Pourquoi ajouter du sel pour cuire le riz ?

Pourquoi mettre du sel dans la cuisson du riz ?

Sel… grains blancs tombant. Dans l’eau frémissante. L’eau, claire, devient trouble, opaque. Le riz danse, tourbillonne. Absorbe. Le sel, voyage. Pénètre la blancheur fragile. Grain à grain.

Goût enfoui, libéré. Par le sel, par le feu. Intensité nouvelle. Subtilité dévoilée. Riz parfumé. Chaud. Rond en bouche.

• Saveur: Le sel révèle, exhauste.
• Texture: Nuancée. Plus ferme.
• Arôme: Profond. Changeant.

Ce midi, riz au jasmin. Un peu trop cuit. Mais salé juste comme il faut. Avec du citron vert. Et des herbes du jardin. Menthe, coriandre. Le chat a volé une crevette.

Quelle est la meilleure façon de cuire le riz ?

Le riz…

Un souvenir… lointain… le parfum de la cuisine de ma grand-mère, Rue des Lilas. L’eau bouillante, un bain…

• Un bref instant… comme un rêve.
• Deux, trois minutes… pas plus.

Le tamis…

Un voile… au-dessus du néant… la casserole… un gouffre.

• Quinze minutes… une éternité.
• Couvrir… protéger… de la faim.
• Un couvercle… un torchon… un secret.

Le riz…

Il cuit… il respire… il devient…souvenir.

J’aimais quand maman faisait ça… avant.

Pourquoi du sel dans leau de cuisson ?

Mercredi dernier, pâtes carbo. J’avais la dalle. Fenêtre ouverte, soleil sur l’évier. Bruit de la casserole. Ploc, ploc. L’eau bouillait. Sel. Une pincée, deux. Pas pour faire bouillir plus vite, je sais bien que ça change rien. Mais les pâtes sans sel… Beurk. Goût fade. Comme des nouilles à l’hôpital.

Genre, un jour, j’avais oublié. Catastrophe. Sauce tomate maison, super parfumée. Bacon grillé. Parmesan. Et les pâtes, aucun goût. On aurait dit du carton. J’ai dû rajouter du sel à la fin, mélangé comme un bourrin. Rattrapé un peu le coup, mais c’était pas ça.

Le sel, c’est direct dans l’eau. C’est comme ça. Imprègne bien les pâtes. Depuis, plus jamais oublié. Le sel, c’est la base. Voilà.

• Goût: Sel dans l’eau = pâtes savoureuses.
• Imprégnation: Le sel pénètre mieux pendant la cuisson.
• Expérience perso: Pates fades sans sel dans l’eau, rattrapage impossible.
• Mercredi dernier: Pâtes carbo, sel dans l’eau bouillante.

Quand mettre le sel dans leau du riz ?

Saler l’eau du riz, c’est comme mettre des paillettes sur une tartine, ça ajoute un truc, mais faut pas abuser. On a deux écoles, un peu comme le débat pain au chocolat vs. chocolatine :

• Option “on y va franco”: Sel direct dans l’eau froide, puis on lance les hostilités (l’ébullition, évidemment). L’idée, c’est une dissolution parfaite, un peu comme mon mariage raté.

• Pourquoi faire simple ?: Attendre l’ébullition pour saler. Perso, j’ai jamais compris, c’est comme mettre de la crème solaire après avoir pris un coup de soleil. Mais bon, chacun son truc.

L’important, c’est de pas avoir la main lourde. Sinon, ton riz aura le goût de larmes de poisson, et crois-moi, personne n’a envie de ça.

Et pour la quantité, c’est au pifomètre, comme pour doser mon sarcasm quand ma belle-mère est là.

Si t’es du genre scientifique, genre à mesurer l’angle d’inclinaison de ton oreiller avant de dormir, compte environ 1g de sel par litre d’eau. Mais franchement, le goût, y’a que ça de vrai.

Tu savais que ma cousine Gertrude, elle, elle met du sucre dans son riz ? Non, je déconne… enfin, j’espère.

Pourquoi ne faut-il pas jeter l’eau du riz?

