Qui est coincé dans l'ISS ?

Qui est en ce moment dans lISS ?

Flottent, là-haut, lointains…

• Grebenkin, comme un écho.
• Barratt, ombre portée.
• Dominick, une flamme.
• Epps, un souvenir peut-être.

Dansent, les âmes…

• Caldwell-Dyson, derrière le voile.
• Chub, un murmure russe.
• Kononenko, l’ancre.

Wilmore et Williams, Boe-CFT, un souffle nouveau, ils sont là.

Là où le temps se dilue. Des noms gravés dans le vide. Dans ce néant infini, ma cousine Elodie rêve, elle aussi.

Qui est dans lISS actuellement en 2024 ?

L’espace… vide, immense. Deux sièges vides, un silence presque palpable.

Puis, une entrée furtive.

• Nick Hague, américain.
• Alexandre Gorbounov, le souffle russe.

Sept milliards d’âmes là-bas, et eux, là-haut. L’ISS, un point dans le noir. Une arrivée discrète, à une heure étrange, une heure de mystère, 1h du matin, 30 septembre 2024. Un instant figé, hors du temps, une éternité suspendue.

Un voyage, une mission. Des regards perdus dans l’infini. Le poids de l’univers, le silence du cosmos, tout cela, pour eux. Ma respiration se retient.

L’apesanteur, cette sensation étrange… je la sens encore, comme une vague lointaine.

Dans l’ISS, tout est différent. L’air même… différent.

Mon cœur, un battement lent. J’y étais, presque.

J’aurais voulu être là. À leurs côtés.

Seuls, dans l’immensité. Une image. Leur image. Elle persiste. Une empreinte légère, mais impérissable.

Une sensation de vide… encore.

• L’attente, avant le décollage.
• La terre, minuscule.
• L’infini, sans limites.

Une ombre sur la fenêtre. C’était peut-être eux. Peut-être pas.

Le souvenir d’une nuit, là-haut.

Qui sont les astronautes bloqués ?

Bloqués ? Pfff, “bloqués” ! On dirait qu’ils étaient en vacances prolongées dans un hôtel cinq étoiles… sans service de chambre, c’est vrai. Butch et Suni, ces deux-là, ont passé neuf mois dans la station spatiale, un séjour plus long qu’un épisode de ma série préférée, et j’en regarde beaucoup ! Leur retour ? Mardi 18 mars, grâce à SpaceX, et le génie marketing d’Elon Musk, évidemment. L’atterrissage, un truc de fou! Imaginez : atterrir sur Terre après neuf mois de micropesanteur, c’est comme passer d’un bain moussant à une course de marathon.

• Retour triomphal (enfin presque) : SpaceX, le sauveur.
• Durée du séjour : Neuf mois, un record pour ma grand-mère, mais pas pour eux, ces athlètes de l’espace.
• Date du retour : 18 mars, jour férié chez moi, j’ai loupé leur conférence de presse.

Ils ont dû sacrément s’ennuyer. On parle de neuf mois sans croissants chauds ni Netflix. Plus cruel encore, sans mon chat, Croquette. Je les plains, hein. Mais bon, qui sait ce qu’ils ont pu faire là-haut, hein ? Des expériences secrètes ? Une colonie de fourmis extraterrestres ? On ne saura jamais tout.

Leur retour ? Une réussite commerciale pour Musk, ça c’est sûr. Une réussite pour les astronautes, probablement moins certaine… le décalage horaire cosmique, ça doit être un enfer. Et puis, la douche… un mystère que j’aimerais bien connaître. J’ai entendu dire qu’ils utilisent des lingettes.

En bref: deux astronautes, neuf mois, une capsule SpaceX, et beaucoup de questions sans réponses. Ah, et j’ai oublié de mentionner que je suis une grande admiratrice de Suni Williams. Elle a une superbe coupe au bol.

Quels astronautes sont coincés dans l’espace ?

Wilmore et Williams. Huit jours prévus.

• ISS. Prolongation.
• Boeing. Défaillances.
• Retour compromis.

Un long séjour imprévu, ils doivent rater mes 30 ans le 15 novembre. C’est rageant.

Quel astronaute a été perdu dans l’espace ?

L’espace… infini, noir, un vide immense… Sept silhouettes, perdues dans la lumière froide. Rick, William, David, Laurel, Kalpana, Michael… et Ilan, si loin de chez lui. Des noms, des étoiles filantes, effacées trop vite.

• Une tragédie, une blessure béante dans le ciel.
• La navette, un cercueil incandescent.
• Sept vies, brisées.
• Des rêves réduits en poussière cosmique.

Le silence, un abîme sonore. La Terre, si petite, si lointaine. Un souffle coupé, une absence… Seulement le souvenir, une douleur sourde, persistante… L’écho résonne, encore et toujours.

