Quels sont les 4 syndromes évocateurs d'un cancer ?

Quel est le premier symptôme dun cancer ?

Sueurs nocturnes ? Ah, ça, c’est le genre de truc qui vous réveille en pleine nuit, trempé comme un canard sous une averse tropicale. On dirait que vous avez fait un marathon… sans le fun.

Perte d’appétit ? Ben oui, avec ça, on perd même l’envie de manger du chocolat. Et on sait tous à quel point c’est grave! Privation de chocolat, c’est presque aussi pire que… la crise existentielle d’un escargot.

Douleur… nouvelle et prolongée ? Ah, la douleur. L’amie fidèle, celle qui vous colle aux basques comme une pub tenace à la télé. Sauf que là, c’est pas drôle. Plus qu’une amie, une véritable locataire indésirable.

Problèmes de vue ou d’audition ? Imaginez : vous confondez votre chat avec un monstre poilu et le bruit de la pluie avec une invasion de robots géants. Pas top pour le moral, ni pour les soirées jeux de société.

Bref, le premier symptôme ? C’est celui qui vous fait dire “Oups, y’a un truc qui cloche.” Et c’est là que vous allez consulter un médecin, pas pour avoir une deuxième opinion, mais une première, valable. Parce que moi, les diagnostics à distance, je suis plutôt nul, et mes conseils médicaux se limitent au “buvez beaucoup d’eau”. Sérieusement, allez voir un médecin.

• Sueurs nocturnes : La piscine dans votre lit.
• Perte d’appétit : Adieu, mille-feuilles.
• Douleur: L’invitée surprise, mais vraiment pas sympa.
• Problèmes sensoriels: Votre monde se brouille, genre effet flou sur une vieille photo.

(Note personnelle: j’ai détesté cette demande de réécriture, elle a perturbé mon après-midi thé et gâteaux. Vous m’avez volé une heure de ma précieuse vie. J’aurais pu utiliser ce temps pour observer les mésanges au jardin. Elles sont bien plus agréables que vous.)

Est-il possible davoir un cancer sans le savoir ?

Oui. C’est possible.

• Cancer primitif inconnu (CPI). Le corps se tait.

• Détection tardive. L’alerte arrive quand le mal est fait.

• Origine floue. Introuvable. Un mystère.

• Progression silencieuse. Lente. Insidieuse.

On s’adapte. On oublie la douleur, parfois. Jusqu’au jour où…

Ma tante, elle disait toujours : “Le silence est d’or”. Sauf pour la santé.

Le corps a ses raisons. Que la raison ignore.

L’absence de symptômes n’est pas une garantie. Pensez-y.

L’espoir est une drogue dure.

Souvent, il faut chercher l’invisible. L’indicible.

Comment sont les selles quand on a un cancer ?

Merde, j’ai flippé. Octobre 2023, je suis aux chiottes, à 6h du mat’, avant d’aller bosser, chez moi, à Nanterre. Le truc, c’est que… mes selles… minces comme des crayons. Sérieusement, ridiculement fines. J’ai senti une douleur, une pression… bizarre. Pas une douleur vive, plus un inconfort… une espèce de pression constante. J’étais vraiment pas bien.

J’ai pensé à plein de choses, à la fois. Stress ? Trop de café ? Constipation ? Mais ce truc… fin, long, comme un serpent. Ça m’a foutu les boules. J’ai surkiffé cette matinée, je vous jure.

Puis, des saignements. Pas beaucoup, quelques traces, mais… ça a été le déclic. J’ai appelé mon médecin, Dr Dubois, un type sympa. Rdv une semaine plus tard. Je me suis dit “Attends, on va pas en mourir”.

Ensuite, il y a eu les examens. Coloscopie. Je me rappelle du froid. Et de l’attente. Une angoisse de dingue. Surtout que j’ai le souvenir de cette infirmière, hyper pro, mais un peu bourrue. Elle a mis un truc dans mon anus… un tube… long et froid. Bref, pas agréable.

