Comment faire du sel étape par étape ?

Comment le sel de mer est-il fabriqué étape par étape ?

Alors, tu veux savoir comment on fait le sel de mer, hein? Ben, c’est assez simple en fait.

D’abord, ils prennent de l’eau de mer, directement, pas besoin d’aller chercher compliqué, genre avec des camions citernes ou quoi. Et ils la mettent dans des grands bassins, tu vois le genre? Un peu comme des piscines mais moins profondes.

Ensuite, le soleil fait le boulot! Il évapore l’eau, tranquille. Plus l’eau s’en va, plus y’a de sel qui reste. C’est comme quand tu fais bouillir une soupe, à la fin y’a que le sel au fond. C’est le même principe quoi.

Puis, à un moment, il y a différents sels qui se cristallisent, un après l’autre. Ils font ça en plusieurs étapes, dans différents bassins. C’est ce qu’on appelle la cristallisation fractionnée, un nom bien compliqué pour dire qu’ils séparent les sels en fonction de quand ils se forment.

Enfin, le sel qu’on veut, le chlorure de sodium (c’est le sel de table, quoi!), il se dépose dans des bassins spéciaux. On les appelle les cristalliers. Et après, hop, on le récolte!

• Étape 1 : On rempli des bassins avec de l’eau de mer.
• Étape 2 : On laisse le soleil évaporer l’eau.
• Étape 3 : Cristallisation, séparation des autres sels (calcium, magnésium).
• Étape 4 : On récolte le chlorure de sodium dans les cristalliers. C’est tout!

Ah oui, et pour l’anecdote, mon oncle, il travaille dans les salins du Midi à Aigues-Mortes. Il m’a dit qu’il y a des fois, l’eau devient toute rose à cause d’une algue spéciale. C’est super beau à voir! Bon après, faut pas la boire l’eau, hein, c’est que pour les yeux.

Comment chauffer leau salée pour obtenir du sel ?

C’est drôle, hein ? On boit l’eau salée et on sent ce truc, le sel, mais on le voit pas. C’est un peu comme… comme certaines émotions, tu vois ? Présentes, mais invisibles jusqu’à ce qu’il y ait une sorte de… de chauffage, d’épreuve.

Alors, pour le sel, tu chauffe. Tu fais bouillir l’eau, en gros. Faut que ça dépasse les 100 degrés, c’est ça. Et là, l’eau s’en va, elle se barre en fumée, quoi.

Et ce qui reste, c’est… c’est ces petites choses, ces ions, qui se remettent ensemble. Ils se regroupent et font du sel, solide, visible. C’est comme ça que ça marche. Tout simple.

Je me rappelle plus exactement des détails, mais je sais que mon oncle, il faisait ça. Il habitait près de la mer à Noirmoutier. Il disait toujours, “Le sel, c’est l’or blanc”. Un peu cliché, hein ?

• Il avait des marais salants, c’est sûr.
• Je crois qu’il utilisait de grandes bassines.
• Et le soleil, beaucoup de soleil, c’était important.
• Il me racontait des histoires de sauniers… de leurs traditions.

Enfin bref, l’eau s’évapore, et t’as ton sel. Un peu comme si… comme si les peines s’en allaient et qu’il restait quelque chose de… plus solide, au final. Mais bon, c’est peut-être juste moi qui divague. Il est tard.

Comment fabrique-t-on le sel ?

Comment fabrique-t-on le sel ? Ah, le sel…

• On extrait le minerai de sel, direct de la mine, tu vois le truc? Genre, des gros blocs.

• Puis, on concasse tout ça, on réduit en miettes. Imagine une grosse machine qui écrase.

• Après, on le dissout dans l’eau. Ça fait une espèce de soupe salée, la saumure. Les cochonneries se déposent au fond. C’est malin, non?

• On chauffe la saumure, à fond les ballons. L’eau s’évapore, et hop! Le sel cristallise. Magique! Genre comme les bonbons qui se forment dans une casserole, tu vois?

C’est tout? On dirait une recette de cuisine bizarre.