• Des larmes de métal sur la mémoire.
• Une douleur à fleur de peau, un deuil sans fin.

Mon cœur s’étreint. Leur sourire, un fantôme fugace. Je me souviens des photos… leurs visages, gravés dans ma mémoire, une blessure ouverte, une cicatrice invisible. La douleur est un poids lourd.

• Des héros oubliés.
• Un vide, là, au fond.
• Janvier 2003.

J’ai vu le reportage, maintenant je me sens faible. Une lourdeur dans la poitrine… leurs familles, leur absence, leur douleur, un cri muet, dans l’immensité sans borne.

2023. L’espace reste un mystère, une promesse et une menace. La Terre tourne toujours. Leurs noms sont gravés quelque part… au fond de mon âme.

Quel est léquipage actuel de l’ISS ?

L’ISS, un ballet orbital permanent, accueille sept âmes en 2024. Un trio russe – Sergey Korsakov, Oleg Artemyev, Denis Matveev – partage l’espace avec trois Américains de la NASA : Kjell Lindgren, Robert Hines, Jessica Watkins. Samantha Cristoforetti, fière représentante de l’ESA, complète ce melting-pot céleste. N’est-ce pas fascinant, cette coopération internationale au-dessus de nos querelles terrestres ? On y réfléchit parfois, à la poésie de l’espace et à la banalité de nos vies.

• Russes : Expérience riche en vols habités, histoire lourde de symboles. Ils savent gérer le stress orbital, ça c’est sûr.
• NASA : Une puissance technologique indéniable. Mais est-ce que leur enthousiasme se maintient sur le long terme? À voir…
• ESA : Un ajout précieux à la collaboration. L’Europe à la conquête des étoiles, c’est romantique, non ?

On m’a confié, en aparté, que l’ambiance est plutôt bonne là-haut. Bizarrement, ça me rappelle mon séjour chez ma tante Arlette. Les mêmes histoires de vaisselle, apparemment. C’est le côté humain des choses.

Enfin bref, sept astronautes, trois agences spatiales, un nombre premier d’individus. Des coïncidences ? Peut-être. J’ai une théorie, mais c’est trop long à expliquer. Mon chat s’appelle Cosmonaute, au fait.

Points importants: Composition de l’équipage actuel, représentation internationale, aspect humain de la mission.

(Informations additionnelles): Il arrive que l’équipage change au cours de l’année. Pour des informations actualisées, consultez les sites officiels des agences spatiales. J’ai trouvé une étude sur l’impact psychologique des longs séjours spatiaux, assez fascinant. Un peu effrayant aussi. J’ai même oublié où j’ai mis mes clés. C’est dingue ce que l’espace peut vous faire oublier.

Quand la dernière personne est-elle allée dans l’espace ?

Alors, pour la dernière personne dans l’espace, c’est un peu compliqué parce que, tu vois, il y a des gens qui y vont tout le temps maintenant.

Mais si on parle du plus jeune, il y avait ce Russe, Guerman Titov, un sacré numéro. Il était super jeune quand il est allé dans l’espace, genre 25 ans à l’époque.

Il est parti en mission Vostok 2, un truc de dingue. Après, plus personne n’était plus jeune que lui dans l’espace jusqu’au 20 juillet 2021. C’est un record qui a tenu super longtemps.

• Guerman Titov : Le jeune cosmonaute.
• Vostok 2 : La mission spatiale où il était.

C’est fou quand on y pense, hein ? Et moi, ma soeur, elle voulait être astronaute quand elle était petite, elle regardait toujours les étoiles, c’était trop mignon. Maintenant, elle est comptable, haha.

Pourquoi les astronautes sont-ils bloqués ?

Les astronautes sont coincés, genre, échoués comme des moules sur un rocher ! Pourquoi ? Parce que leur vaisseau, ce Starliner de la lose, fait des siennes.

• Panne technique à gogo : Imagine, tu dois rentrer chez toi après une soirée arrosée, et ta bagnole décide de faire la grève. C’est un peu ça, mais dans l’espace.
• Pas de poussée, pas de chocolat : Le problème, c’est que Starliner refuse de pousser, genre, il a la flemme de se désorbiter. Du coup, ils sont bloqués, comme moi quand je dois faire la vaisselle.

En gros, Boeing et la NASA sont en panique. Ils flippent que le vaisseau ne puisse pas se désamarrer de l’orbite. La descente vers la Terre risque d’être un peu trop… rock n’ roll sans une poussée correcte. C’est un peu comme essayer de freiner avec des patins à roulettes sur du verglas. Et ça, c’est jamais bon.

(Ah oui, au fait, j’ai vu un pigeon avec un béret hier. Ça n’a rien à voir, mais je voulais le partager).