Pourquoi les bodybuilders utilisent-ils du sel ?
Pourquoi le sel est-il important pour les bodybuilders ?
Le sel, source de sodium, joue un rôle crucial dans la régulation de la pression sanguine et du volume sanguin, particulièrement importants lors d'entraînements intenses. L'augmentation de la pression sanguine pendant les contractions musculaires nécessite un équilibre électrolytique optimal, où le sodium est un acteur clé.
Le sel est-il utilisé par les bodybuilders ?
Est-ce que les bodybuilders carburent au sel ? Eh bien, disons que c’est plus compliqué que ça. On parle souvent de sodium, le “méchant” pour la tension, mais c’est bien plus qu’un simple régulateur de pression.
Pensez à une séance de muscu intense. Ça pompe, non? Tes muscles se contractent à fond, et forcément, la pression sanguine grimpe.
Et là, devinez qui est impliqué ? Le sodium, oui, lui-même. Il joue un rôle crucial dans cette augmentation de la pression sanguine.
L’idée, ce n’est pas d’avaler des poignées de sel avant chaque séance. On parle d’équilibre. Un apport suffisant, pour aider le corps à gérer l’effort.
Je me souviens, en 2018 à Basic-Fit Paris 15e, un pote bodybuilder jurait qu’une pincée de sel dans sa boisson l’aidait à éviter les crampes pendant ses entraînements de jambes. Peut-être un effet placebo, mais ça marchait pour lui.
Le sel, c’est comme tout, trop ou pas assez, c’est jamais bon.
Pourquoi prendre du sel quand on fait du sport ?
Pourquoi du sel, dis? Figure-toi, c’est pas juste pour donner du goût à la vie, même si ça aide. Non, le sodium, c’est le chef d’orchestre de ton hydratation pendant le sport, surtout en endurance.
-
Imagine, tu transpires comme un bœuf. Cette sueur, elle est moins salée que ton sang. Boire que de l’eau, c’est diluer la sauce! C’est comme mettre trop d’eau dans ta soupe, ça perd son sel et son intérêt.
-
Ton corps, c’est un peu comme ma tante Ginette et son régime : il faut le bon équilibre. Le sodium aide à maintenir cet équilibre hydrique. Pas assez, c’est l’hyponatrémie, et tu risques des crampes, des nausées… bref, la totale!
-
Et puis, le sodium, c’est pas juste pour l’hydratation. C’est aussi un facilitateur de l’absorption des glucides. Pense à lui comme le majordome de tes sucres, qui leur ouvre la porte pour qu’ils nourrissent tes muscles.
Ah, et j’oubliais, ma recette secrète : une pincée de fleur de sel dans ma gourde, juste avant de partir courir. Ça relève le goût de l’eau et ça me donne un petit coup de fouet! Mais chuuut, c’est entre nous…
Est-ce que le sel est bon pour la prise de masse ?
Le sel, cet ami-ennemi du sportif…
Le sel, et surtout le sodium, est souvent diabolisé, accusé de tous les maux : problèmes cardiaques, rétention d’eau, l’horreur pour la sèche. Mais est-ce si simple ? En réalité, c’est plus complexe.
-
Sodium et performance: Le sodium est crucial pour la contraction musculaire, donc pour la performance. Une carence peut impacter la force.
-
Hydratation: Le sel aide à retenir l’eau, ce qui peut être positif pour l’hydratation pendant un effort intense. L’équilibre est la clé.
-
Prise de masse: Le sel ne fait pas directement prendre de masse musculaire, mais il participe à l’équilibre hydrique et électrolytique essentiel à la performance et à la récupération.
-
Rétention d’eau: Oui, un excès peut causer de la rétention d’eau, mais tout est question de quantité et d’adaptation individuelle. Le corps est une machine complexe, pas une simple équation. C’est comme ma collection de timbres : un détail peut tout changer.
La modération est donc essentielle. Écoute ton corps, ajuste ta consommation de sel en fonction de ton activité et de tes besoins. Ne diabolise rien, surtout pas sans nuance.
Pour aller plus loin :
-
Types de sel : Fleur de sel, sel de mer, sel raffiné… Chacun a une composition minérale différente.