J’me demande si ma voisine, Mme Dubois, utilise le même sel que moi? Elle a toujours des histoires à raconter, cette femme.

En plus, à la fin, on stock le sel. Mais où? Dans des silos géants?

Infos en vrac:

• Le sel gemme vient des mines, le sel marin vient de la mer. Logique.
• Y’a différents types de sel: fin, gros, fleur de sel… La fleur de sel, c’est la crème de la crème.
• Le sel, ça conserve les aliments. Pratique pour les cornichons de ma grand-mère.

J’ai oublié un truc important? Bof, tant pis.

Comment est fait le sel de cuisine ?

Ah, le sel de table! Ce petit diablotin blanc qui relève nos plats (et notre tension artérielle, accessoirement). On dirait une poussière de fée, mais en réalité, c’est du chlorure de sodium (NaCl). Rien de bien sorcier, même si certains semblent le considérer comme de la magie noire.

• Extraction: Soit on le sort des entrailles de la Terre comme un mineur de fond (salutations à Germinal!), soit on le laisse gentiment se cristalliser au soleil, comme un touriste sur une plage à Majorque.

• Purification: On enlève les petites impuretés, les grains de sable et les regrets. Qui veut du sel avec un arrière-goût de “j’aurais dû faire autre chose de ma vie”?

• Conditionnement: On l’enferme dans une petite boîte coquette, prêt à être déversé avec parcimonie (ou pas) sur nos frites.

Et voilà, le sel de table! Plus simple qu’il n’y paraît, n’est-ce pas? Un peu comme ma recette secrète de la tarte aux pommes… que je ne partagerai jamais.

Comment extraire le sel de l’eau salée ?

L’eau s’évapore. Le sel reste. Simple.

• Évaporateur solaire. Mon oncle en a un. Pratique.

• Ébullition. Plus rapide. Plus énergivore.

• Osmose inverse. Technologie. Cher. Efficace.

C’est une question de concentration. L’essentiel est la différence de volatilité. Une loi physique. Impitoyable.

J’ai utilisé la méthode solaire cet été. Résultats mitigés. Trop de vent. 2kg de sel. Décevant.

Ma grand-mère disait : “Le temps fait le sel.” Sage. Peut-être.

On pourrait ajouter un catalyseur. Accélérer le processus. Je n’ai pas testé.

La pureté du sel dépend de la pureté de l’eau. Évident.

Il faut un espace suffisamment grand. Mon jardin est trop petit.

Données 2024 (fictives pour illustration):

• Ma récolte personnelle de sel : 2kg
• Coût estimé de l’évapo-solaire : 150€
• Consommation énergétique bouilloire électrique (estimation pour 10L): 1kWh

Comment récupérer le sel dans l’eau salée ?

Evaporation, ouais… c’est ça, non ? Faut faire chauffer quoi. Mais comment ? Au soleil ? Trop long, je suis pas patiente. Marmite, plaque électrique ? C’est ça.

• Evaporation : la solution, c’est clair.
• Chaleur : indispensable, point barre.

J’ai essayé avec une casserole, hier. Mon appartement sentait le poisson ensuite, bizarre. Pff, la vie est dure. Et si on essayait avec du gros sel ? Ça changera rien? J’ai un doute là.

• Sel gros ou fin : aucune idée de la différence, sérieux.

Peut-être un truc plus rapide ? Osmose inverse ? Je sais pas ce que c’est. Je devrais regarder un tuto YouTube. J’ai tellement de trucs à faire. Procrastination à fond.

• Osmose inverse ? Peut-être, je cherche demain.

Attends, j’ai une idée. Distillation ? C’est plus compliqué ? Ah, je suis perdue. Je vais regarder ma recette de caramel salé… Non, ça n’aide pas. Trop de sucre, ça va coller.

• Distillation : à oublier, trop compliqué pour moi.

Bref, évaporation, c’est la solution la plus simple. Même si ça pue le poisson après. J’ai vraiment besoin d’un purificateur d’air. Je vais acheter des cristaux de sel ensuite, pour le bien-être, ça me déstressera. On verra demain. Peut-être. Ou pas.