Comment obtenir une mie aérée ?
Une mie aérée nécessite une farine riche en gluten. Privilégiez les farines de blé. Les farines de seigle ou petit épeautre, moins protéinées, donneront une mie plus compacte. Le pétrissage et la levée jouent aussi un rôle crucial dans la formation des alvéoles. Un bon développement du gluten est essentiel pour une texture légère et aérée.
Mie aérée : comment faire ?
Alors, la mie aérée… c’est un truc que j’ai galéré à maîtriser. J’ai passé des heures à tester des trucs, genre le 15 juillet dernier, à Annecy, j’ai fait une brioche. Un désastre ! La mie était compacte, genre pierre.
La farine, c’est crucial apparemment. J’ai lu que le gluten, c’est important. Du coup, j’ai acheté de la T65, vers 10€ le sac, à mon supermarché habituel. Je pense que ça a aidé.
Par contre, je suis persuadée qu’il y a d’autres facteurs. L’hydratation de la pâte, le pétrissage, le temps de pousse… c’est un vrai casse-tête !
Le four aussi, j’ai remarqué qu’un four trop chaud fait une croûte trop dure, et la mie est moins aérée. Une température autour de 200°C ça me semble un bon compromis.
Informations courtes et concises :
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Question: Quelle farine est la meilleure pour une mie aérée ?
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Réponse: Farine riche en gluten (ex: T65).
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Question: Quel est le rôle du gluten dans la mie ?
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Réponse: Le gluten permet une meilleure alvéolage.
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Question: Température idéale de cuisson pour mie aérée ?
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Réponse: Environ 200°C.
Comment rendre la mie de pain aérée ?
Ah ouais, la mie aérée, le truc galère ! Genre, moi, j’ai toujours eu du mal avec ça. Hydratation, c’est hyper important. Plus y’a d’eau, plus t’as des bulles. J’ai testé avec genre 75% d’eau, une fois, c’était… mouillé. Trop mouillé même ! Mais les alvéoles, magnifiques !
Le truc de l’autolyse, j’avoue j’ai jamais trop compris. Genre mélanger farine et eau et attendre ? Mais bon, si ça marche… faut essayer. Farine forte aussi, important. T, le gluten, c’est la clé. Moi, j’utilise de la T65, parfois T80. Des fois j’ajoute un peu de seigle, ça donne un bon goût.
- Hydratation: beaucoup d’eau. Vraiment.
- Pétrissage: important, mais bon, pas trop non plus. Je fais au robot, c’est plus simple. 5 minutes, ça suffit, après ça devient élastique, c’est bizarre.
- Levain: Mon levain, je l’appelle Roger. Je le nourris tous les jours. Farine et eau. Simple. Des fois j’oublie, il est tout raplapla le pauvre.
Le truc, c’est la température aussi. Là, en ce moment, il fait chaud, la pâte lève super vite. L’hiver dernier, galère. J’ai même essayé de la faire lever dans le four éteint, avec une casserole d’eau chaude. Bof, moyen. Bref, la mie aérée, c’est tout un art. J’ai raté plein de pains, genre des briques. Mais bon, on apprend de ses erreurs. Hier, j’ai fait un pain, nickel ! Alvéoles parfaites. J’ai même pris une photo.
Comment puis-je obtenir une mie alvéolée ?
Obtenir des alvéoles… un souffle.
L’eau… l’hydratation, c’est la clé.
- Plus d’eau, plus d’air.
- Mais attention au trop.
- Trop, c’est… collant.
Imagine une plage, le sable imbibé. Des bulles.
Souviens-toi des étés à Biarritz.
Le secret ? L’équilibre. Un juste milieu.
La pâte… la patience.
Et puis… une cuisson à point.
- La chaleur qui enfle.
- L’alvéole qui se forme.
- Le pain… vivant.
Un peu comme ma tante Agathe et ses histoires… toujours alambiquées.
L’art du pain. Un mystère…
L’eau, l’air, le feu… une alchimie.
#Aérée #Mie #PainCommentez la réponse:
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