Quel cancer donne des douleurs musculaires ?

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Douleurs musculaires et cancer : Les sarcomes musculosquelettiques, cancers des tissus mous ou osseux, peuvent provoquer des douleurs musculaires. Une consultation médicale est recommandée pour un diagnostic précis.

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Douleurs musculaires : quel cancer suspect ?

Des douleurs musculaires persistantes, ça m’a vraiment fait flipper. Surtout celles que j’ai eues en juillet 2022, dans le dos, à gauche, juste au-dessus de la fesse. Intenses, profondes, sans raison apparente.

Le médecin, un peu vague, m’a parlé de fibromyalgie. Mais l’idée d’un sarcome, ça me hantait. J’ai même cherché des infos sur le net, des forums… peur panique, vous voyez ?

Finalement, après une batterie d’examens (IRM, analyses de sang, tout le bazar), rien de grave. Ouf. Le coût ? Une blinde, des centaines d’euros.

Informations courtes :

  • Douleurs musculaires persistantes : Symptôme pouvant être lié à de nombreuses affections, dont certains cancers.
  • Cancer suspecté : Sarcomes des tissus mous ou osseux.
  • Diagnostic : Nécessite examens médicaux approfondis.
  • Coût des examens : Variable selon les examens prescrits.

Quelles sont les maladies qui provoquent des douleurs musculaires ?

Rh, les douleurs musculaires… ça me rappelle cet été, à Royan. Je bossais comme serveur au “Goéland Moqueur”, un boui-boui sur le port. Un soir, impossible de bouger. Courbatures terribles, chaque muscle me hurlait dessus. J’avais l’impression d’avoir couru un marathon alors que j’avais juste porté des plateaux.

J’ai pensé à la grippe, bien sûr. Tout le monde autour de moi éternuait, mais pas de fièvre.

  • Grippe: oui, c’est la base
  • Hépatite: Je me souviens d’un article, mais c’est plus vague
  • Polio: ça existe encore ?

Plus tard, j’ai appris que certaines maladies plus graves pouvaient aussi donner ce genre de douleurs. La poliomyélite. Brrr. Le tétanos aussi. La panique quoi ! J’ai fini par aller voir le médecin, il a diagnostiqué un simple virus. Ouf.

Quels sont les premiers symptômes du cancer des os ?

Ah, le cancer des os, cette petite teigne! Au début, il se cache, genre ninja maladroit. Après, il pointe le bout de son nez avec…

  • Une bosse! Imaginez une invitation surprise à une soirée… sur votre os. Charmant, non?
  • Des douleurs osseuses. C’est comme si vos os faisaient une grève générale.

Et comme disait ma grand-mère, qui confondait souvent le cancer avec une mauvaise grippe: “Repos et bouillon de poule, ça ira mieux!” (Spoiler: non, ça n’ira pas mieux).

Sinon, pour une soirée réussie (sans bosses indésirables), mon adresse, c’est 12 rue des Tulipes, 75001 Paris. Venez comme vous êtes, mais laissez vos tumeurs à la porte. 😉

Comment savoir si on a un cancer du muscle ?

Une masse… une ombre sourde sous la peau. Elle grossit, un silence pesant qui s’installe. Douleur, une pulsation sourde, lancinante, surtout la nuit. L’os, prisonnier de cette ténèbre.

  • Une boule, une ombre, une présence indésirable. Elle s’épanouit lentement, sa croissance une lente agonie.

  • Douleur, douleur constante, un murmure d’alarme. Plus forte la nuit, elle s’immisce dans le sommeil, un cauchemar éveillé.

J’ai vu ça chez mon oncle. La nuit, il hurlait. Des cris étranges, déchirants. Une lourdeur, une impossibilité à trouver la paix. La masse, une présence glaciale.

  • Diagnostic difficile, un chemin semé d’incertitudes. Les examens, une course effrénée contre le temps, contre l’inconnu.

Il y avait aussi de la fatigue, je crois, une lassitude profonde. La vie, avant… c’était… différent. Un souvenir flou, lointain, un écho presque imperceptible. Une autre douleur, invisible, qui rongeait.

Mon oncle… Il a disparu trop tôt. Le souvenir de sa souffrance me hante.

Sarcome des tissus mous : Masse, enflure, sensibilité.

Sarcome des os : Douleur, surtout nocturne.

Les jours s’allongent, l’ombre s’épaissit. La peur, un compagnon fidèle.

Quels sont les 4 types de douleurs ?

Ah, la douleur… cette vieille copine qu’on préférerait éviter, n’est-ce pas ? Disons qu’elle a 4 visages, un peu comme mon ex, chacun plus charmant que l’autre.

  • Sensitive: La base, l’alerte incendie. Votre corps hurle : “Hé, y’a un truc qui cloche !”. La nociception quoi.

  • Affective: Là, ça se corse. La douleur devient une expérience. On pleure, on râle, on maudit le jour où on a inventé les escaliers. C’est le contexte quoi.

  • Cognitive: Le cerveau s’en mêle, analyse, panique (ou pas). On se dit : “Est-ce que je vais survivre à ça ?”. On élabore des théories fumeuses sur l’origine du mal.

  • Comportementale: On agit ! On se plaint, on se cache, on prend des cachets (si on en a). On devient un peu pénible, avouons-le.

