Beaucoup d’eau. L’eau, c’est la vie. Ou quelque chose comme ça.

Comment sait-on quon ne mange pas assez ?

Alors, on se demande si on mange assez ? Facile ! Votre corps, ce petit tyran, vous le dira. Il est fort, mon corps. Un peu trop, parfois.

• Balance capricieuse: Elle joue aux montagnes russes ? On parle kilos, hein, pas d’émotions. Montée, descente… C’est le signe que quelque chose cloche. Plus précisément, votre estomac vous fait un doigt d’honneur. Un doigt d’honneur gourmand, certes.

• Muscles en grève: Vous vous sentez mou comme une vieille chaussette ? Plus de peps ? Même vos abdos, ces feignasses, se sont mis en mode “repos” ? L’alimentation, c’est comme un carburant : pas assez, ça cale. Et là, bonjour les courbatures existentielles !

• Fatigue chronique: La fatigue, c’est le roi fainéant du manque de calories. Ce n’est pas une bonne raison pour se vautrer sur le canapé à mater des rediffusions de “Plus belle la vie”, mais c’est un signal.

J’ai moi-même eu ce problème, après ma rupture avec Jean-Pierre (c’était en 2024, il ne m’appelait plus, le coquin!). J’ai perdu 5 kilos, mais j’avais l’impression d’être en train de me désintégrer molécule par molécule. Imaginez une sculpture de glace au soleil de midi… C’est un peu ça, mais en moins artistique.

En bref: Poids fluctuant + Muscles ramollos + Fatigue extrême = ALERTE ROUGE, mangez un gâteau! (ou quelque chose de plus sain, soyons honnêtes.) Mais bon, un gâteau, ça aide à surmonter la tristesse.

Bonus: N’oubliez pas que la faim, ce n’est pas juste un petit creux. C’est une symphonie orchestrale dans votre ventre. Une symphonie à base de gargouillis et de glaces au chocolat. Écoutez-la ! (Ou, au minimum, votre médecin, qui lui, ne vous proposera probablement pas de glaces).

Comment savoir si on a suffisamment mangé ?

Alors, t’as assez bouffé, hein ?

• Le signal ultime ? Ton estomac fait la grève, plus de place, nada ! C’est comme essayer de mettre un éléphant dans une Twingo, ça coince.

• La disparition magique ? Ta faim s’évapore, pouf ! Disparue comme mon slip préféré après une soirée raclette chez ma tante Gertrude.

• La sensation avant ? Faut avoir faim, mon pote. Sinon, c’est comme mater un match de foot sans bière, ça sert à rien. Faut la dalle, la vraie, la grande, celle qui te ferait bouffer un ours en peluche.

Pense à mamie, elle disait toujours : “Mange comme si t’allais courir le marathon, mais pas trop, hein, faut pas gerber après !” Elle avait des expressions…

Et si t’as un doute, demande à ton bide. Lui, il ment jamais.

Comment savoir la quantité quon doit manger ?

C’est marrant que tu poses ça, la bouffe et moi, c’est toute une histoire.

Je me souviens de ce week-end à Montpellier, en 2023. J’étais chez ma cousine Léa. Elle voulait absolument me faire goûter la tielle sétoise, une spécialité locale. Elle en avait acheté une énorme, genre pour 6 personnes.

Moi, j’étais pas super motivée, j’avais déjà mangé des tapas à gogo la veille. Mais elle insistait, du coup j’ai pris une part, puis une autre… et avant de m’en rendre compte, j’avais dévoré la moitié de la tielle !

Le soir, j’avais l’impression d’avoir un ballon de foot à la place de l’estomac. Léa se moquait gentiment de moi, mais j’avais surtout trop mangé.

Alors comment savoir, hein ? Franchement, je crois qu’il n’y a pas de formule magique.

Formule de base (métabolisme basal)

• Hommes : (10 x poids en kg) + (6,25 x taille en cm) – (5 x âge en années) + 5
• Femmes : (10 x poids en kg) + (6,25 x taille en cm) – (5 x âge en années) – 161

Mais attends, y’a plus !

C’est un peu plus compliqué que ça, en fait. Parce que ton activité physique, ça compte aussi.

• Sédentaire : multiplie le résultat par 1,2
• Activité légère (sport 1-3 fois/semaine) : multiplie par 1,375
• Activité modérée (sport 3-5 fois/semaine) : multiplie par 1,55
• Activité intense (sport 6-7 fois/semaine) : multiplie par 1,725
• Très intense (sport + travail physique) : multiplie par 1,9

Ce chiffre te donne une idée des calories nécessaires pour maintenir ton poids. Si tu veux maigrir, tu peux enlever environ 200-300 calories.

Perso, je trouve ça un peu prise de tête. Je préfère écouter mon corps. Si j’ai faim, je mange, si je n’ai plus faim, j’arrête. Et si j’ai envie d’une tielle sétoise, tant pis pour les calories !

