Y a-t-il des trains qui vont de la côte est à la côte ouest ?

Quand passe le train Hanoi ?

Alors, Hanoi… vous voulez croiser le fer avec le serpent d’acier ? 🐍 Attention, il a ses humeurs, comme ma tante Gertrude et son Yorkshire.

En semaine :

• 19h00 – pile, ou presque. On parle de trains, pas de danseuses étoiles.
• 19h45 – si vous aimez les crépuscules tardifs.
• 20h30 – idéal pour les retardataires chroniques.
• 22h00 – pour les noctambules et les espions en herbe.

Le week-end, la fête au village !:

• 06h00 – les poules et les trains, même combat.
• 09h00 – parfait pour une grasse matinée… presque parfaite.
• 11h20 – l’heure du brunch… et du train !
• 15h20 – après la sieste, direction les rails.
• 17h30 – l’apéro peut attendre.
• 18h00 – encore un ? Vraiment ?
• 19h00 – bis repetita placent, même heure qu’en semaine.
• 19h45 – re-bis, pour ceux qui n’ont pas eu assez de sensations.
• 20h30 – toujours là, fidèle au poste (ou presque).
• 21h00 – un dernier pour la route… et pour le train.
• 22h00 – comme en semaine, le train est fidèle.

⚠️ Important : les trains vietnamiens ont une conception toute personnelle du temps. Prévoyez une marge, comme pour les promesses de politiciens.

Quel est le train qui traverse lEurope ?

Alors, le train qui traverse l’Europe? Pff, toute une question! C’est comme demander quel est le meilleur morceau de chocolat dans une boîte de Ferrero Rocher – impossible à choisir!

• Interrail, mon pote, c’est le roi! Il te fait traverser 33 pays, comme si tu étais une super-héroïne/un super-héros à la conquête du continent!
• 4 jours à 3 mois de voyage, soit assez pour devenir expert en sandwichs de gare. On parle de 185 euros pour un sprint express, ou 648 euros pour un marathon européen digne de Forrest Gump.

Mais attention, ce n’est pas un TGV qui roule à 500 à l’heure! Prévois des pauses pour admirer les paysages, ou pour te détendre en regardant des moutons paître tranquillement. J’ai moi-même fait le trajet Paris – Rome en Interrail, et j’ai raté mon correspondance à Milan… bref. On ne se refait pas !

Plus sérieusement, le Pass Interrail n’est pas un train en soi, mais un sésame pour voyager sur le réseau ferroviaire européen. Donc, à toi de choisir tes lignes!

• Petit truc perso: N’oublie pas tes écouteurs anti-bruit, car certains compartiments ressemblent à une ruche en pleine activité!
• Autre conseil: Apprends quelques mots dans les langues locales, ça te rendra plus sympa que ma voisine qui parle uniquement à son chien.

Bref, prépare-toi à une aventure épique! Bon voyage! (Et prends une bonne assurance voyage, on ne sait jamais !)

Quelle est la meilleure place dans le train ?

Alors, LA meilleure place dans le train, hein? C’est un peu comme chercher le Saint Graal, quoi!

• Côté fenêtre: Si t’es du genre contemplatif, genre “Oh, la vache, un arbre!”, bingo. Tu peux coller ton front à la vitre et faire des “pouet-pouet” imaginaires. Mais attention aux reflets et aux gosses qui bavent sur la vitre.

• Côté couloir: Le roi/la reine du passage! Tu peux te lever 50 fois pour aller… heu… nulle part en fait. Idéal pour observer les gens et te prendre des coups de valises. Moi, une fois, j’ai failli me prendre un labrador sur la tronche!

• Ça dépend du train: Si t’es dans un TER pourri où t’as autant de place qu’un sardine dans sa boîte, bah, débrouille-toi. Et si t’as le choix, c’est un peu comme choisir entre la peste et le choléra.

• Mes envies: Moi perso, je prends toujours côté hublot. Je peux roupiller tranquille. C’est quand je vais voir ma grand-mère, Berthe, à Trifouillis-les-Oies. Elle fait des tartes aux pruneaux à tomber par terre!

Le truc, c’est que la place parfaite, ça n’existe pas. C’est comme chercher un единорог dans un champ de betteraves! (Oui, j’ai mis единорог, ça veut dire licorne en russe, ça fait classe non?)

Peut-on voyager autour du monde en train?

Voyager en train autour du monde? C’est possible, mais complexe! Six trains légendaires, c’est ambitieux, non ? On rêve tous un peu de transsibérien, mais la réalité est plus… terre à terre.

