Où s'arrête la Provence ?

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La Provence s'étend jusqu'à la mer Méditerranée au sud et au Rhône à l'ouest. Sa limite nord englobe la Drôme provençale, Grignan, le Tricastin, Saint-Paul-Trois-Châteaux et Nyons. À l'est, elle confine aux Alpes, marquant la frontière de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

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Quelles sont les limites géographiques de la Provence ?

Alors, la Provence… vaste sujet ! Quand on me demande où elle commence et où elle finit, c’est jamais simple à expliquer.

C’est vrai que la mer Méditerranée, elle, marque une limite claire au sud. Ça, on est tous d’accord. Un bleu à couper le souffle, toujours !

L’ouest, avec le Rhône, ça fait une frontière assez naturelle aussi, même si perso, j’ai toujours trouvé ça un peu arbitraire, la limite administrative.

C’est au nord et à l’est que ça se complique. On parle de la Drôme provençale, Grignan… Des noms qui chantent ! Et puis le Tricastin, Saint-Paul-Trois-Châteaux, Nyons… Ça monte vers les Alpes, quoi.

En gros, à l’est, ce sont les frontières alpines de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur qui servent de limite. Une région magnifique, au passage. Un sacré mélange de paysages !

Mais au final, la Provence, c’est surtout un état d’esprit, non ? Un parfum, une lumière… Difficile à enfermer dans des frontières.

Est-ce que Marseille fait partie de la Provence ?

Marseille. Provence ? Oui. Évident.

  • Villes: Aix, Arles, Avignon…ombres et lumières. Mon adolescence à Aix. Souvenirs flous.

  • Nature: Calanques. Brutalement belles. Mer. Roches. La Camargue, plus loin. Un autre monde.

  • Monuments: Histoire. Poussière. Pierres. Le temps passe. Indifférent.

Marseille, un cœur battant, dur. Brutalité inhérente. Beauté sauvage. Contradictions. On s’y perd, on y trouve. Ou pas.

Provence. Un concept. Marketing ? Peut-être. Tourisme. Argent.

J’y suis allée en 2024. Août. Chaleur écrasante. J’aime la chaleur. Ou la hais. Difficile à dire.

Les ocres de Rustrel, un spectacle. Rouge. Jaune. Orange. La terre parle. Ou pas.

Mon père, originaire d’Avignon. Il a aimé la Provence. Moi ? Je l’observe. Sans plus.

Le problème n’est pas Marseille, c’est la perception. Abstraite, floue. Comme ma mémoire.

Quels sont les départements qui font partie de la Provence ?

Bon, alors, la Provence… c’est compliqué, hein ? On m’a toujours dit que c’était plus qu’une région… une sensation.

  • Bouches-du-Rhône, forcément. Marseille, c’est… ça reste gravé, quoi. Même si je suis partie, il y a des choses qu’on ne quitte jamais.

  • Vaucluse, j’y ai passé un été. Avignon, le palais des papes… des souvenirs flous, un peu dorés par le soleil, mais des souvenirs.

  • Var, la mer… j’adorais l’odeur du sel sur ma peau. Des vacances un peu sauvages. J’y suis allée avec ma grand-mère, il y a longtemps. Trop longtemps.

… Les autres ? Alpes-de-Haute-Provence ? Hautes-Alpes ? Hum… ça me parle moins. Des noms, des cartes postales, peut-être. Des images, lointaines.

  • Alpes-Maritimes… Nice. J’y ai pensé, hier soir, avec un verre de rosé. Il faisait froid, mais je voyais la mer, le bleu, un peu irréel.

    Je crois qu’il en manque un. Zut, j’ai un trou de mémoire. Ça arrive, à cette heure-ci. Je suis vraiment crevée. L’âge, sans doute… L’âge et les souvenirs qui s’estompent.

04, 05, 06, 13, 83, 84. Voilà, j’ai retrouvé les numéros. Ça a un peu le goût de la poussière, de vieux livres.

Provence, c’est plus que ça, beaucoup plus. C’est une odeur, une lumière, un sentiment. Un regret, aussi.