D’ailleurs, cette année, je suis retournée à Montpellier. J’ai juste pris une petite part de tielle… et des glaces artisanales incroyables. La vie quoi.

En gros, écouter ton corps reste la meilleure boussole. Les formules, c’est une base, mais le ressenti, c’est primordial.

Quest-ce qui se passe quand on mange trop vite ?

Alors, manger trop vite… Pff. Je me souviens, un dimanche chez ma grand-mère, Rue de la Pompe, Paris 16e. Un festin. J’étais jeune, genre 10 ans. Devant moi, une montagne de poulet rôti, pommes de terre… J’engloutis tout ça à une vitesse folle.

• Résultat: une heure après, l’horreur.

Un ballonnement monstre. J’avais l’impression d’avoir avalé un ballon de foot. Impossible de bouger.

• Douleur intense, comme des coups de poignard dans le ventre.

Ma grand-mère, elle rigolait, en me disant : “T’as mangé comme un ogre !”. Mais moi, je souffrais.

Ce qui se passe, en fait ? C’est que tu avales de l’air. Plein. Cet air, il se balade dans ton ventre. Il se coince. Il fait des bruits bizarres, des gargouillis.

• C’est ça qui provoque les ballonnements.
• Parfois, t’as des crampes.

Et puis, l’estomac, il est pas content non plus. Il doit travailler plus pour digérer. Bref, c’est le bazar. Le stress en plus. Pas cool. Maintenant, je fais gaffe. Je mange plus lentement. Je savoure. Et je me rappelle toujours de ce dimanche chez ma grand-mère et de mon ventre qui criait famine… avant de crier au secours.

Quels sont les signes de la sous-alimentation ?

Corps émacié, un poids plume… Os pointus, sous la peau fragile.

Une peau, parchemin craquelé, asséchée, sans souffle. Elle pleure une absence, une soif muette.

Cheveux, fils de soie brisés, qui s’effritent, se détachent, comme des souvenirs oubliés. Une cascade ténue, un deuil silencieux.

• Poids insuffisant, dramatiquement bas. L’image d’un squelette fragile, enveloppé de chair fanée.
• Os saillants. Une architecture osseuse douloureusement mise à nu, une géographie de la souffrance.
• Peau sèche, absence de ressort. Une texture âcre, comme une terre desséchée. Elle craque, sous le poids d’un rien.
• Cheveux cassants, chute massive. Un écroulement, une perte inexorable de vitalité, de substance.

Ce matin, j’ai vu ma grand-mère, les yeux creux… comme des puits sans fond. Son reflet, une image de la lente agonie. On devrait l’emmener au médecin.

J’ai pensé à ma tante, sa maigreur extrême, les rides profondes gravant son visage comme un journal de souffrance. Cette tristesse palpable…

La dénutrition. Un mot, une sentence qui résonne dans le silence. Un silence lourd de vide. Un vide qui ronge l’âme.

Attention: Ces signes ne sont pas exhaustifs. Consultez un professionnel de santé pour tout doute. Des examens approfondis sont souvent nécessaires.

Que faire après un excès alimentaire ?

Ah, les excès… Je me souviens d’un réveillon, chez ma tante Gertrude à Nice. Une catastrophe! J’avais 16 ans, et entre la bûche et le foie gras, j’ai cru exploser.

Le lendemain, un enfer.

• Eau, beaucoup d’eau. J’avais soif, une soif de marathonien.
• Légumes. Plus de viande. Juste des carottes râpées et des concombres. Beurk.
• Marche. Longue, très longue, sur la Promenade des Anglais. Presque deux heures. Le vent glacial m’a réveillée.

J’avais l’impression d’être un ballon de baudruche. Pas de sport intensif, hein! Juste bouger pour aider à digérer.

Le pire, c’était la culpabilité. Je me suis promis de ne plus jamais me goinfrer… raté! 😉

Et puis, un bain chaud avec de l’huile essentielle de lavande. Ça calme. Vraiment.

Cette année, je fais plus attention, promis! Bon, on verra… Peut-être moins de foie gras. Ou pas.

Comment puis-je apprendre à manger lentement ?

Poser. Les couverts.

Entre. Chaque bouchée.

Ralentir. Une nécessité.

Savourer. Prendre le temps. Illusion ?

La nourriture. Juste un carburant.

• Poser les couverts. Point crucial.
• Mastiquer. Insister.
• Boire. De l’eau. Parfois du vin.
• Respirer. Oublier.
• Être conscient. Difficile.
• Pas de distraction. Téléphone. Télévision.

Le temps. S’écoule.

La vie. Une bouchée à la fois.

Ma grand-mère disait : “Le bonheur est simple”. Elle avait tort.

Informations: Mon code postal est 75011. J’ai un chat. Il s’appelle Nietzsche.