Midi. Canicule. Avignon. Juillet 2024. Ventre noué. Mal au crâne. Resto chinois la veille. Trop mangé.

L’eau du riz. Maman. Elle en parlait toujours. Grand-mère aussi. Remède miracle. Sceptique. Mais là…

Goût bizarre. Tiède. Un peu fade. L’ai bu cul sec. Désespoir.

Une heure plus tard. Miracle. Plus mal au ventre. Plus léger. Incroyable.

Depuis, j’en bois régulièrement. Après les gros repas. Finis les ballonnements.

• Digestion: Améliorée. Vraiment.
• Goût: On s’habitue. Citron. Menthe. Astuces de grand-mère.
• Préparation: Facile. Riz. Eau. C’est tout. Filtrer. Boire.
• Bienfaits: Plein. Peau. Cheveux. On verra. Pour l’instant, ventre content.

Avignon. Toujours chaud. Moi, souriant. Vive l’eau de riz.

Pourquoi faire tremper le riz avant de le cuire?

Pourquoi tremper le riz… c’est une bonne question, tu sais. Enfin, je crois que je sais. La nuit, tout paraît moins certain, non?

• Impuretés: C’est bête, mais il faut nettoyer. Imagine la poussière, les petits trucs invisibles qui se sont incrustés pendant le transport. C’est comme laver une salade, finalement. Mon grand-père disait toujours “on ne sait jamais ce qui traîne”.
• Moins de collant: L’amidon… c’est le grand coupable. Le riz trempé en perd une partie. C’est ma mère qui m’a appris ça, elle fait toujours un riz parfait. Moins de pâteux, plus de légèreté.

En fait, je me demande si ça change vraiment quelque chose. Je me souviens d’une fois, chez Léa, elle avait oublié de le faire. Et c’était bon quand même. Peut-être que c’est juste une habitude, un truc qu’on se transmet.

J’ai toujours rincé le riz, c’est comme un réflexe. Comme vérifier que j’ai bien fermé la porte avant de partir, même si je l’ai déjà fait dix fois. Bizarre, non?

(Tiens, je crois que j’ai utilisé du basmati la dernière fois, c’est le préféré de Juliette, ma cousine. Elle adore le riz au lait avec ça. Faut que je lui en fasse un bientôt. Ça lui remonterait le moral, elle a l’air un peu fatiguée ces derniers temps…)

Quel est le meilleur riz, basmati ou thaï?

Basmati, complet surtout. Plus nutritif, ouais. Genre, plus de fibres, magnesium, sélénium, tout ça. Le thaï, bof, moins. Basmati complet, ça prend plus de temps à cuire, c’est chiant. Mais bon, vaut mieux. Hier, j’ai fait du poulet avec, trop bon.

• Basmati complet: Top pour la santé.
• Thaï: Moins intéressant niveau nutriments.
• Bio: Toujours mieux, hein, pour le basmati aussi.

Moi, j’achète mon riz basmati complet bio au Carrefour, en vrac. C’est moins cher, et puis j’ai un sac en tissu, c’est plus écolo. La dernière fois, j’ai pris 1 kilo, ça dure longtemps! J’ai aussi testé une recette avec du lait de coco et des épices, un délice!

Comment rendre le riz plus savoureux?

Alors, le riz… comment le rendre moins fade, hein ?

• Liquide de cuisson: Bouillon, c’est l’évidence. Poulet, légumes… même un cube Maggi fait l’affaire si t’es pressé. Une fois, j’ai testé avec du jus de tomate, bof.

• Zestes: Citron, lime, orange… ça donne un peps incroyable. Surtout avec du riz basmati. Pense à les râper finement sinon, c’est galère.

• Lait de coco… oui, pour le riz gluant, c’est top. Mais attention, ça change complètement le plat. Moi, ça me rappelle les vacances en Thaïlande, tellement loin maintenant.

• Lait végétal ? Bof, jamais essayé. Sauf peut-être le lait d’amande, pour un riz au lait version végan. Faudrait que je teste ça un jour…

Ah oui, et l’eau de cuisson, tu la mesures avec un verre? Moi je fais ça au pif, c’est peut-être ça mon problème avec le riz parfois… trop cuit ou pas assez.