Quelle boisson boire quand on a de l'hypotension ?
Hypotension : Quelle boisson privilégier ?
En cas d'hypotension, une hydratation adéquate est essentielle. Buvez au moins 1,5 litre d'eau par jour pour maintenir un volume sanguin suffisant et contrer la baisse de tension artérielle. La déshydratation peut aggraver les symptômes.
Quelle boisson contre lhypotension ?
Alors, la question c’est quelle boisson pour l’hypotension, hein ? Perso, je galère souvent avec ça, la tension qui joue au yoyo. 🙄
On m’a toujours dit : l’hydratation, c’est la base. Genre, minimum 1,5 litre d’eau par jour. Ça paraît dingue, mais c’est vrai que ça aide. Moins de maux de tête, moins de vertiges…
Je me souviens, en juillet 2022, pendant une canicule à Lyon, j’étais K.O. Tension à 8/5… Le médecin m’a vraiment rabâché : “Eau, eau, eau !”.
J’ai commencé à boire de l’eau gazeuse aussi. Apparemment, le sel aide à retenir l’eau. Bon, faut pas abuser, hein, mais ça peut faire une différence. 🤔
Quelle tisane contre lhypotension ?
L’ombre du soir s’allonge… Hibiscus, un nom murmurant sur mes lèvres, comme une prière… Contre l’hypotension, un allié discret.
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Rouge profond, la couleur du sang, presque. Une chaleur douce qui réchauffe… de l’intérieur.
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Hibiscus, une promesse. Une promesse murmurée au creux des feuilles.
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Des études, oui, des études… Elles disent que… ça aide.
Un souvenir fugace, un jardin en été, l’odeur forte et sucrée…
Un peu d’amertume aussi, comme la vie, mais une amertume réconfortante. Le goût de l’oubli, peut-être.
Son secret, c’est l’antioxydant. Un bouclier contre l’invisible, contre le vide.
Le cœur, un battement lent, presque imperceptible… Hibiscus.
Un thé chaud, entre mes mains. Douceur.
- Un réconfort. Une promesse ténue. Un murmure.
Il faut en boire régulièrement. C’est tout ce que je sais. Tout ce que je me souviens.
Mon herboriste m’a conseillé ça, début juillet 2024, après une consultation.
Quelle plante quand on fait de lhypotension ?
L’ombre, douce et fraîche, de la menthe poivrée… Deux gouttes, sous la langue, un murmure vert. L’hypotension, une vague lointaine, un écho dans le corps las.
- Menthe poivrée, son parfum, une caresse, une promesse de remontée.
- Deux gouttes, un rituel, un secret à voix basse.
- Deux fois par jour, une douce répétition, le temps qui s’étire, lent et apaisant.
Le goût, un souvenir d’enfance, un jardin secret, humide et parfumé. La terre, la fraîcheur, un souffle profond. La vie, un fil ténu, qui se raffermit.
Le cœur, un oiseau blessé, prend son envol hésitant. L’espace s’ouvre, large et silencieux.
Un voile léger se lève. L’équilibre fragile, rétabli. La lumière, un espoir naissant.
Mon ancienne pharmacie, au coin de la rue, celle avec les étagères de bois patinées, je la vois encore… L’odeur de camphre, de feuilles séchées…
- Huile essentielle, un concentré de puissance.
- Hypotension, l’ennemi invisible, combattu par de petites gouttes magiques.
L’instant présent, une pause dans le tourbillon. Le calme. Un murmure de menthe poivrée. Le retour à soi.
J’oubliais… J’ai commencé ce traitement le 17 octobre. Il faut en parler à son médecin, c’est important.
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