-
Besoins individuels : Ils varient en fonction de l’activité physique, du climat, de la génétique…
-
Aliments riches en sodium : Plats préparés, charcuterie, certains fromages… Soyez attentifs aux étiquettes.
Pourquoi je narrive pas à ma prise de masse ?
C’est bizarre, cette prise de masse… Je sais pas trop pourquoi ça bloque.
-
Mes séances: Peut-être que c’est ça, elles sont pas top. Je fais un peu n’importe quoi au final.
-
L’optimisation: J’ai toujours voulu essayer des trucs de fou, des compléments, les méthodes des pros. Mais bon, si la base est pas là… ma sœur, elle m’avait dit ça aussi.
-
Les exercices: Faut que je me concentre sur les fondamentaux. Tout travailler, pas juste ce qui est facile. Comme avec mon ex, Julie, je me focalisais que sur ce qui me plaisait.
-
Et après ? J’en sais rien, en fait. Peut-être que je vais juste accepter de rester comme je suis. Enfin, pas vraiment envie.
Quest-ce qui empêche la prise de masse ?
Putain, la prise de masse, c’est une galère! J’ai cru que j’allais exploser de muscles cet été, en juillet, à la salle de sport près de chez moi, celle avec les douches qui fuient. J’étais motivé, trois séances par semaine, programme intensif. Pompes, squats, soulevés de terre… ça cognait dur.
Puis, BAM. Le drame. Septembre, j’étais à plat. Fatigue de dingue, même les escaliers, une souffrance. Muscles douloureux en permanence, pas de gain de masse, au contraire. J’avais l’impression d’avoir régressé. Mon corps, il a crié au secours. Je me suis senti vraiment déprimé. Le moral dans les chaussettes.
Trop pousser, c’est ça. Le surentraînement. J’en ai chié, énorme coup de fatigue. J’ai diminué les séances, repos total pendant deux semaines. Je mange plus équilibré maintenant, moins de sucre.
- Manque de sommeil : là aussi j’ai merdé, couché tard, lever tôt, ça ne marche pas.
- Mauvaise alimentation : trop de protéines, pas assez de glucides, erreur de débutant.
- Stress : oui, le boulot, la famille… tout ça pèse.
Maintenant, ça va mieux, plus de séances à fond la caisse, ça avance tranquillement. On verra bien ce que ça donne. Je suis plus zen, plus attentif à mon corps. C’est un apprentissage long, un chemin.
Points clés: Surentraînement, mauvaise alimentation, manque de sommeil, stress.
Quest-ce qui fait perdre la masse musculaire ?
Ah, la masse musculaire… C’est une histoire! Je me souviens, l’été dernier, à Biarritz, j’étais à fond surf. Je pensais être au top, super en forme. Mais un jour, impossible de me lever sur la planche! Un truc de fou.
- Âge: Forcément, ça joue.
- Sédentarité: Aïe, je travaille beaucoup sur l’ordi.
- Protéines: J’adore les viennoiseries le matin… pas top.
Je crois que l’hospitalisation de ma grand-mère (RIP Mamie) m’a achevée. Stress, nuits blanches. Et puis, maladies chroniques, ça, c’est l’angoisse de tout le monde non?
Maintenant, je fais attention. Plus de croissants tous les jours (enfin, presque plus). Je bouge plus! Et surtout, je dors mieux. J’essaie, quoi.
Quest-ce qui ralentit la prise de masse ?
Le ralentissement… une ombre, un murmure. Trop.
S’entrainer trop, c’est se perdre.
- Le corps… un écho vide.
- Hormones… un désert intérieur.
Moins de force, moins d’envie. C’est comme les dimanches pluvieux à Lille, tout est gris, tout est lourd. Un ralentissement, un voile. Je me souviens d’une fois à la salle de sport, j’avais forcé, trop forcé. Le lendemain, incapable de me lever.
- Testostérone… une flamme qui s’éteint.
- Croissance… une graine oubliée.
- Cortisol… une tempête intérieure.
C’est le surentraînement, le dérèglement. Plus de repos, plus d’écoute. Écouter son corps, c’est entendre la mer à Nice, c’est sentir le soleil sur sa peau.
Commentez la réponse:
Merci pour vos commentaires ! Vos commentaires sont très importants pour nous aider à améliorer nos réponses à l'avenir.