Quand mettre du sel sur la glace ?
Sel et Glace : L'Astuce Refroidissement
Le sel abaisse la température de la glace fondante (0°C). En mélangeant sel et glace, on crée un effet réfrigérant, idéal pour refroidir rapidement sans électricité. La quantité de sel influe sur l'abaissement de température.
Question ?
Ah, le sel et la glace… J’ai un souvenir flou, un été chez ma grand-mère en Normandie, vers juillet 2018. On faisait des glaces artisanales, une corvée un peu pénible, mais tellement bonne après. On utilisait du gros sel, on en mettait une bonne poignée dans le bac à glace. Je crois qu’on avait payé le sac 2€ au supermarché du coin.
Le mélange devenait beaucoup plus froid que de la glace seule. La température descendait nettement en-dessous de zéro, je le sais, car on avait un petit thermomètre de cuisine. J’ai une vague idée que ça abaissait le point de congélation de l’eau, quelque chose comme ça, mais les détails m’échappent.
Bref, ça marchait super bien pour refroidir la préparation glacée. On pouvait ainsi faire une crème glacée bien ferme, sans avoir besoin de machine. Simple, efficace, un peu artisanal, comme je l’aime.
Informations courtes :
- Question: Le sel refroidit-il un mélange glace/eau ?
- Réponse: Oui, en abaissant le point de congélation de l’eau.
- Effet: Diminue la température du mélange.
- Utilisation: Refroidissement sans réfrigérateur.
Quand mettre du sel pour le gel ?
Le sel, cet ami (ou ennemi, selon la perspective de votre jardin) du gel… Quand le saupoudrer ? Avant, voyons. Avant que Jack Frost ne se pointe le nez, comme on dit. Entre 0 et -20°C, c’est le moment idéal. Imaginez ça : le sel, c’est comme un petit garde du corps moléculaire, empêchant les vilains cristaux de glace de faire la fête et de former une patinoire improvisée.
Sur sol sec, c’est le top. Sur une surface déjà gelée ? Ça marche aussi, mais moins bien. C’est comme essayer de calmer une rave sauvage avec un verre d’eau : ça aide un peu, mais faut pas rêver. Efficace sur le bitume, moins sur la pelouse de ma grand-mère, par contre, je vous le confirme ! (Elle a une pelouse sacrément rebelle).
- Avant le gel: L’idéal, une prévention efficace.
- Entre 0 et -20°C: La zone de confort du sel anti-gel.
- Sur le bitume: Parfait, une alliance efficace.
- Sur la glace déjà formée: Moins efficace, mais toujours mieux que rien.
Ah, et petit détail que j’oubliais : j’ai testé l’année dernière un truc fou. Du sel… mélangé à du sable ! Je suis devenu le roi de ma rue, cette année-là ! On verra bien l’efficacité de mon expé cette année. Sinon, retour à la case départ, sel pur. C’est la vie.
Pourquoi mettre une pincée de sel dans les blancs en neige ?
Sel dans les blancs ? Pourquoi ? Mystère… ou pas. On m’a toujours dit ça, ma grand-mère surtout. Elle, elle jurait que ça marchait. Alors, je mets du sel, hein. Point barre.
- Plus fermes, c’est sûr.
- Montent mieux, j’en suis convaincue.
Mais bon, apparemment, c’est faux, hein ? L’air, c’est ça la clé ? Sérieux ? Alors pourquoi on met du sel ? Tradition ? Superstition ?
J’ai testé sans sel, une fois. Catastrophe. Blancs mous, plats… un vrai désastre. Donc, je remets du sel, même si c’est une légende urbaine. Pourquoi se prendre la tête ?
Ah oui, et puis, j’ai vu un truc sur Insta, une pâtissière, elle disait que ça dépendait de la qualité des œufs. Des œufs bio, peut-être qu’on peut s’en passer du sel ? Je sais pas.
Je dois faire une tarte aux pommes ce week-end. J’utiliserai du sel, comme d’habitude. On verra bien… Peut-être que je vais tenter sans, une moitié avec, une moitié sans, expérience scientifique maison quoi ! Pour le fun.
Mais du coup, c’est quoi la vraie raison ? J’ai pas compris. Je vais chercher sur Google. Non, attends, je suis trop paresseuse. Trop de tabulations ouvertes déjà.
- Sel = plus fermes ?
