Comment soigner une conjonctivite qui dure ?

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Conjonctivite persistante ?

Allergies ? Léviction de lallergène suffit souvent. Symptômes tenaces ? Consultez ! Votre médecin pourra vous prescrire des collyres anti-allergiques (azélastine, cromoglicate, lévocabastine...).

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Okay, alors, parlons conjonctivite, celle qui n’en finit pas… Pfff ! C’est fou comme un truc qui paraît si banal peut pourrir la vie.

Conjonctivite persistante ? Sérieusement ?

Franchement, j’en ai eu quelques-unes, de ces saletés, et je sais que c’est hyper frustrant. Au début, on se dit : “ça va passer”, on sort les gouttes classiques, et puis… rien. Ça traîne. Et c’est là qu’on commence à vraiment s’inquiéter, non ?

Allergies ? C’est souvent le coupable, c’est vrai. Mon voisin, Jean-Pierre, il a une conjonctivite allergique terrible dès que le pollen revient au printemps. Il a compris qu’il fallait se tenir loin des champs à ce moment-là ! (Enfin, il essaye… le pauvre !) Et la solution, c’est souvent juste ça, éviter l’allergène. Facile à dire, moins facile à faire, hein ? On connait tous cette sensation.

Mais bon, si les symptômes sont tenaces, et là je parle en connaissance de cause, il faut vraiment consulter. C’est ce que j’ai fait la dernière fois. Genre, ça grattait, ça piquait, les yeux rouges… beurk ! Le médecin m’a filé des collyres anti-allergiques. Je me souviens du nom… Azélastine, un truc comme ça. Et franchement, ça a changé ma vie (façon de parler, hein, mais quand même !). Il y a aussi le cromoglicate, la lévocabastine, des noms bizarres, mais qui soulagent, paraît-il. Le truc, c’est de trouver ce qui marche pour vous. Et ça, seul un médecin peut vraiment vous aider. Alors, on n’hésite pas, on prend rendez-vous ! C’est pas le genre de truc qui s’arrange tout seul… malheureusement.

#Conjonctivite #Durée #Soin