Comment cuire parfaitement un steak ?

Comment cuire un steak parfait, hein ? La question qui me hante, parfois, le soir, quand j’ai envie de me faire plaisir… Un steak, c’est plus qu’un simple morceau de viande, vous savez ? C’est un rituel, un petit moment de bonheur, un peu comme un câlin réconfortant après une dure journée. Alors, le réussir, c’est sacré !

Pour moi, le secret, c’est la patience, et un peu de magie, peut-être. J’ai essayé mille et une techniques, vous ne pouvez pas imaginer ! Des trucs de grand-mère, des recettes vues sur internet (qui parfois, avouons-le, se sont soldées par un désastre total, une semelle de chaussure digne d’un restaurant routier…) Mais j’ai enfin trouvé ma méthode, celle qui me donne ce beau brunissement, cette croûte parfaite, craquante sous la dent… Un vrai délice.

Alors, comment je fais ? Eh bien, d’abord, le sel et le poivre, c’est le commencement de tout. Je sale et poivre un seul côté, comme si j’envoyais un message secret à la viande. Puis, hop ! Dans la poêle bien chaude, à feu vif, pendant une minute. Une minute, seulement ? Oui, c’est ça. Une minute pour que ça caramélise, pour que cette croûte se forme… vous voyez ce que je veux dire ? Ensuite, j’assaisonne l’autre côté, le temps de savourer l’arôme du sel, de me remémorer ce barbecue chez ma tante, il y a des années… et rebelote : une minute, pile poil, du côté opposé.

Deux minutes au total ? Oui, mais c’est un commencement ! Après, ça dépend du morceau, de l’épaisseur, de votre préférence, bien sûr ! Vous aimez saignant ? C’est déjà parfait comme ça, peut-être même un peu moins. À point ? Il faudra continuer la cuisson, à feu plus doux cette fois, en surveillant comme le lait sur le feu, avec une petite pince, vous voyez, pour retourner délicatement… Ah, je me souviens de ce steak un peu trop cuit que j’avais fait pour mon anniversaire l’année dernière, quelle catastrophe ! Depuis, je suis devenue une experte… ou presque. On apprend toujours, c’est ça la magie de la cuisine. Et puis, quel est le plaisir sans quelques petites imperfections ?

Bref, deux minutes de feu vif, pour cette caramélisation magique, puis l’ajustement selon votre goût… c’est la base, pour moi, en tout cas. Et après, à vous de jouer, d’expérimenter, de trouver votre propre méthode, votre propre petite magie. Alors, qu’attendez-vous ? Allez, à vos fourneaux !