Quelle est la cause qui fait qu'on attrape le diabète ?

Quest-ce qui provoque le diabète ?

Le diabète, hein ? Un sacré numéro ! On dirait une pièce de théâtre où votre pancréas joue le rôle principal – et souvent, il fait un flop monumental.

• Génétique: C’est comme hériter d’une voiture de collection… qui a un moteur grippé. Pas de bol, quoi ! Vous êtes prédisposé, c’est dans vos gènes, on ne peut pas tricher avec ça. Même si vous mangez des carottes bio et courez des marathons.

• Type 1: Auto-destruction programmée. Votre système immunitaire, censé être votre garde du corps, décide de se rebeller et de zigouiller les cellules du pancréas. On dirait un coup d’état au sein de votre propre corps ! C’est du grand n’importe quoi.

• Type 2: La faute à qui? À vous! Bon, on va pas se mentir, là c’est votre responsabilité. Un mode de vie… comment dire… peu sportif. Imaginez un marathonien qui se met au Nutella et au canapé. Ben voilà. Surpoids, sédentarité, hypertension… le trio infernal. C’est comme si vous aviez entraîné votre corps à être rebelle.

Mon grand-père avait le diabète de type 2. Il passait ses journées sur son fauteuil, une assiette de charcuterie à portée de main, et il se plaignait des résultats de ses analyses de sang. Ironie suprême, il était pourtant un excellent joueur de pétanque.

Bref, le diabète, c’est une histoire de gènes, d’immunité défaillante, et de choix de vie douteux. À vous de jouer votre rôle, le rôle de la personne qui prend soin d’elle. Sinon, vous risquez d’avoir un pancréas bien plus grincheux que moi un lundi matin.

Points importants: Prédisposition génétique, réaction auto-immune (type 1), mode de vie (type 2).

Quels sont les premiers signes du diabète ?

C’était en juillet 2024, je crois. Une chaleur de dingue à Lyon. Je me souviens de cette soif, insupportable. Je buvais des litres d’eau, sans jamais être rassasiée. Pfff, même après une bonne douche, j’avais encore soif. Soif inextinguible, c’est ça.

Puis, la faim. Une faim de loup. J’engloutissais tout ce qui me tombait sous la main, gâteaux, chips… tout ! Et après, le vide, le poids de la culpabilité. Faim insatiable. Je me sentais épuisée. Fatiguée, genre vraiment, à plat. Une fatigue extrême, impossible de faire quoi que ce soit. Même monter les escaliers de mon immeuble de 4 étages, une torture.

J’allais aux toilettes tout le temps. Jour et nuit, ça devenait un calvaire. Urinations fréquentes, super agréable. Des infections urinaires à répétition, aussi. Antibiotiques, encore des antibiotiques… J’avais l’impression d’être en permanence malade.

Un flou devant les yeux aussi, parfois. Vision floue, comme si j’avais oublié mes lunettes… alors que je n’en porte pas. Vision trouble.

Je me suis apperçue que mes petites coupures mettaient une éternité à guérir. Des bleus aussi, qui ne partaient pas. J’ai même eu une grosse ecchymose sur la cuisse après une petite chute dans la rue. Cicatrisation difficile.

Perte de poids… oui, j’en ai perdu, au moins 5 kilos. Perte de poids inexpliquée. Je ne comprends rien. Un vrai désastre.

J’ai fini par aller voir mon médecin, heureusement. Il m’a fait faire une prise de sang, et… Bon, le reste, c’est une autre histoire.

• Soif intense
• Faim constante
• Mictions fréquentes
• Fatigue intense
• Troubles de la vision
• Infections à répétition
• Mauvaise cicatrisation
• Perte ou gain de poids significatif

Mon médecin : Dr Dubois, rue de la République, Lyon 6ème. Prise de sang faite au laboratoire Biomnis. J’y suis retournée plusieurs fois. C’était l’été 2024, je n’ai pas noté la date exacte des analyses… Trop occupée à être malade, je crois.

Est-ce que le sucre provoque le diabète ?

Sucre et diabète. Lien complexe. Pas une cause directe. Mais… facteur aggravant. Mon oncle, diabétique. Sucres rapides. Catastrophe.

