Comment arrive le sébum ?

Comment ça arrive, le sébum, hein ? On se pose jamais vraiment la question, jusqu’à ce qu’on ait un bouton énorme sur le nez, là, ça devient soudainement crucial! Bon, alors voilà, c’est une histoire de glandes, des petites choses invisibles à l’œil nu, des glandes sébacées, paraît-il. Elles sont un peu partout, surtout connectées à nos cheveux, comme des petites usines à huile, mais des usines minuscules, hein ? Imaginez, des millions, peut-être milliards de ces petites usines sur notre corps, chacune produisant son petit quota de sébum. C’est fou, non ?

Ce sébum, c’est une huile, une sorte de lubrifiant naturel. Je me souviens de ma grand-mère, sa peau, toujours si douce, presque veloutée… j’imagine que c’était grâce au sébum, à cette petite huile magique qui garde tout bien hydraté. Mais parfois, on en produit trop, c’est là que ça se gâte… des boutons, des points noirs, la peau grasse, le calvaire ! J’ai lu quelque part – je crois que c’était sur un site, je ne me souviens plus lequel – que c’est lié à nos hormones, que ça varie selon les âges, les périodes… je comprends mieux maintenant pourquoi ma peau était catastrophique à l’adolescence. Oh là là, les années lycée ! Un véritable champ de bataille sur mon visage !

Bref, le sébum, c’est essentiel, il sort par les pores, comme une petite fontaine minuscule, lubrifiant la peau et les cheveux. Sans lui, on serait sûrement secs comme des feuilles mortes. Mais comme pour beaucoup de choses dans la vie, l’équilibre est primordial. Trop, c’est pas bon. Trop peu, c’est pas bon non plus ! C’est un peu comme avec le chocolat, en fait… on en voudrait toujours plus, mais trop, ça fait mal au ventre !