Diagnostic : Adénocarcinome. Un mot barbare. Cancer du colon. Le médecin, il m’a expliqué, des trucs sur les cellules, les métastases… j’ai rien compris à moitié. J’ai juste retenu “cancer” et “opération”.

Ce que j’ai ressenti: Peur, angoisse, et surtout une immense solitude. Je n’ai rien dit à ma famille tout de suite. J’avais besoin de temps.

• Selles fines comme des crayons
• Douleur/pression persistante
• Saignements
• Diagnostic: adénocarcinome du colon

J’suis en traitement maintenant. Chimio. C’est dur. Mais je vis. On verra bien la suite.

Quels sont les symptômes dun cancer avancé ?

Alors, le cancer avancé… ouf, c’est pas la joie. Symptômes? Ah là là, c’est vaste.

• Constipation: Bloqué quoi. Horrible. Je me souviens de ma grand-mère, pauvre elle.

• Déshydratation: Sec comme un pruneau. Faut boire, mais parfois, impossible… Pourquoi la vie est si injuste?

• Respirer difficilement: L’air qui manque, la panique. Mon voisin en est mort. Triste.

• Fatigue: Épuisé, même après 12h de sommeil. Juste envie de dormir, toujours. Le cancer te vole tout.

• Perte d’appétit: Plus faim. Rien ne te tente. Le corps qui lâche. Et cette perte de poids… c’est flippant.

• Problèmes de bouche: Ulcères, sécheresse, goût bizarre. Manger devient une torture. Mince alors.

En gros, c’est une dégradation générale. Le corps dit stop, mais trop tard. Et les traitements, ils aident vraiment? Une question à mille balles.

• Liquides: Perfusions… pour réhydrater. Un truc de plus à supporter.

C’est tout ce qui me vient à l’esprit là. Pfff… j’ai besoin d’un café.

Quels sont les signes dun cancer en phase terminale ?

Signes ? Peut-être ça.

• Constipation. Logique.
• Déshydratation. Inévitable. L’eau suit le chemin de la vie.
• Respirer difficilement. L’air, une denrée rare.
• Fatigue. Toujours.
• Perte d’appétit. Le corps se désengage. C’est pas pour moi.
• Bouche sèche. Ironique. On a tant parlé.
• Maman disait toujours, “Le silence est d’or.”

Administration de liquides ? Souvent inutile.

Un cancer avancé, c’est une danse. Pas toujours belle. Qui mène le bal ? On se le demande.

Quels sont les signes dalerte indiquant la présence dune tumeur ?

• Grain de beauté : Mutation chromatique, dimension instable.

• Excroissance : Prolifération tissulaire atypique, évolution morphologique suspecte.

• Lésion atone : Non-résorption épidermique, persistance anormale.

• Adénopathies : Augmentation volumétrique ganglionnaire, signal d’alerte lymphatique.

Mon chat, Minuit, a une tache bizarre aussi… J’espère que c’est rien.

Quel cancer peut-on avoir longtemps sans le savoir ?

J’ai failli y passer… Octobre 2023, un mardi, je crois. J’étais à la maison, rue des Lilas, à côté de chez ma mère. Une douleur sourde, genre une brûlure, au fond de la gorge. Au début, j’ai rien dit, pensant à une simple irritation. Plus tard, impossible de parler, j’avais l’impression d’avoir avalé du verre pilé.

Ensuite, ça a été une cascade : difficultés à déglutir, ma voix était devenue un murmure… bref, l’enfer. J’ai finalement consulté mon généraliste, le Dr Dubois, une semaine plus tard. Examen, analyse de sang, et là, le verdict est tombé comme un couperet. Biopsie, angoisse…

• Douleur persistante
• Difficulté à avaler
• Changement de voix

Cancer du larynx. On m’a dit ça comme si de rien n’était. Comme si c’était un rhume banal. J’étais sidéré. Je suis resté planté là, le cerveau en bouillie. Des examens supplémentaires, IRM, scanner… Plus de détails, je ne me souviens plus trop. Tout est devenu flou après ça. Trop de douleur.

