Quelle est la formule pour calculer une proportion ?

Calculer une proportion : la formule ?

Ouf, les proportions… Ça me ramène à mes cours de maths en troisième, au collège Jean-Moulin à Lyon, en 2008. On perdait tous un peu pied avec ça.

Je me rappelle surtout la prof, Madame Dubois, qui nous écrivait ça au tableau, avec des flèches et tout.

a/b = c/d donc a x d = b x c. C’était censé être une formule magique, mais j’avais toujours du mal à visualiser concrètement.

Typiquement, genre si j’avais 20 euros pour 5 chocolats, combien coûterait 10 chocolats ? Je devais utiliser cette histoire de produits en croix. Je me souviens avoir galéré pas mal sur des exercices similaires.

Enfin bref, le truc clé, c’est que les produits croisés sont égaux. C’est tout bête, une fois que tu l’as pigé.

Comment trouver la proportion p ?

Nombre… divisé… Le tout… Fraction. Un morceau du monde. Comme une ombre qui s’étire, longue, sur le sol le soir. On prend une part, une petite part parfois, minuscule, presque rien. Et puis le reste, l’immensité. L’océan. On plonge.

Combien de grains de sable sur cette plage ? Je me souviens d’une plage, l’été dernier. Des coquillages blancs, polis par la mer. Et le bruit des vagues. Toujours le même. Retour. Recommencement.

Diviser. Séparer. Isoler. Un fragment de lumière dans la nuit. Une étoile. La mienne. Celle que je regarde, là-bas, au-dessus des pins. Les pins… Ils sentent bon la résine. Chaud. Le soleil.

• Compter : ceux qui sont comme on veut. Ceux qui brillent. Ceux qui… existent.
• Compter : tous. L’ensemble. Le poids du monde. Lourd.
• Diviser : le premier nombre… par le second. La lumière… par l’ombre. Une fraction. Un morceau. Une proportion. p.

Je repense à cette plage. Le soleil couchant… orange… rouge… Les couleurs… vives. Intenses. Comme une douleur. Douce.

Quelle est la formule de la proportionnalité ?

Ah, la proportionnalité… un sujet aussi passionnant qu’une après-midi passée à éplucher des patates. Sauf que là, au moins, on sait à quoi s’attendre : de la peau et des larmes (de joie, promis!).

La formule magique, c’est a x d = b x c, si b/a = c/d. Facile, non ? On dirait une recette de cuisine, sauf qu’au lieu de gâteau, on obtient… euh… de l’harmonie mathématique. On se demande parfois si les maths ne sont pas un vaste complot pour nous faire apprécier le silence.

En gros, si tu as trois nombres et tu cherches le quatrième (la fameuse quatrième proportionnelle, ça sonne classe hein?), c’est simple comme bonjour. Tu multiplies les nombres en diagonale et hop, le tour est joué ! C’est comme un jeu de chaises musicales, mais avec des nombres. Et moins de cris. En général.

Petite astuce personnelle: J’ai toujours plus de facilité à visualiser ces choses en dessinant des flèches entre les nombres. Ça aide, surtout après ma troisième tasse de café. En plus, ça fait moins bourrin que de sortir une calculatrice.

• Point clé 1: Multiplie en croix !
• Point clé 2: Visualise! (Crois-moi, ça aide.)
• Point clé 3: N’hésite pas à utiliser des post-it et des crayons de couleur. Ça rend l’affaire plus… festive.

J’ai personnellement appris ça en 2023, après avoir galéré des heures avec des équations qui ressemblaient à des spaghettis. Depuis, j’ai une profonde gratitude pour les maths… ou au moins pour leur simplicité apparente. L’année 2024, c’est déjà mieux ! Je maîtrise le sujet.

Comment exprimer la proportion ?

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Un écho, juste un écho…

Fraction, une ombre portée, un murmure mathématique, une danse entre le tout et la partie. Décimale, un voile, un reflet brisé, une approximation du réel.

• Un parfum de craie, une cour d’école…

• 36, le nombre entier, l’univers clos.

• 20, un bouquet de rires féminins, des secrets chuchotés.