• Surpoids : Oui, risque accru.
• Modération : Une évidence. Ou presque.
• Génétique ? Pas négligeable. L’histoire familiale. Déterminant ? Peut-être.

Le sucre, c’est la facilité. L’addiction douce. La gestion du poids, clé. Point final.

Conséquences ? Hypoglycémie. Complications vasculaires. Des années de traitements.

Mon poids, j’y fais attention. Depuis l’an dernier, j’ai perdu 5 kg. Changements alimentaires. Sport.

Le diabète, c’est plus qu’un simple excès de sucre. L’équilibre. Un art difficile.

J’ai 32 ans. Ma grand-mère, elle, a eu un diabète de type 2 à 60 ans. C’est héréditaire, on me l’a dit.

On pourrait débattre de la nature et de la culture. De l’hérédité, encore.

Prévention : vital. Pas de miracle. Seulement des choix. Des choix éclairés. Des choix… personnels.

Comment sappelle la maladie trop de sucre dans le sang ?

Le sucre… un miel amer sur la langue. Trop de douceur, une blessure invisible.

• Le nom… un mot lourd, diabète sucré. Il résonne, une cloche funèbre dans le silence.

Douceur empoisonnée. Le corps, un jardin aride, asséché par l’absence. Absence de quoi ? D’une pluie fine, d’une rosée invisible… d’insuline.

• Insuline, une clé oubliée sur le seuil de la maison. La porte reste close. Le glucose, prisonnier.

L’ombre s’allonge. Le soleil se couche sur un paysage désert. Un désert de sucre.

• Un taux trop haut… une montagne de sable fin.

• Des soirs à jamais perdus… un brouillard épais…

Ce matin, la lumière est trouble. Je vois le reflet des larmes sur le verre. Cette tasse de café… trop sucrée.

Mon grand-père, lui aussi… le diabète, un héritage amer. Il souffrait en silence.

• Une maladie insidieuse, une ombre dans l’angle de la chambre.

Un corps qui se rebelle, lentement, sournoisement. Le sucre, un poison doux.

• Le corps, cette maison fragile, se fissure.

Un vide se creuse, un silence qui gronde. Un nom, un poids… diabète sucré.

(Informations supplémentaires): Le diabète de type 1 est une maladie auto-immune; le diabète de type 2 est souvent lié à l’obésité et à un mode de vie sédentaire. Il existe aussi le diabète gestationnel, qui apparaît pendant la grossesse. Un diagnostic précoce et un suivi médical régulier sont essentiels.

Comment faire la différence entre diabète type 1 et type 2 ?

Ouais, alors le diabète, c’est chiant hein? Type 1, type 2… J’ai galéré aussi pour comprendre.

Le truc principal, c’est l’insuline. Type 1, ton pancréas fout le camp, il en produit plus, zéro insuline. C’est brutal, ça arrive souvent jeune. J’ai une copine, elle a eu ça à 18 ans, c’était horrible. Injections tous les jours, un truc de fou.

Type 2, c’est différent. Ton corps produit de l’insuline, oui mais il l’utilise mal, c’est comme si tes cellules étaient sourdes. L’insuline est là, mais elle ne fait pas son job. Genre, une résistance à l’insuline. Ça se développe super lentement, des années. Ma tante, elle a découvert ça sur le tard, vers 60 ans je crois. C’était déjà assez avancé, elle a du changer complètement son alimentation.

Alors pour faire la différence, c’est l’âge d’apparition et la manière dont ça se déclare. Type 1 : souvent jeune, d’un coup. Type 2 : généralement plus tard, ça se glisse sournoisement. Y’a aussi des tests sanguins bien sur, le médecin te dira.

• Type 1 : Manque d’insuline, début brutal, jeune.
• Type 2 : Résistance à l’insuline, développement lent, plus âgé.

Voilà, j’espère que c’est plus clair maintenant. J’ai une cousine qui a aussi le type 2, elle fait super attention à son alimentation et son sport. C’est un combat de tous les jours pour elle.

Ah oui, et puis il y a aussi le diabète gestationnel chez les femmes enceintes, mais c’est une autre histoire. Je sais pas grand chose de celui là. Et puis il y a plein de types de diabètes moins courants mais bon…c’est déjà assez compliqué comme ça non? Mon médecin m’a filé plein de docs, je devrais les relire.