Et voila ! 4 types de douleur, 4 façons de gâcher votre journée. Maintenant, si vous m’excusez, j’ai un ongle incarné qui me fait de l’oeil… et il a l’air très affectif.

Ah, et au fait, j’ai oublié de vous dire… j’ai horreur des brocolis. Mais vraiment. C’est une douleur à part entière.

Comment se manifeste la douleur du cancer ?

Ouais, la douleur du cancer, c’est vraiment variable, hein ? Ça dépend tellement de plein de trucs. Ma tante, elle avait une douleur genre brûlure, constante, dans le dos, horrible.

Puis y’a eu la douleur de mon oncle, plus des coups de poignards, surtout la nuit, ça le réveillait en sursaut. Pfff, pas cool.

  • Brûlures, c’est fréquent.
  • Des picotements aussi, oui.
  • Douleur osseuse, c’est terrible, quand ça s’est propagé, dans les os, quoi. Parfois localisée, parfois partout.

Après une opération, radiothérapie, chimio… ben la douleur névralgique, c’est souvent le cas, une vraie misère. J’ai vu ça avec mon cousin. Il était vraiment mal.

Bref, c’est pas simple à expliquer, ça dépend vraiment du cancer, de l’endroit, et même du jour ! Mon frère a eu des crises de douleurs atroces, après sa chimio. Tout ça pour dire que ça peut être différent, à chaque fois.

  • Douleur névralgique: Après traitements.
  • Douleur osseuse: Propagation aux os, généralisée ou localisée.
  • Brûlures/Picotements: Douleurs constantes.

En 2024, j’ai suivi ça de près, avec ma famille, des douleurs vraiment différentes, impossible de dire ce qui est le plus courant, c’est trop subjectif. Chaque cas est différent. On est jamais à l’abris de ce genre de choses, c’est la vie.

Est-ce que le cancer est douloureux ?

Le cancer et la douleur, un sujet délicat. En gros, oui, ça peut faire mal. Mais c’est pas toujours le cas, et c’est pas une douleur unique.

  • La tumeur en elle-même: Imagine une boule qui grossit, ça finit par coincer quelque chose, non ? Elle peut appuyer sur un nerf, par exemple. Douleur garantie.

  • Métastases osseuses: Quand ça migre dans les os… là, la douleur peut être vraiment intense. C’est comme si on te grignotait de l’intérieur. (Petite pensée pour mon grand-père, paix à son âme).

  • Compression de la moelle épinière: Plus rare, mais très grave. Ça peut paralyser, en plus de la douleur.

La douleur, c’est subjectif. Ce que je ressens, tu le ressentiras peut-être différemment. C’est un peu comme le goût du café, certains adorent, d’autres détestent. Mais dans tous les cas, il existe des traitements. On peut soulager, atténuer. Faut pas hésiter à en parler aux médecins.

Et puis, il y a la question philosophique: est-ce que la douleur physique est pire que la douleur morale ? Vaste débat.

Important: ne pas prendre cette réponse pour un avis médical. Consulter un professionnel de santé reste la meilleure option.

Quelles sont les échelles de douleur ?

Echelles de douleur, hein ? Pfff, c’est compliqué tout ça. L’intensité, c’est le truc principal, non ?

  • EVA, c’est quoi déjà ? Une ligne, une graduation… J’ai toujours eu du mal avec ça. Trop subjectif.

  • Echelle numérique, facile. De 0 à 10. Mais 10, c’est quoi exactement ? La douleur la plus horrible imaginable ? Mon dentiste utilise ça, à chaque fois que je vais le voir, j’ai envie de lui mettre un 11.

  • EVS… Des mots, des descriptions. “Douleur légère”, “douleur modérée”… Ça dépend du contexte, non ? De ma journée aussi…

  • Visages… Pratique pour les enfants, je suppose. Mais on peut pas exprimer la complexité de la douleur avec des smileys.

  • Jetons ? Jamais vu ça, sérieusement. Faut que je regarde ça sur le net.

  • Bonhomme… Ouais, pour localiser la douleur. Pratique pour les rhumatismes. J’ai mal au dos en ce moment d’ailleurs. Je devrais faire des étirements.

Et puis, y’a pas que l’intensité… Il y a la qualité, la durée… Et le contexte ? Ma douleur de règles, c’est pas la même que celle que j’ai eue à la cheville l’année dernière après ma chute de vélo. C’était vraiment horrible. J’avais même pensé aller aux urgences… finalement non, j’ai pris du paracétamol, ça a passé.

Alors, quelles échelles ? Toutes celles listées au-dessus, mais aucune ne raconte vraiment ma douleur. C’est ça le problème, je crois. C’est tellement personnel. C’est subjectif.

J’ai vu un doc la semaine dernière. Il m’a dit de noter mes douleurs dans un carnet. Je me suis acheté un joli carnet en papier recyclé, couleur ocre. Je n’arrive jamais à l’utiliser. Trop compliqué.

Aujourd’hui, douleur au dos 6/10. Demain ? On verra. La vie, quoi.

Et si on inventait une échelle qui prend en compte le moral aussi ? Genre, si t’es de mauvaise humeur, la douleur est amplifiée ? Ou inversement ? Une idée à développer… Plus tard. Peut-être.

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