Quel est le DFG normal pour un homme de 70 ans ?

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Débit de Filtration Glomérulaire (DFG) chez lhomme de 70 ans :

Le DFG diminue physiologiquement avec lâge. Chez un homme de 70 ans, un DFG inférieur à 60 ml/min est considéré comme une insuffisance rénale, bien quune partie des personnes âgées de plus de 65 ans présentent un DFG normal au-dessus de ce seuil. Une évaluation individuelle est nécessaire pour déterminer la situation de chaque patient.

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Alors voilà, papa a 70 ans, et on se pose tous la question du DFG. Vous savez, ce truc là, le Débit de Filtration Glomérulaire… ça sonne compliqué, hein ? Comme si on parlait d’une formule de physique quantique ! Bref, on lui a fait des examens, et le médecin a parlé de chiffres… 60 ml/min… c’est le seuil apparemment. En dessous, c’est considéré comme une insuffisance rénale. Mais bon, c’est quoi, “insuffisance rénale” exactement ? Est-ce que ça veut dire qu’il va mal en point, tout de suite ?

Ils disent que le DFG baisse avec l’âge, c’est normal paraît-il. Mais papa, il a toujours été costaud, même si les rhumatismes le rattrapent un peu, comme mon grand-oncle Joseph, vous vous souvenez, lui qui ne pouvait plus se baisser sans geindre ? Alors, un DFG en dessous de 60, ça fait peur, surtout quand on voit ces brochures sur les maladies rénales… des photos un peu dramatiques…

J’ai lu quelque part que beaucoup de personnes de plus de 65 ans ont un DFG normal au-dessus de ce fameux 60. Donc, il y a de l’espoir, non ? Mais chaque cas est différent, c’est ce que le docteur a dit. Il faut regarder plus que le nombre, analyser tout le reste. Et là, on se sent un peu perdus, entre les examens, les rendez-vous, les explications médicales qui ressemblent à du chinois parfois… On essaie de comprendre, on pose des questions, parfois ça rentre, parfois on se sent un peu largués, c’est vrai. On aimerait tellement que tout soit simple, clair, comme une évidence. Mais la santé, c’est rarement simple, malheureusement… On attend les résultats des autres tests maintenant, avec un mélange d’espoir et d’appréhension, voilà.