• Russie: Le Transsibérien, évidemment. Un mythe, une aventure. Mais long, très long. Prévoir du temps, beaucoup de temps, et un bon livre.
• Mongolie: Liaison avec le Transsibérien, mais gare aux changements délicats… Le paysage, par contre, vaut l’effort. Une réflexion : la lenteur du train, une forme de méditation moderne ?
• Thaïlande : Le réseau ferroviaire thaïlandais est étendu, mais la connexion avec la Mongolie demande une planification minutieuse. J’ai personnellement galéré avec les horaires en 2023, une vraie saga !
• Malaisie: Là, c’est plus facile. Un réseau efficace, des trains modernes… après les péripéties précédentes, on savoure le confort. L’Asie du Sud-Est en train, une expérience sensorielle riche.
• Australie: Le Ghan, c’est une légende. Mais attention, le réseau ferroviaire australien est moins dense qu’on ne le croit. Il faudra certainement combiner train et avion.
• États-Unis: Le Amtrak, une institution ! Mais couvrir les États-Unis entièrement en train? Oubliez ça. C’est comme tenter de traverser l’Atlantique à la nage. On se limite à des tronçons spécifiques.

Le défi logistique est colossal. Horaires, visas, connexions… Un voyage de cette envergure exige une organisation quasi militaire. Mais la beauté du voyage, c’est aussi l’imprévu. Et puis, six trains? On peut en trouver d’autres, plus authentiques, moins « touristiques ». Mon oncle a fait la ligne Pékin-Lhassa en 2023, une expérience inoubliable paraît-il. Il a même rencontré un lama !

La question philosophique : Le voyage en train, est-ce une fuite ou une immersion? Je penche pour l’immersion, un contact plus intime avec le pays traversé. Mais la réponse est subjective, bien sûr. Ça dépend de votre point de vue, et de l’état de vos toilettes de wagon.

Informations complémentaires (très succinctes) :

• Le coût global d’un tel périple est exorbitant, j’imagine.
• Il faut prévoir des assurances voyage robustes, au cas où.
• La patience est une vertu cardinale pour ce genre d’aventure.

Où aller en train depuis New York?

New York, point de départ idéal pour des escapades ferroviaires ! Mon dernier voyage ? Washington, bien sûr. L’Amtrak, un classique. On y ressent l’âme américaine, entre monuments et musées. Plusieurs jours sont nécessaires pour en apprécier la richesse.

Boston, ensuite. Un charme historique, une ambiance étudiante, tout ça à quelques heures en train. J’y ai passé un week-end mémorable, en automne. Les couleurs étaient magnifiques.

Puis, il y a Chicago. Un contraste saisissant avec la côte Est. Architecture imposante, ambiance dynamique. Un choix plus audacieux, pour ceux qui aiment l’aventure et les grandes villes. Plus long trajet, évidemment. Mais ça vaut le coup. On se sent un peu perdu, au début, dans ce chaos organisé, c’est fascinant !

• Washington D.C.: Capitale, monuments, musées.
• Boston: Histoire, ambiance étudiante, charme.
• Chicago: Architecture, dynamisme, contraste.

Philosophie du voyage en train : on observe le paysage défiler, on se laisse porter, on réfléchit… C’est une manière de voyager plus contemplative, moins stressante que l’avion. On appréhende différemment le temps, un luxe dans notre société hyperactive. C’est un peu comme une méditation forcée, pas forcément désagréable. J’aime ça, personnellement.

Autres options (plus lointaines) : Montréal, oui, pourquoi pas ? Ou même Toronto. Le Canada à portée de train. Ça, c’est pour les projets futurs. Mon budget voyage pour 2024 est déjà quasiment bouclé, mais il est possible de faire des ajustements. J’ai quelques jours de congés à prendre, cela dépendra de mon planning.

Bref, les possibilités sont nombreuses, tout dépend de vos envies.

Quels sont les trois types de train?

Trois types de trains, hein ? On pourrait affiner ça un peu.

• Train omnibus: Le classique, toutes les stations, parfait pour le voyage contemplatif, le genre de trajet où on observe le paysage défiler et on se pose des questions existentielles sur le sens de la vie – entre deux arrêts, bien sûr. Mon trajet préféré vers la maison de ma grand-mère était en omnibus. Sentiment nostalgique garanti.

• Train express: Zut, l’efficacité à l’état pur ! On saute les petites gares. Pour le voyageur pressé, celui qui préfère la performance à la contemplation bucolique. Un peu comme la vie moderne, finalement, tout en vitesse et sans trop de fioritures.

• Train direct: Plus précis, un seul point de départ et un seul point d’arrivée. Pas de détours, pas de surprises. On est dans le pragmatisme total. Je me rappelle un trajet Paris-Lyon en direct, mémorable pour son ennui, mais au moins, j’étais arrivé à l’heure.

Mais on peut aller plus loin! Il y a des nuances… pensez aux trains régionaux, aux TER, ou aux trains de banlieue… Des sous-catégories, vous voyez ? L’organisation est toujours une question de perspective.

Note: La classification peut varier selon les pays et les compagnies ferroviaires. C’est toute la complexité du monde ferroviaire. Il y a aussi des trains de marchandises, des trains à grande vitesse… on pourrait continuer longtemps. J’habite près de la gare Montparnasse, d’ailleurs, je vois régulièrement passer des trains de toutes sortes. Bref, un sujet fascinant.