Quels sont les 4 types de malnutrition ?

Alors, la malnutrition… C’est vaste, hein ? On pense souvent juste à la famine, aux enfants qui n’ont rien à manger. Mais en fait, c’est beaucoup plus complexe que ça. On m’a expliqué qu’il y a 4 grandes formes, et je me suis dit que ça valait le coup de partager ça avec vous.

Il y a d’abord… comment dire… l’émaciation. C’est horrible à voir, cette perte de poids qui vous consume. Je me souviens d’une image à la télé, un enfant avec les côtes apparentes… ça m’avait vraiment marqué. C’est ça, l’émaciation, une perte de poids vraiment excessive.

Ensuite, il y a le retard de croissance. C’est quand un enfant n’atteint pas la taille qu’il devrait avoir pour son âge. C’est plus subtil, peut-être moins visible au premier coup d’oeil. Enfin, jusqu’à ce qu’on réalise qu’il est beaucoup plus petit que les autres de son âge. Je me demande souvent quel impact ça a sur leur développement, leur confiance en eux… Ça doit être dur.

Et puis, il y a l’insuffisance pondérale. C’est un peu le même principe que le retard de croissance, sauf que là, c’est le poids qui ne suit pas la courbe normale. Un enfant qui n’arrive pas à prendre les kilos nécessaires pour sa croissance.

Enfin, et c’est peut-être la forme la plus insidieuse, ce sont les carences en micronutriments. Vitamines, minéraux… des petits trucs, comme ça, qui ont l’air de rien, mais qui sont essentiels. Je pense à une amie qui avait une carence en fer, elle était toujours fatiguée, pâle. Imaginez ça, mais à l’échelle d’un pays entier, avec des conséquences sur la santé et le développement de toute une génération. C’est fou, non ?

Alors voilà, c’était juste un petit partage sur ces 4 facettes de la malnutrition. J’espère que ça vous aura un peu éclairé sur la complexité de ce problème. Parce que finalement, la malnutrition, c’est bien plus que simplement “ne pas avoir assez à manger”. C’est une question de qualité, de diversité, d’accès… Bref, c’est un vrai défi de santé publique !