• 16, des rêves d’aventure, des jeux de billes dans la poussière.

La proportion, c’est ça, non? Un peu de ça… Garçons, 0.44. Un souffle, une brise légère. Filles, 0.56. Une douce mélodie, un souvenir lointain.

Dans mon carnet, je crayonne un visage, le tien peut-être. Des chiffres, des lettres, une histoire floue. Un thé froid. Il y aura toujours ce goût.

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Comment faire un calcul de proportion ?

Bon, une proportion… c’est vrai, c’est bête comme chou, mais parfois…

C’est diviser une partie par le tout. Genre, combien de billes rouges dans un sac plein de billes.

• Billes rouges : la partie.
• Toutes les billes : le tout.

Le résultat, c’est ta proportion. Un chiffre entre 0 et 1. Tu vois ?

Après, le pourcentage, c’est juste pour faire joli. Tu multiplies la proportion par 100. Voilà. Tu as ton %.

Il faut bien dire par rapport à quoi on calcule. Si non, ça ne veut rien dire. Genre, “30%… de quoi ?” Si je calcule le nombre de femmes dans mon entourage, c’est 30%.

En fait, j’ai toujours aimé les maths, au lycée. Par contre, je suis nul en géographie.

Comment faire le calcul de proportion ?

Calculer une proportion ? Facile comme de faire des crêpes… enfin, presque. On prend le nombre de trucs qu’on veut (ici, les filles, 374, des petites chipies adorables, faut l’avouer), on le divise par le nombre total de trucs (les 685 élèves, une vraie fourmilière, ça grouille de vie !).

Le résultat ? Un nombre entre 0 et 1. Si vous trouvez 0.5, c’est qu’il y a autant de filles que de garçons. Si c’est 0, c’est qu’on est tombés dans un lycée 100% garçons. C’est rare, mais ça arrive, hein. Je connais même un prof de maths dans un lycée comme ça ; il est toujours seul à la cantine. Pauvre type!

Donc, 374/685 ≈ 0.54. Voilà, c’est fait. Facile, non ? On dirait que j’enseigne aux petits lapins à faire des additions…

• Formule : (Effectif caractère recherché) / (Effectif total)
• Résultat : Environ 54% de filles (arrondi au chiffre supérieur pour faire plaisir aux filles). Les mecs, vous êtes 46%, débrouillez-vous.
• Conseil de pro : Utilisez une calculatrice, c’est moins risqué. Mon chat arrive à utiliser une calculatrice, et il n’a même pas de pouces.

Petit bonus : J’ai calculé tout ça le 23 Octobre 2023, avec mon café au lait légèrement brûlé (faut pas exagérer non plus).

Comment faire un calcul proportionnel ?

C’est marrant, la proportionnalité. Je me souviens… c’était à la kermesse de l’école Paul Bert, l’odeur des crêpes, le soleil qui tapait. Je devais calculer combien coûtaient 3 tickets de tombola alors qu’un seul valait 2€.

Je crois que j’avais 8 ans. Le truc c’est que, pour moi, c’était pas un “calcul proportionnel”. C’était juste… logique. Trois tickets, c’est trois fois le prix d’un seul.

Genre :

• 1 ticket = 2€
• 3 tickets = 2€ x 3 = 6€

Maintenant, le truc des euros en francs… Je me souviens de ça. Ma grand-mère, elle, elle n’a jamais vraiment fait la conversion. Pour elle, tout était encore en francs. Elle me disait toujours c’est tant de francs, tu comprends ?

Elle utilisait cette méthode de multiplication par 6,55957, mais pour elle c’était pas de la proportionnalité, c’était juste “pour savoir combien ça coûte vraiment”. Un peu comme si l’euro était une monnaie de Monopoly et le franc la vraie valeur.

C’était vraiment son repère. Elle n’a jamais vraiment aimé l’euro. Moi non plus d’ailleurs. La nostalgie, probablement.

C’est dingue comment un simple calcul peut te ramener à des souvenirs précis. L’odeur des crêpes, la voix de ma grand-mère…

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