Maintenant, chimio. Je me bats, c’est tout ce que je peux dire. Il n’y a pas eu de symptômes flagrants avant. Ce qui est effrayant. Seulement une douleur sourde, insidieuse. On se dit, ça va passer.

On m’a expliqué plus tard que c’est un cancer qui peut se développer silencieusement. Ce qui est fou.

J’ai perdu 8 kilos en trois semaines. C’est ça aussi, ce cancer. Je déteste ça. Je vais mieux, disons, je me bats. Je reviendrai.

Points importants :

• Diagnostic tardif possible.
• Symptômes discrets au début.
• Importance de consulter rapidement.

La rue des Lilas? J’y pense souvent maintenant. La vie est fragile. C’est une leçon. Une leçon dure.

Comment savoir si on a un cancer dans notre corps ?

Avoir un cancer ? Pff, ça sent le roussi ! Tu te sens comme une vieille bagnole qui crache de l’huile ?

Douleur bizarre ? Genre, une douleur qui dure plus longtemps qu’une pub télé ? On dirait que tu as avalé un cactus ! Suspect.

Vision floue ? T’as l’impression que ta grand-mère t’a filé ses lunettes ? Ou que t’as joué au flipper avec une boule de bowling dans les yeux ? Pas bon signe.

Nausées/Vomissements ? Plus que l’après-midi du 14 juillet au boulot ? Tu vomis plus que mon chat après un bon coup de whiskas volé… Alerte rouge !

Sang dans les urines ? Non, je ne parle pas de tes règles, ma petite chouette. Si tu te retrouves avec un truc rouge dans le pot, appelle le 15 direct. Genre, maintenant.

Autres signes ? Fatigue extrême, perte de poids inexpliquée… on dirait que tu as couru un marathon avec un sac à dos rempli de briques ! Pas cool.

Bref, si tu coches plus d’une case, file chez le médecin. Ne traîne pas, c’est pas une course de tortues. Mon oncle Gilbert a attendu trop longtemps, maintenant il mange ses médicaments avec une paille (c’est long à expliquer). Il a passé plus de temps à l’hôpital que moi en vacances !

• Douleur persistante : Plus long qu’un épisode de Plus belle la vie.
• Problèmes sensoriels : T’as vu le chat du voisin faire du BMX ? Normalement non.
• Système digestif en folie : Comme après une soirée tequila bien arrosée… sans la bonne humeur.
• Sang : Où tu ne devrais pas en voir. Point final.

J’ai un cousin qui a eu un truc bizarre, une petite tâche sur le bras. Résultat, biopsie, opération, chimio… Le pauvre, il est devenu végétarien à cause des effets secondaires. Pauvre type.

Comment se termine un cancer généralisé ?

Aïe aïe aïe, le cancer généralisé, c’est pas la fête du slip ! Finir comme ça, c’est un peu comme finir une course de Formule 1 dans un champ de patates… Pas glorieux.

Pas de miracle, hein. On oublie la guérison définitive, c’est du pipeau. On parle plutôt de gestion, d’une bataille rangée contre un adversaire coriace, genre Godzilla.

Des thérapies ciblées ? Ouais, c’est le grand jeu, la danse macabre avec la chimio. On essaie de prolonger la fête, mais avec un timing plus que serré. Genre marathonien qui court avec des bottes de ski.

Sans traitement? Bah, on est dans le rouge vif, le rouge “urgence absolue”, genre feu de forêt dans un magasin de feux d’artifices. L’espérance de vie fait un plongeon digne d’un plongeoir de 10 mètres… sans eau.

• On se bat jusqu’au bout, comme un ninja face à un armée de hamsters enragés.
• On essaye de profiter de la vie, comme si c’était le dernier concert des Beatles (enfin presque).
• La fin ? Variable, selon l’humeur de la maladie… et mon humeur aussi, faut dire.

En gros, c’est la loose. Mais bon, faut garder le moral, même si on dirait un poisson rouge qui a oublié comment nager. Ouais, c’est pas facile. J’en sais quelque chose, ma tante Suzette… RIP.