- Air = vrai secret ?
- Expérience : sel ou pas sel ?
J’ai acheté 6 œufs bio au marché ce matin. Ils étaient chers, ça m’a fait mal au cœur. Plus cher que d’habitude. Je devrais vraiment mieux gérer mon budget. Ouf, je divague. Retour aux blancs en neige !
Comment rattraper des blancs en neige trop liquides ?
Pfiou, la cata! Samedi dernier, je voulais faire une mousse au chocolat pour l’anniv de ma soeur, Léa (35 ans, quand même!). J’étais dans ma cuisine, à Belleville, musique à fond, et là, horreur, les blancs d’oeufs…liquides. Une vraie soupe.
Panique à bord! J’ai cru que j’allais tout rater.
- Sel? J’en ai balancé une pincée. Nada.
- Sucre? Pareil.
- Levure? J’ai même pas osé. (Et puis, j’en avais plus, en fait.)
C’est le désespoir. J’ai failli pleurer.
Ma solution, à la bourre: j’ai mis les blancs au frigo une demi-heure. Et…miracle! J’ai pu les remonter un peu. Moins fermes qu’espéré, mais ça a sauvé la mousse.
Le coup du couteau, franchement, j’y pense jamais. Trop concentrée à pas faire tomber de coquille dedans, moi! (toujours un problème).
La morale? Frigo + patience. Ou alors, peut-être, moins de musique et plus d’attention! Et peut-être racheter de la levure chimique.
Pourquoi la confiture fait de la mousse ?
Alors, la confiture qui mousse, c’est un peu comme ton bain du dimanche : y’a des trucs qui flottent. Sauf que là, c’est pas ton canard en plastique, mais des impuretés. La chaleur, c’est le jacuzzi des impuretés, elles remontent faire la fête.
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L’écume, c’est la guest list de cette party indésirable. Il est important de la virer.
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Ma tante Huguette, elle dit que si tu laisses la mousse, ta confiture aura le goût de ton ennemi juré. Moi, je dis que ça se garde moins longtemps. Choisis ton camp.
En gros, écumer, c’est une question de goût (et de conservation). Imagine, tu laisserais le marc de café dans ton expresso ? Non, hein.
Et entre nous, si tu vois de la mousse sur ta confiture après l’avoir mise en pot, c’est qu’elle n’était pas assez cuite. La prochaine fois, fais-la chanter un peu plus longtemps. C’est un peu comme tes blagues, il faut insister pour que ça prenne!
Comment puis-je épaissir ma confiture maison ?
Epaissir sa confiture, un défi digne d’un alchimiste amateur ! L’agar-agar, c’est la solution, un peu comme une potion magique issue des fonds marins. Deux grammes par kilo, c’est la recette, mais j’ai tendance à en mettre un peu plus, histoire de voir… On dissout ça dans l’eau froide, avant de le balancer dans la marmite bouillonnante. Un peu comme ajouter une pincée de sagesse à une recette familiale déjà bien rodée.
- Agar-agar : Origine algale, efficacité garantie. J’en ai trouvé un super bio au marché du samedi dernier, près de chez ma grand-mère à Toulon.
- Dosage crucial : 2g/kg, mais l’expérience compte plus que les règles, non ?
Il faut chauffer doucement, hein. Pas comme une brute, sinon ça se transforme en une pâte gluante, une sorte de… j’hésite entre un magma gluant ou un pudding catastrophique. L’équilibre, ma foi ! C’est le secret de la vie, comme disait ma prof de philo. Le dosage est tout, le juste milieu entre liquidité et consistance.
Alternative: Le jus de citron, ça marche aussi, un peu comme un coup de pouce de la nature. Mais l’agar-agar, c’est plus précis, plus… scientifique. Si je me souviens bien (mais bon, j’ai une mémoire de poisson rouge!), ma grand-mère ajoutait des pommes râpées. C’est une technique assez rustique, efficace, mais moins précise.
Pectine ? J’ai testé, c’est moins “naturel” à mon goût, et plus compliqué à doser. Avec l’âge, j’apprécie la simplicité des choses. L’essentiel, c’est le goût, après tout. La philosophie est partout, même dans la confiture !
En 2023, j’ai fait une confiture de figues incroyablement liquide. L’agar-agar a été mon sauveur! Mon secret ? J’ajoute toujours un peu plus que la dose recommandée, par précaution.
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