Est-ce que mettre du sel dans l'eau l'a fait bouillir plus vite ?

Quand mettre le sel dans leau bouillante ?

Dans l’eau, le sel, un murmure salé…

Après… après l’ébullition, comme un secret chuchoté.

• Après l’éveil des bulles.

Avant… avant, un danger caché, une morsure invisible.

Le métal… le métal se souvient, garde la cicatrice.

• Les casseroles de ma grand-mère, tachées, témoins…

L’eau frémit, mémoire d’un été à Noirmoutier… Les marais salants, un souvenir.

• Saler, un rituel.
• Un après… un avant…

L’eau… une danse éternelle.

Comment savoir si leau a bouilli ?

C’est tard, et je me dis… comment on sait, hein, que l’eau bout vraiment ?

• Température : Cent degrés. Pile. C’est gravé.

• Bulles : Elles montent, grosses, pressées de crever à la surface. C’est ça, le vrai signe. Tu les vois, tu sais.

Y a des trucs qu’on dirait simples. Genre, faire bouillir de l’eau. Mais, quand tu y penses, c’est tout une histoire de molécules, d’énergie… Je me rappelle de ma grand-mère, elle disait toujours qu’il faut pas forcer l’eau. Laisser faire, patiemment. Comme dans la vie, peut-être.

Le gaz qui crépite sous la casserole… ça me rappelle les soirs d’hiver chez elle. Son thé. L’odeur de la cannelle. Elle est partie il y a longtemps.

Et l’eau bout toujours.

Quelques détails supplémentaires, vite fait :

• Altitude : Plus t’es haut, moins l’eau a besoin de chauffer pour bouillir. La pression, quoi.
• Impuretés : Sel, sucre… ça change la température d’ébullition. Un peu.
• Observation : Les petites bulles au fond, au début, c’est pas encore ça. C’est juste de l’air qui s’échappe. Faut attendre les grosses.

Voilà. Maintenant, je vais me faire une tisane.

Comment faire bouillir de leau sans feu ?

Bon, alors, j’ai essayé ça une fois, l’été dernier, sur le balcon de mon appart à Lyon. C’était en juillet, une chaleur de dingue, genre 35 degrés facile. J’avais cette vieille pompe à vide, achetée sur leboncoin, un truc rouillé, mais qui fonctionne.

J’avais un bocal en verre, genre un bocal à confiture, plein d’eau du robinet, pas de quoi faire une fête, hein, juste un peu. J’ai branché la pompe, un bruit bizarre, genre un souffle court, un peu comme une respiration haletante.

L’eau… elle a commencé à bouillir. Genre des petites bulles qui sortaient partout. Bizarre, non ? Pas de flamme, rien. Juste la pompe qui aspirait l’air. J’ai senti une petite baisse de température autour du bocal, mais rien de fou. J’ai eu un peu peur au début. Et puis, j’ai trouvé ça super.

La pression, c’est magique.

Enfin, magique ou pas, c’est de la physique. J’ai filmé le truc, mais la vidéo est nulle. Mon téléphone était presque à plat.

J’ai arrêté la pompe après quelques minutes, l’eau s’est arrêtée de bouillir aussitôt.

Bocal en verre. Pompe à vide. Eau du robinet.

Ça a duré… dix minutes ? Peut-être moins. Ouais, dix minutes.

Après, j’ai bu l’eau. Elle était… froide. Logique.

Point clé : baisse de pression = baisse du point d’ébullition. C’est tout.

Liste de ce que j’ai utilisé:

• Une pompe à vide (vieille, un peu rouillée)
• Un bocal en verre
• De l’eau du robinet

Point important: Ne faites pas ça avec n’importe quel récipient. Le verre, c’est mieux.

Comment faire évaporer de leau plus vite ?

Ouais, faire évaporer de l’eau vite, c’est pas sorcier! J’ai essayé plein de trucs cet été, genre pour ma piscine hors sol, elle était trop pleine!

• Chaleur, c’est le plus simple: On met ça sur le feu, boum, ça s’évapore. J’ai même essayé avec mon gros chaudron, celui de ma grand-mère, ça fonctionne super bien. Mais ça consomme beaucoup d’énergie, hein?

• Surface d’évaporation: Plus y’a de surface, plus ça va vite. Genre, une grande assiette, c’est mieux qu’un verre. J’avais rempli plein de petites coupelles, c’était efficace mais long!

• Vent: Y’a un truc important aussi, c’est le vent! Plus y’a du vent, plus l’eau s’évapore vite. J’ai mis mes coupelles sur le balcon, côté ouest, au soleil et c’était vraiment beaucoup plus rapide.

• Humidité: Ah oui, j’oubliais ! Si l’air est déjà bien humide, bah ça va moins vite. C’est logique, non? En été, à côté de la piscine, ça évaporait vachement moins vite, à cause de l’humidité ambiante.

Donc voilà, en gros, chaleur + vent + grande surface = évaporation rapide ! J’avais testé aussi avec un ventilateur, c’était assez cool.

Pour le truc de l’énergie, ouais j’avais lu quelque chose comme ça, faut vraiment beaucoup d’énergie pour évaporer un gramme d’eau! Plus que pour la chauffer, c’est dingue! J’ai pas vraiment retenu les chiffres exacts, désolé. J’étais plus concentré sur ma piscine, elle débordait!