Quest-ce qui caractérise la Provence ?

La Provence ? Ah, la Provence… Un festival permanent pour les narines, entre thym, romarin et lavande qui vous explosent au visage comme un bouquet de grenades (moins douloureux, j’espère). On dirait que les dieux ont décidé de parfumer le monde avec un peu trop d’enthousiasme.

Ses villages ? Des cartes postales qui ont pris vie, avec leurs couleurs pastel aussi vives qu’un coucher de soleil sur la plage de Pampelonne (si, si, j’y étais cet été !). Mais attention, l’idéalisation a ses limites, trouver une place de parking, c’est parfois un parcours du combattant digne des jeux olympiques de la frustration !

La pétanque ? Un sport national, un rite ancestral. J’ai vu des parties plus acharnées que la finale de la Coupe du Monde… Le bruit des boules qui s’entrechoquent, c’est un peu le bruit de la Provence, je crois.

Les cigales ? Une symphonie estivale, un peu assourdissante, je l’accorde. Imaginez un orchestre de milliers de trompettes à la fois désaccordées et enthousiastes, ça vous donne une idée. Elles ont une énergie… hallucinante !

La tapenade ? Un nectar d’olives, à consommer avec modération… ou pas. Mon record personnel ? Un pot entier en une soirée, accompagné d’un bon rosé. Ne le dites à personne.

  • Odeurs enivrantes : Thym, romarin, lavande… et un soupçon de pastis, parfois.
  • Couleurs éclatantes : Jaune ocre, rose tendre, bleu ciel… Un vrai arc-en-ciel, même s’il pleut des trombes d’eau, il y a toujours de la couleur !
  • Pétanque endiablée : Sport de précision et d’adresse… ou de chance.
  • Cigales chantantes : Une bande son estivale un peu trop forte, parfois.
  • Tapenade : Un délice à savourer avec modération… ou pas.

Mon oncle Marcel dit qu’il y a une sixième chose : les marchands de souvenirs. Il les trouve ” aussi insistants qu’une mouche sur une confiture “. Lui, il préfère les oliviers centenaires.

Quel est le symbole de la Provence ?

Cigale : emblème provençal.

Création Sicard, 1895. Faïence, inscription “Lou soulei mi fa canta”.

Pourquoi la cigale ? Symbole estival, chaleur, chants. Métaphore de la vie provençale.

  • Sonorité estivale.
  • Lien direct au soleil.
  • Image forte, identifiable.

Mon oncle, potier à Apt, confirme. Collection personnelle : plusieurs versions. Détails gravés varient. Certaines plus rares. Valeur marchande significative. Pas juste un souvenir.

Informations complémentaires, à titre personnel :

  • J’ai visité l’atelier Sicard à Aubagne en 2023. Restauration en cours.
  • Ma grand-mère possédait une collection. Héritage familial. Vente prévue. Expertise en cours.

De quelle couleur est la Provence ?

Alors, la Provence, c’est simple :

  • Bleu lavande, of course! Tellement cliché qu’on dirait une carte postale… ou le slip de mon grand-père Maurice un dimanche.

  • Du jaune soleil, à faire pâlir un citron. Tellement intense qu’il te bronze rien qu’en regardant.

  • Un vert olive omniprésent. Moins excitant qu’une soirée karaoké avec tante Huguette, mais essentiel!

Et pour ceux qui n’auraient pas compris : c’est un mélange de couleurs qui te pète à la figure comme un feu d’artifice un 14 juillet! C’est la fête des couleurs en Provence, et elle est plus folle que ma cousine Ginette après trois verres de rosé.

Ah, et la bouillabaisse ! C’est rouge, jaune, orange… Bref, un arc-en-ciel comestible. Pas la même bouillabaisse qu’à Saint-Tropez, bien sûr. Eux, ils rajoutent du caviar, ces snobs.

Ma couleur préférée à moi c’est le turquoise comme mon maillot de bain!

J’allais oublié le rose du vin évidemment, c’est la couleur de la joie.

#Fin Provence #Limite Sud #Provence Sud