Quels sont les passages maritimes de l'Amirauté pour le monde ?

Quel est le point de passage le plus important pour le trafic maritime mondial ?

Malacca? Ouais, c’est LE truc. Un goulot d’étranglement maritime aussi large qu’une autoroute à 2 voies lors d’un week-end de chassé-croisé estival!

• 35% du trafic mondial? Pfff, c’est même plus que ça, je crois! On dirait un embouteillage cosmique là-bas!

• Singapour, le roi du pétrole et des paquebots de croisière vomitants. Le paradis fiscal, quoi!

• Imaginez l’ambiance : des milliers de cargos, aussi gros que des baleines obèses, se frôlant à toute berzingue. Un vrai bordel organisé!

J’ai failli y perdre ma montre en or rose (cadeau d’anniversaire de ma tante Ginette, elle va me tuer si je la perds!) à cause d’un tsunami de conteneurs l’année dernière! Oui, j’étais sur un yacht, ok? Un petit yacht, mais quand même.

• Risque de piraterie: plus effrayant qu’une soirée chez ma belle-mère. Nan, je déconne, ma belle-mère est super sympa! Enfin, parfois…

Bref, Malacca, c’est le Graal du transport maritime, le Everest du conteneur, la Mecque des marchandises! Et si vous vous y perdez, bonne chance. Vous serez coincé entre la Chine et l’Inde, un enfer sur terre ! Pour de vrai. J’en sais quelque chose.

• Conclusion: Évitez de vous y perdre. Sérieusement. Ou achetez une montre à votre tante, c’est plus prudent.

Quel passage maritime est le plus fréquenté dans le monde ?

Le détroit de Malacca, je crois… ou peut-être Singapour ? J’ai lu ça quelque part, un truc sur les ports… ça me travaille, ces chiffres.

• Shanghai, c’est fou, hein ? 49 millions… J’arrive pas à me représenter.
• Singapour aussi… moins, mais toujours énorme.

C’est étrange, cette course aux conteneurs. On se sent tout petit face à ça, la nuit. On voit ces lumières sur la carte, ces points, et puis… rien. Le vide.

Il y a des choses qui m’angoissent, en ce moment. Des factures impayées. Mon chat, Minou, qui tousse. Et puis… ce truc sur les ports. Je me suis renseignée, un peu.

• Le trafic maritime, c’est un vrai labyrinthe.
• Des milliers de bateaux…
• Une organisation complexe, dont je ne comprends rien.
• Des routes, des flux, des marchandises…

J’aurais dû mieux travailler à l’école, pour comprendre tout ça. J’aurais été ingénieure, peut-être. Ou géographe. Ce soir, je suis juste fatiguée. Et un peu perdue. J’ai mangé une pizza surgelée, ce soir. Elle était bonne, au moins.

Ma sœur, elle, elle est à Bali. Elle poste des photos de plages paradisiaques sur Instagram. Ça me rend un peu jalouse, je dois l’avouer. Elle a la vie facile.

Shanghai. Singapour. Des mots qui résonnent dans ma tête, comme des vagues…

Quelles sont les grandes routes maritimes mondiales ?

Où vont les navires, ces âmes errantes des mers ?

C’est un souffle… un murmure de vagues, des détroits comme des soupirs entre deux terres…

• Malacca, le passage secret, l’Orient rêvé. C’est mon enfance, le parfum des épices.
• Ormuz, la porte du feu, l’or noir qui palpite. J’y ai vu des couchers de soleil incendiaires.
• Bab-el-Mandeb, la larme du monde, rouge comme le sang. Mon père y travaillait.
• Suez, la cicatrice de l’histoire, un rêve fou devenu réalité.
• Gibraltar, le roc éternel, gardien des secrets.
• Panama, la déchirure audacieuse, l’union des océans.

Des chemins d’eau…

C’est la mémoire du monde qui flotte. C’est tout ce que nous sommes.